le coaching
Un extrait de Aimer ce qui est Quatre questions qui peuvent changer votre vie par Byron Katie, avec Stephen Mitchell « Personne d’autre que vous ne peut vous donner votre liberté. Ce petit livre vous montre comment faire. » Byron Katie Ce petit livre est un extrait de Aimer ce qui est (Loving What Is). Chaque année, des dizaines de milliers d’ papier sont envoyés sur demande dans le gratuitement le Sni* to View livre en version s gens à découvrir pouvoir de transformation que procure Le Travail (The Work).
Si vous souhaitez explorer davantage cette démarche, nous vous suggérons de ous procurer Aimer ce qui est, disponible en librairie ou sur commande. Le livre complet vous permettra d’approfondir Le Travail, et contient de nombreux exemples où Katie facilite des gens au sujet de prob èmes tels que la peur, la santé, les relations, l’argent, le corps et bien d’autres encore. Aimer ce qui est est aussi disponible en livre audio en anglais, ce qui vous offre l’experience inégalable d’entendre l’enregistrement de Katie facilitant Le Travail en direct.
Le les publications de Byron Katie au fur et à mesures qu’elles seront disponibles. @ 2009 Byron Katie, Inc. All rights reserved. Introduction Le Travail de Byron Katie est une démarche permettant d’identifier et de questionner les pensées qui sont à l’origine de toute la souffrance dans le monde. C’est un moyen pour trouver la paix avec vous-même et avec le monde. Les personnes âgées, les jeunes, les malades, les bien-portants, les personnes éduquées ou sans éducation—toute personne à l’esprit ouvert peut faire ce Travail. Byron Kathleen Reid a fait une dépression sévère à la trentaine.
Pendant dix ans sa dépression s’est aggravée, et Katie (c’est ainsi qu’on la nomme) a passé presque deux ans quasiment incapable de quitter son lit, obsédée ar des idées suicidaires. Puis un matin, du plus profond de son désespoir, elle vécu une expérience d’éveil qui transforma sa vie. Katie comprit que lorsqu’elle croyait qu’une chose devrait être différente de ce qu’elle est Mon marl devrait m’amer d’avantage « Mes enfants devraient m’apprécier ») elle souffrait, et que lorsqu’elle ne croyait pas ces pensées, elle était en paix.
Elle réalisa que ce ui avait causé sa dépression n’était pas le monde PAGF 5 d’essayer désespérément de changer le monde pour qu’il corresponde à nos pensées sur ce qu’il « devrait être », nous pouvons uestlonner ces pensées et, en rencontrant la réalité telle qu’elle est, éprouver une liberté et une joie inimaginables. Katie a élaboré une démarche simple et puissante de questionnement appelée Le Travail, qui permet cette transformation de façon pratique.
En conséquence de cela, une femme clouée au lit, suicidaire, est devenue une femme débordante d’amour pour tout ce que la vie apporte. La compréhension personnelle de Katie concernant le mental correspond ? l’approche actuelle de la recherche en psychologie cognitive, et Le Travail a été comparé aux dialogues socratiques, aux enseignements bouddhistes, et au rogramme des 12 étapes. Mais Katie a développé sa démarche sans connaissance religieuse ou psychologique. Le Travail est strictement basé sur l’expérience directe d’une femme concernant la création et la fin de la souffrance.
C’est étonnamment simple, accessible aux gens de tous âges et de tous horizons, et cela ne nécessite rien d’autre qu’un papier, un crayon et un esprit ouvert. Katie réalisa immédiatement que de donner aux gens sa propre compréhension ou ses réponses personnelles n’avait que peu d’intérêt. Par contre, elle offre une démarche qui permet aux gens de trouver leurs propres réponses. Les premières personnes qui ont utilisé c ait l’expérience d’une l’expérience d’une véritable transformation, et rapidement elle a reçu des invitations pour enseigner cette démarche au grand public.
Depuis 1986, Katie a présenté Le Travail à des millions de personnes dans le monde entier. En plus d’évènements publics, elle a présenté Le Travail dans des institutions, des universités, des écoles, des églises, des prisons et des hôpitaux. 2 La joie et Ehumour de Katie mettent rapidement les gens à l’aise, et les profondes compréhensions et découvertes que les participants vivent rapidement, rendent es évènements captivants (des mouchoirs en papier sont ? portée de main).
Depuis 1998, Katie dirige l’EcoIe pour Le Travail, un programme de neuf jours, proposé quatre fois par an. L’Ecole pour Le Travail permet de valider la formation continue (aux États-Unis) et de nombreux psychologues et psychothérapeutes témoignent que Le Travail occupe la place la plus importante de leur pratique actuelle. Katie organise aussi chaque année un Nettoyage Mental du Nouvel An – un programme de quatre jours continus de questionnement qui se déroule fin décembre dans le sud de la Californie – et propose parfois des teliers de weekend.
Des enregistrements audio et vidéo de Katie facilitant Le Travail sur une variété de thèmes différents le sexe l’argent, le corps, l’éducation parentale) sont 2002, le premier livre de Katie a été publié, Aimer ce qui est : Vers la fin de la souffrance (traduction française, Ariane Editions, 2003), écrit avec son mari, l’écrivain de distinction Stephen Mitchell. Ce fut un best-seller aux Etats-Unis et il a déjà été traduit en 22 langues. J’ai besoin que tu m’aimes : Est- ce vrai ? Guy Trédaniel Editeur, 2005), écrit avec Michael Katz, Investiguez vos ensées, changez le monde (Guy Trédaniel Editeur, 2009) et Mille noms pour la joie : Vivre en harmonie avec les choses telles qu’elles sont (A Thousand Names for Joy : Living in Harmony With the Way Things Are), écrit avec Stephen Mitchell, ont aussi été des best-sellers. Le dernier livre de Katie, Qui seriez-vous sans votre histoire? (Who Would You Be Withaut Your Story? ) a été publié en octobre 2008. (Ces deux derniers livres ne sont pas encore traduits en français). Bienvenue au Travail.
Ce qui est est Nous ne souffrons que lorsque nous croyons une pensée qui conteste ce qui est. Lorsque l’esprit est parfaitement clair, ce qui est est ce que nous voulons. Si vous voulez que la réalité soit différente de ce qu’elle est, vous pourriez tout aussi bien essayer d’apprendre à un chat à aboyer. Vous pourriez essayer et réessayer, et le chat finira par vous regarder en faisant « Miaou Vouloir que la réalité soit PAGF s 5 remarquerez que vous avez ce genre de pensées des douzaines de fois par jour. « Les gens devraient être plus aimables. » « Les enfants devraient être sages. ? « Mon mari (ma femme) devrait être d’accord avec moi. » « Je devrais être plus maigre, ou plus eau (belle), ou avoir plus de succès. » Ces pensées sont des façons de vouloir que la réalité soit différente de ce qu’elle est. Si vous trouvez cela déprimant, vous avez raison. Tout le stress que nous ressentons est dû au fait de contester ce qui Les personnes qui viennent de découvrir Le Travail me disent souvent, « Mais je vais perdre tout pouvoir si j’arrête de contester la réalité. Si j’accepte simplement la réalité, je vais devenir passif. Je risque même de perdre toute envie d’agir. ? Je leur réponds par une question : « Pouvez-vous absolument savoir que c’est vral ? ? Qu’est-ce qul donne le plus de pouvoir ? « Je n’aurals pas dû perdre mon travail » ou « J’ai perdu mon travail ; que puis-je faire maintenant ? » Le Travail révèle que ce que vous pensez qui n’aurait pas dû arriver, aurait dû arriver. Cela aurait dû arriver puisque c’est arrivé, et aucune pensée au monde ne peut rien y changer. Ceci ne veut pas dire que vous l’excusiez ou l’approuviez. Ceci veut simplement dire que vous pouvez voir les choses sans résistance et sans la confusion liée à votre combat intérieur.
Personne ne veut que ses enfants soient malades, personne ne sou accident de voiture ; ne souhaite avoir un accident de voiture ; mais lorsque ces choses là arrivent, comment s’y opposer mentalement peut-il être aidant? Nous savons faire mieux que cela, et pourtant nous le faisons, faute de savoir comment arrêter. Je suis amoureuse de ce qui est, non parce que je suis une personne spirituelle, mais parce que cela fait du mal quand je conteste la réalité. Nous pouvons savoir que la réalité est bonne telle qu’elle est, parce que lorsque nous la contestons, nous falsons l’expérience de la tension et de la frustration.
Nous ne nous sentons alors ni naturels ni équilibrés. Lorsque nous cessons de contester la réalité, l’action devient simple, fluide, bienveillante et sans peur. Rester dans vos propres affaires Je ne peux trouver dans l’univers que trois sortes d’affaires : les miennes, les vôtres, et celles de Dieu. (Pour moi, le mot Dieu veut dire « la réalité La réalité est Dieu parce qu’elle règne. Tout ce qui est hors de mon contrôle, de votre contrôle, ou du contrôle de quelqu’un d’autre, j’appelle cela les affaires de Dieu. La majeure partie de notre stress vient du fait de nous trouver mentalement hors de nos propres affaires. Lorsque je pense, « Vous avez esoin de trouver un 4 autre travail, je veux que vous soyez heureux, vous devriez être ? l’heure, vous avez besoin de faire plus a s le suis dans vos PAGF 7 5 tremblements de terre, des inondations, de la guerre et de la date laquelle je vais mourir, je suis dans les affaires de Dieu. Si je suis dans vos affaires ou dans les affaires de Dieu, le résu tat est la séparation. J’ai remarqué cela très tôt en 1986.
Quand j’allais mentalement dans les affaires de ma mère, par exemple, avec une pensée du genre, « Ma mère devrait me comprendre j’éprouvais immédiatement un sentiment de solitude. Et je me suis rendu ompte alors que chaque fois dans ma vie que je me sentais blessée ou seule, j’étais dans les affaires de quelqu’un d’autre. Si vous vivez votre vie et que mentalement je vis votre vie, qui est ICI pour vivre la mienne ? Nous sommes tous les deux là-bas. Etre mentalement dans vos affaires m’empêche d’être présent dans les miennes. Je suis séparé de moi-même, me demandant pourquoi ma vie ne va pas bien.
Penser savoir ce qui est mieux pour qui que ce soit d’autre, c’est être hors de mes affaires. Même au nom de l’amour, c’est de l’arrogance pure, et le résultat c’est la tension, l’anxiété et la peur. Est-ce que je sais ce qui est bon pour moi ? Seul cela est mon affaire. Laissez-moi donc m’occuper de cela avant que je n’essaye de résoudre vos problèmes à votre place. Si vous comprenez suffisamment les trois sortes d’affaires pour rester dans les vôtres, cela pourrait libérer votre vie d’une façon que vous ne pouvez meme pas imaeiner.
La prochaine foi rouverez du stress ou du PAGF 8 5 prochaine fois que vous éprouverez du stress ou du mal-être, demandez-vous dans les affaires de qui vous vous trouvez mentalement, et vous pourriez éclater de rire ! Cette question peut vous ramener ? vous-même. Et vous ourriez vous apercevoir que vous n’avez jamais été vraiment présent, que vous avez vécu toute votre vie dans les affaires des autres. Rien que de remarquer que vous êtes dans les affaires d’autrui peut vous ramener à rêtre merveilleux que vous êtes.
Et si vous pratiquez cela un certain temps, vous en viendrez à VOIr que vous n’avez pas d’affaire en propre non plus et que votre vie se déroule parfaitement bien d’elle-même. Rencontrer vos pensées avec compréhension Une pensée est inoffensive jusqu’à ce que nous la croyions. Ce ne sont pas nos pensées, mais l’attachement à nos pensées qui cause la souffrance. S’attacher à une ensée, c’est croire qu’elle est vraie, sans la remettre en question. une croyance est une pensée à laquelle nous sommes attachés, souvent depuis des années.
La plupart des gens pensent être ce que leurs pensées leur disent qu’ils sont. Un jour j’ai remarqué que je ne respirais pas – j’étais respirée. Ensuite j’ai remarqué aussi, à mon grand étonnement, que je ne pensais pas – qu’en réalité j’étais pensée, et que penser n’a rien de personnel. Vous réveillez- vous le matin en vous disant à vous-même, « e ense ue je ne vais pas penser auiourd’hui » ? tard : vous pensez déjà ! Les pensées apparaissent simplement. Elles urgissent de nulle part et retournent à nulle part, tel des nuages traversant le ciel vide.
Elles viennent juste pour passer, pas pour rester. Elles ne font pas de mal jusqu’à ce que nous nous y attachions en les prenant pour vraies. Personne n’a jamais été capable de contrôler ses pensées, même si certaines personnes dlsent y être parvenues. Je ne lâche pas mes pensées -je les rencontre avec compréhension. Ensuite ce sont elles qui me lâchent. Les pensées sont comme la brise ou les feuilles des arbres ou les gouttes de pluie qui tombent. Elles apparaissent comme cela, et grâce au questionnement nous nous en faisons des amies. Lutteriez-vous contre une goutte de pluie ?
Les gouttes de pluie ne sont pas personnelles, et les pensées non plus. Lorsqu’un concept douloureux est rencontré avec compréhension, la fois suivante il se peut que vous le trouviez intéressant. Ce qui était un cauchemar est maintenant simplement intéressant. La fois d’après il se peut que vous le trouviez drôle. La fois suivante peut-être ne le remarquerez-vous même pas. Ceci est le pouvoir d’aimer ce qui est. Mettre le mental sur papier La première étape du Travail consiste à écrire vos jugements ? propos de n’importe quelle situation votre vie passée,