L’entreprise assurance sécuriplus
Smith affirme que • la division et la spécialisation des tâches ont pour effet d’accroître le rythme de fabrication, de rendre les ouvriers plus habiles à la réalisation d’une tâche donnée et de leur permettre ‘inventer de nouvelles façons de travailler. pag Dans l’entreprise Séc domaine. La division démontrée par la fig médicale, Les Assura étent dans son ie par Smith est e la division n médicale. » La division du travail est répartie parmi plusieurs employés qui comptent sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et de 14 préposés à Padministration.
Chaque division est contrôlée indépendamment et a sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau. Ce qui signifie qu’un employé qui vend des polices dassurance- ie ne vendra pas des assurances médicales et de même l’inverse. En divisant les différentes réclamations par équipe ou sous-groupe à Flntérleur du même département, les employés sont spécialistes dans leur propre domaine d’assurance, donc traite que les dossiers leur concernant.
Po to next page Pour Smith, il est important de diviser les différentes opérations auprès des employés. Le fait de fractionner les tâches permet d’accélérer le rythme de production de l’entreprise ce qui est beaucoup plus efficace. De plus, on peut comparer la ressemblance de l’entreprise Sécuriplus par l’exemple d’une anufacture d’épingles venant de l’esprit de Smith : « Un homme tire le fil, un autre le tend, un troisième le coupe et peut- être même pas une par jour (Smith, cité par Heilbroner, 2001, p. 2). » Dans les deux cas, la division du travail est présente, car chacun occupe sa propre tâche qui mène à l’augmentation de la fabrication et la spécification des tâches. Ensuite, l’entreprise Assurance Sécuriplus correspond l’organisation scientifique du travail tel que définit par Taylor l’ingénieur en sidérurgie. Taylor s’appuie sur des propositions pour organiser le travail dans les ateliers de production, qu’il ppelle la double division du travail.
Pour lui, le travail doit être planifié par la direction. Le travail doit être conquis à une analyse et à une décomposition méthodiques. Taylor affirme . La division du travail entre la direction et les ouvriers est claire. La direction planifie, analyse et systématise les tâches. Elle choisit les ouvriers et établit les systèmes de rémunération. Les ouvriers, de leur côté, exécutent les tâches de manière à atteindre les revenus les plus élevés.
Dans l’entreprise Sécuriplus, chaque employé on leur propre poste de travaille spécifique. Dans la figure 2 du document Cheminement des réclamations sur les médicaments) , le schéma démontre clairement que le courrier passe d’abord par les services ad 2 médicaments) , le schéma démontre clairement que le courrier passe d’abord par les services administratifs, par les ventes, par le service des réclamations/ médicaments et par le service des réclamations/ soins dentaires.
Chaque personne ont leur propre tâche spécialisée et la division du travail entre la direction, les cadres et les employés doit être clairement planifié de manière à ce que tout le monde exécute leur tâche, afin d’arriver à un ésultat : d’obtenir des revenus les plus élevés. Également, aylor explique qu’il faut repenser le management. En développant la productivité non seulement à court terme, mais aussi long terme. Ce qui veut dire qu’un employé qui développe ses aptitudes au travail efficace et de qualité va s’assurer d’un salaire à long terme et ainsi la compagnie va demeurer active.
Dans la compagnie d’assurance, on retrouve aussi un suivi du contrôle de qualité, soit l’évaluation des erreurs de traitements. À la lumière de ce qui précède, on peut confirmer que l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail tel qu’ évoquer par Smith et Taylor. De plus, rentreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol. D’abord, il y a le principe de la division du travail qui consiste que les travailleurs soient spécialisent et expérimentés.
Dans la compagnie d’assurance, chaque personne occupe son propre poste de travail ce qui permet de produire davantage et de s’assurer que les employés soient productifs dans leur fonction. Le principe de l’autorité et la responsabilité correspond au droit de don 3 productifs dans leur fonction. Le principe de l’autorité et la responsabilité correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter. Fayol affirme : il n’est point d’autorité sans responsabilité, c’est-à-dire sans une sanction (récompense ou pénalité) des conséquences des actes.
La sanction découle de la responsabilité et doit exister tous les niveaux de l’échelle hiérarchique. Elle encourage de fait « les actions utiles et découragent les autres». Dans l’entreprise Assurances Sécuriplus, la direction joue un ôle important au sein de l’entreprise. M. Blanchette le directeur pense congédier du personnel, afin de donner un avertissement sérieux aux autres. On peut remarquer que l’autorité amène une sanction de pénalité auprès des employés qui ne satisfait pas le directeur de la compagnie.
La sanction vient de la responsabilité et de l’échelle hiérarchique. Aussi, le principe de la discipline est présent dans l’entreprise, car le directeur ne prend pas les mesures adéquates pour aider son personnel comme il le faudrait. Par exemple, une employée exprime qu’elle ne comprend pas le système. M. Blanchette se fâche au lieu d’essayer de trouver des solutions, afin qu’elle puisse mieux comprendre et par la suite de mieux travailler. Fayol exprime : « la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs. Le principe de Punité de commandement est représenté dans l’entreprise. M. Blanchette est le directeur qui s’occupe des employés. Par conséquent, M. Blanchette dépend de la direction au-dessus de lui. Ce qui veut dire que tout le monde ne dépend que d’un seul chef. Dans le même ordre, le principe de 4 dire que tout le monde ne dépend que d’un seul chef. Dans e même ordre, le principe de l’unité de direction signifie que les employés de l’entreprise relèvent d’un seul patron, mais aussi travaille pour le même but : les assurances du sewice des réclamations de médicaments.
Le principe de la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général est présent puisque les buts de l’entreprise d’assurance priment les intérêts individuels. La compagnie se doit de satisfaire les clients et de répondre à leurs besoins. Le principe de la hiérarchie est nécessaire dans le processus d’une compagnie, afin d’assurer le bon fonctionnement. La direction doit transmettre l’information de façon à ce que le personnel soit en mesure d’agir. Dans l’entreprise Sécuriplus, le patron répète qu’il n’est pas satisfait de ses employés et qu’il ne font pas du bon travail.
Il avise son équipe et s’attend à de l’amélioration. Le principe de l’initiative correspond en la possibilité donnée à une personne d’ engendrer des plans et de faire en sorte qu’ils soient terminés à temps. Fayol observe la liberté de proposer et la liberté d’exécuté font aussi partie du principe de l’initiative. Dans l’entreprise Sécuriplus, ‘initiative est présente du au fait qu’un employé (Olivier) c’est démené pour exprimer sont point de vue à son supérieur. Il estimait que les commis aux réclamations devraient être sollicités afin de pouvoir développer les erreurs et suggérer des façons d’améliorer les choses.
Inversement, le principe de l’initiative n’est pas appliqué du côté de la direction puisqu’un gestionnaire dégourdi doit savoir laisser son personnel prendre des initiatives. Dans cette S puisqu’un gestionnaire dégourdi doit savoir laisser son personnel prendre des initiatives. Dans cette situation, le commis Olivier ne e fait pas entendre et se fait remettre à sa place. Le directeur lui propose fermement à l’employé d’aller travailler et qu’il viendrait le voir quand lui il le décidera.
En revanche, l’entreprise Assurances Sécuriplus ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol. Le principe de rémunération désigne que le salaire doit être établie en fonction des efforts que les membres acceptent de faire inviduellement. Fayol explique : « il faut par contre qu’elle soit équitable et que l’employeur comme employés, que l’entreprise comme personnel soit satisfaite de leur émunération. Dans l’entreprise d’assurance, il n’est pas mentionné le salaire des employés. Le principe de la stabilité du personnel n’est pas défini dans l’entreprise d’assurance.
Fayol explique : « La stabilité est un facteur de succès pour les entreprises, car il faut du temps et de rexpérience pour bien remplir une fonction. » Dans l’entreprise, M. Blanchette a fait cinq ans à la direction du service des réclamations/médicaments et son employée Marie-Line à autant d’expérience que tout les autres, c’est-à-dire trois ans. Il faut beaucoup d’années ‘expérience dans un travail pour pouvoir bien remplir une tâche. e principe de l’union du personnel n’est pas appliqué de façon constante dans l’entreprise Sécuriplus. Souvent, le directeur envoie des messages par écrit plutôt que verbal.
La plupart du temps, le directeur envoie des mémos aux commis pour souligner qu’il ne font pas du bon travail. Cependant, il I envoie des mémos aux commis pour souligner qu’il ne font pas du bon travail. Cependant, il lui arrive de communiquer verbalement ses attentes en rencontrant les employés dans son bureau ou en répondant à leur questionnement et affirmation. Ensuite, il y a le mouvement des relations humaines et le modèle participatif qui vienne du courant de pensée behavioriste. Ces approches sont nées en réaction aux courants centrées sur la rationalité.
Dans le mouvement des relations humaines, on tente de comprendre l’idée entre la dimension humaine, du travail et la productivité. D’abord, la division du travail ne cause pas de problème dans la compagnie d’assurance. Chaque personne de secteur semblable est identifiée et leur rôle est de contribuer la réalisation des objectifs de rensemble. par le fait même, on eut constater que le principal problème dans cette entreprise est l’administration. Cautorité du gestionnaire brime la relation entre supérieurs et employés. Dans l’entreprise, M.
Blanchette manque de respect et est très fermé aux propositions : « J’ai dit Le Scelleur que quand je voudrais l’entendre japper je tirerais sur sa chaîne, mais qu’entre temps, je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui voudrait le respect de la direction. » Le fait que le directeur communique de cette façon à ses employés est néfaste pour le bien-être de ceux-ci et au bon onctionnement du groupe. M. Blanchette s’isole de ses employés à cause de ses ordres donnés de façon irrespectueuse ainsi que de son manque d’ouverture d’esprit.
En agissant ainsi avec ses employés, le directeur ne fait pas en sorte d’accroître la pro agissant ainsi avec ses employés, le directeur ne fait pas en sorte d’accroître la productivité puisque les relations humaines ne sont pas saines. De plus, le directeur se base sur les styles technocratiques pour la gestion de ses employés. Celui-ci ne tient pas compte du côté humain de dans sa gestion : « Corganisation ormelle, parce qu’elle brise les traditions et les solidarités, rend difficile la collaboration efficace et harmonieuse entre dirigeants et ouvriers. » M.
Blanchette explique : « Nous leur avons expliqué pourquoi nous devions implanter ce système et nous leur avons donné la formation requise. » Le directeur pense que les employés doivent tout maitriser sans difficulté. Bref, l’être humain préfère la sécurité qu’à la rationalité et l’affectivité joue un rôle clé. C’est à fadministration de devancer l’efficacité pour comprendre l’emploi de la stabilité sociale et de la participation ans les milieux de travail. D’un autre côté, le modèle de la gestion est axé sur la participation qui met le ton sur la dimension humaine et l’idéal démocratique.
Selon Likert, il existe quatre systèmes de gestion. e système consultatif et le système participatif (par groupe) ne conviennent pas à la compagnie d’assurance Sécuriplus. D’une part, car il s’agit de consultation régulière auprès du groupe pour la prise de décision. D’autre part, le travail d’équipe est encouragé, la motivation de certains employés est présente et la communication est transmise avec fidélité. La compagnie Sécuriplus correspond davantage au système autoritaire et au système paternaliste.
D’abord, le système autoritaire qui permet à la personne de se contrôler elle-même 8 système paternaliste. D’abord, le système autoritaire qui permet à la personne de se contrôler elle-même et de participer à l’établissement des buts. Cela fait en sorte d’améliorer les attitudes et la productivité. La communication est peu nombreuse et cela affecte l’esprit d’équipe qui est inexistant. De plus, les décisions autocratiques sont prises que par le patron. Par exemple, dans la compagnie d’assurance, M.
Blanchette s’exprime : « Alors, j’ai envoyé un autre mémo aux commis pour leur dire qu’il fallait augmenter la vitesse de traitement et éliminer les erreurs et que c’était tout ce qu’on leur demandait. » Les employés n’ont pas leur mot à dire et ils doivent faire ce qu’il est demandé de faire. Le système paternaliste permet l’éclaircissement de l’information montante vers le chef pour refléter ce qu’il souhaite entendre. Les décisions sont peu importantes prises aux niveaux inférieurs et il y a pe d’encouragement au travail d’équipe. Chez Sécuriplus, le directeur M.