L’avênement de la science moderne en occident
Les hommes ivent dans une sort est une sorte de mo Relation entre le mic un homme en grand organisé selon l’anal 1 Swipe View next page osme nde des prototypes e. Le monde est n petit. Un univers e du continu entre le vivant, principe interne qui à la fois les différencie mais aussi les intègre. Le monde est un tout reposant sur un principe unique indéfiniment décliné, exprimé dans un déploiement infini d’êtres tous différents les uns des autres et en même se composent pour se ranger en espèce en genre et dans un tout…
Les êtres individuels n’ont pas d’autre identité que leur place et eur rôle dans la chaîne dans laquelle ils proviennent. L’homme n’est qu’un moment, une place dans une suite, un saut, un seuil, c’est en cela qu’il a une pleine individualité. Ce n’est pas un point. Difficulté ontologique : les êtres individuels n’ont pas d’autre identité que le to Wew next page leur place et leur rôle dans la chaine des êtres dont ils proviennent. L’être n’est qu’une fonction dans une suite. Il existe comme une différence. Son individualité le range dans une suite. ‘individu est régit par un exposant, par une raison…
Sage grecque = suivre l’ordre du cosmos Cf ION, Phèdre La diversité des lignées est régit par des principes logiques qui sont explosés par Aristote dans le Traité des parties de la nature explique que la diversité des lignées est régit par 2 principes : principes de contrariété et le principe de contradiction. Principe de contrariété : 2 corps contraires appartiennent au même genre parce qu’ils peuvent se reproduire, càd engendrer un nouveau corps qui lui est semblable, à savoir le mâle qui transforme la forme, le genre, et la femelle apportant la matière.
Principe de contradiction : 2 corps qui ne s’attirent pas, qui e peuvent pas se reproduire, appartiennent à des genres différents. Le genre suprême car il inclut la contradiction et il engendre la différenciation infinie à l’intérieur du cosmos. Cest ça l’analogie. Contrairement à naturalisme, où La matière est ocmposé d’éléments en nombres limités et supposé stables, capable d’associer de multiples façons en fonction de la diversité des éléments…….. Grèce ancienne : repose sur 2 paradigmes emboités l’un dans l’autre, reposant sur mm fondement geocetrique : l’un exposé par Aristote, l’autre par Ptolémée.
Ce dernier, dans son fondement st platonicien. Le paradigme aristotélicien : il distingue dans la physique ce qui relève de la nature et ce qui relève de l’art, de la teknè. Ce que la 21 distingue dans la physique ce qui relève de la nature et ce qui relève de l’art, de la teknè. Ce que la nature engendre par elle- même, et ce que l’homme fabrique. Texte fondateur : « parmi les êtres en effets, les uns sont par nature, les autres par d’autres causes. Par nature les animaux Aristote définit ainsi le champ de la physique et du champ de la physique il constitue une science.
Il donne en même temps un oncept de la technique qui exercera une influence déterminante sur le statut de la technique et de se développement dans la société européenne. Connaître pour Aristote, c’est chercher la cause. La cause est interne à la chose car la cause c’est ce qui la met en mouvement. La science entre dans les choses pr Aristote. On n’est pas du tout dans le naturalisme puisqu’on est dans les choses, on cherche ce qui met les choses en mouvement. L’objet c’est le mouvement. Aristote définit/démarque ainsi le champ de la physique et il propose à partir de cette démarcation une science.
Il donne en ême temps un concept de la technique qui aura une influence déterminante sur le statut de la technique dans nos sociétés et qui va définir le cadre dans lequel la technique va se développer de manière considérable… Ce qu’on appelle « naturel » d’après Aristote = tous les êtres qui ont en principe leur mouvement, chercher dans leur corps ce qui les met en mouvement. Connaître, c’est donc connaitre ce qui met en mouvement : connaître la cause du mouvement. C’est donc la 1 ère fois qu’il y a de la physique.
La physique étudie le mouvement, la cause du mouvement à Vintérieur des êtres vivant hysique étudie le mouvement, la cause du mouvement l’intérieur des êtres vivants, étudie ce qui dans les êtres vivants les met en mouvement. è Ce qui a en soi son principe de mouvement. 4 types de rnvt : fin cours 4 : substance, altération, quantité, lieu On est dans un ordre immuable, à l’intérieur du cosmos. Cosmos qui a un centre. Et il y a une dégradation de la perfection. Le mouvement est immuable, stable, et à l’intérieur, progressivement, il y a du mouvement. Le mouvement est réglé par la perfection du contenu immuable.
Nous sommes le monde dégradé et nous avons un problème qui est celui de la iberté. Cette liberté qui nous pèse pour Aristote doit trouver sa résolution dans l’activité mentale qui nous permet à nous, hommes, de remonter à Fordre immuable. Les corps graves (lourds) ont pour lieu le bas. Le bas comme le haut n’est pas un repère externe au corps pour apprécier leur déplacement. Mais le bas et le haut sont une des propriétés intrinsèques du corps. Dans le paradigme aristotélicien, on prétend connaître les corps de l’intérieur en saisissant ce qui les meut, càd ce qui les met en aristotélicien.
Clôture du cosmos : phase ultime à laquelle je eux remonter quand je trouve la cause suprême. On pense l’intérieur de ce cosmos donc la question de ce qu’il y a après ne se pose pas. Quand on remonte au principe du mouvement, au moteur non-mu, qui génère le mvt dans la totalité du cosmos y compris dans le monde sublunaire où on vit, alors on comprend que nous, individus, dotés d’une âme, on est touché dans notre âme, il y a cet Impact et ce lien avec l’ordr 4 21 individus, dotés d’une âme, on est touché dans notre âme, il y a cet impact et ce lien avec l’ordre du cosmos.
C’est pourquoi, quand on pense/quand on cherche la cause et qu’on remonte a cause suprême et qu’on comprend que cette cause suprême engendre le mouvement dans notre âme, on comprend que c’est le cosmos qui se pense en nous, et nous l’inverse. PTOLEMEE : almagest Le modèle de Ptolémée trouve sa source dans le platonisme et non dans l’aristotélisme. Il le trouve dans l’enseignement ésotérique. La force du paradigme ptoléméen, c’est de produire des connaissances.
Le paradigme d’Aristote n’est pas vraiment producteur de connaissances, il explique seulement une métaphysique. Les connaissances qui y sont produites visent seulement à classer les espèces. Le ptoléméen est sur l’obsewation répétée et corrective. C’est donc une machine produire des connaissances, les cumuler, sur le ciel, sur le cosmos et donc sur ce qui pour Aristote constitue la clôture du monde, à savoir l’ordre du tout, le moteur non-mu qui détermine le mouvement dans toute la nature.
Ce qui veut dire que la prod répétée des connaissances par l’observation répétée ds modèle ptoléméen aura la capacité à un moment donné de contredire Aristote et de le conduire à sa rectification Le critère de scientificité qui valide chez Ptolémée : la prévision. Ce critère fonde un type de scientificité et un type de rationalité des connaissances produites. grace à geometrie. Les corps lourds vont vers le bas.
Les corps célestes, dont la matérialité est inaccessible et qu’on va traiter partir seulement de leur forme géométrique s 1 la matérialité est inaccessible et qu’on va traiter à partir seulement de leur forme géométrique. Le problème du traitement de leur matérialité viendra plus tard. On se contente donc de décrire, d’appliquer sur eux la géométrie euclidienne et ses propriétés. Le cosmos était ainsi totalement géométrisable et la géométrie ervait à la fois de principe d’explication et de description.
Complexification croissante de ce systeme. A la fin du Moyen-âge, ce système s’était tellement sophistiqué qu’il se heurtait à une thèse centrale de la théologie chrétienne : c’est que la perfection divine exigeait que Dieu agissait nécessairement de la façon la plus simple et la plus économique, parce qu’il sait tout. Il est donc arrivé un moment où les penseurs se sont demandés pourquoi la nature était si compliquée. La complication n’est pas un signe de perfection mais d’anarchie et de désordre.
C’est ce roblème théologique qui va faire bouger les choses. Textes : ptolemee pretend decrire monde tel qu’il le perçoit! Mais quand l’emboitement des 2 paradigmes va commencer se disloquer et à se contredire, une très grande évolution va se produire. C’est justement le monde moderne, à partir de l’empire roman. La science moderne n’est pas simplement une nouvelle description de la nature et du monde c’est d’abord un nouvel usage de la pratique de la pensée. Il y a donc révolution dans la science mais aussi et surtout dans la pensée.
Copernic! Dc grece = monde est clos, pas seulement dans un cosmos mais ans une clôture qui est métaphysico-théologique. Dans le corpus, le « songe de Cipion » qu’on attribu une clôture qui est métaphysico-théologique. Dans le corpus, le « songe de Cipion » qu’on attribut à Platon alors qu’il est écrit par Cicéron. Cest un commentaire du mythe de la caverne. Cipion s’assoupit, et dans son rêve, il voit la voûte céleste, l’ordre du ciel : les constellations qui président au destin de toute chose et des hommes.
Le modèle ptoléméen a pour but de tracer la carte infinie et totale du ciel. Ily a donc un motif platonicien derrière qui dit u’on va tracer la carte du ciel. Ça explique très bien pourquoi dans cette conception de la science le devin et le géographe sont des disciplines mêlées, non encore spécialisables, sous forme de nœud, ce qui est encore un obstacle au progrès de la science. La déconstruction ne va pas se faire simplement entre le choc des paradigmes.
Il va y avoir un évènement non scientifique, mais théologique qui va se produire. Coupure historique qui va se faire, où le monde antique commence à tomber en désuétude. Les paradigmes ptoléméen et aristotéliciens sont rentrés en conflit au XIIIe siècle. Les problèmes : – Doctrine de l’âme individuelle qui est Pordre du monde. – Le rapport de Dieu à la nature. Comment un Dieu tout puissant puisse être condamné à une seule création ? La conception de l’âme et du corps n’étaient pas compatibles avec le christianisme.
Le Dieu chrétien ne peut pas en rester à la simple fonction du moteur non mu. Pour le moteur non mu, il est une entité non transcendant, il ne peut y avoir qu’un monde, celui dans lequel el sujet à partir de leur âme se pose la question de la cause sans recours à une quelconque trans sujet à partir de leur âme se pose la question de la cause sans ecours à une quelconque transcendance simplement en remontant l’ordre des causes jusqu’à Pordre suprême. Dieu indissociable de la nature.
II n’y avait pas de création divine. Or, l’affirmation de Dieu chrétien, c’est sa transcendance par rapport au monde ici-bas, sa toute puissance comme expression de sa transcendance. Au cours de l’élaboration théologique, cela a conduit à penser que à cause de sa toute puissance, ce monde d’ici-bas avec le moteur non mu n’était qu’un monde possible du point de vue de Dieu même s’il est le seul existant. Le monde du quotidien, c’est le monde dans lequel on cherche
Dieu, c’est un monde imparfait, malheureux, en situation de faute et de pêché parce qu’il est coupé du monde transcendantal. Le mal radical de la coupure et de la séparation, c’est la conséquence d’un péché originel qui a séparé l’homme du monde divin qui a rendu impossible le parcours continu exposé par Aristote par lequel la pensée elle-même et la pensée éthique était capable de remonter au principe de toute chose : découvrir qu’on est un fragment de la nature et qu’on a donc sa place.
Duhem résume ainsi : comme condamnation du nécessitarisme grecque qui conduira nombre de théologiens à affirmer comme ossible, en vertu de la toute puissance du Dieu chrétien, des positions scientifiques ou philosophiques traditionnelles jugées impossibles en vertu de l’essence même des choses. Cette condamnation de l’enseignement d’Aristote conduisait désormais à penser entièrement la relation entre Dieu et sa création, entre Dieu et la nature. Ça désormais à penser entièrement la relation entre Dieu et sa création, entre Dieu et la nature. Ça demandait donc de repenser l’ordre de la nature. a va rendre la connaissance de la nature beaucoup plus profane et sécularisée. On est donc passé de la divergence/tension entre 2 modèles/ paradigmes du monde à la formation de 2 conceptions du monde radicalement différentes : le monde de la théologie chrétienne, telle que se le représente et qu’elle impose, et il y a le monde telle que les 2 modèles grecs permettent de le connaître et qui désormais, à cause du conflit théologique, prend la forme et le contenu d’une nature (la nécessité et la possibilité de connaitre la nature telle qu’elle est en-dehors de la théologie).
La nature, c’est ce qui n’est pas la création, c’est ce qui se donne comme objet d’investigation profane. Et c’est comme ça qu’on change l’ontologie. Dieu a créé l’homme à son image, et Dieu a créé la nature : pas de continuité, hiatus. Il y a donc 2 façons de connaître la nature ; on peut connaitre la nature en se référant à Dieu mais on ne peut connaitre Dieu puisqu’il est transcendant. Mais dans la nature il y a nécessairement des traces de Dieu qui la rend connaissable.
Donc l’idée qui va s’imposer c’est qu’on peut connaître la nature en-dehors de toute référence théologique. Le paradigme aristotélicien et ptoléméen vont être libérés du conflit théologique, il n’y aura pas le tabou théologique et étaphysique, donc ils vont continuer à chercher. Copernic, 1543 à Mettre en conformité l’image du monde avec le concept de perfection divine. Pour lui, la science n’est qu’une en conformité l’image du monde avec le concept de perfection divine. pour lui, la science n’est qu’une image du monde, ce n’est qu’une hypothèse.
Il fait une substitution d’images du monde, de cosmologies, à l’intérieur d’une même conception de la science. Hypothèse scandaleuse parce que ça contredit la Bible qui dit que la Terre est au centre de Punivers. Mais elle ne peut contester le concept de perfection divine. Copernic va donc simplement dire que si on change l’image du monde, on ne fait qu’une hypothèse. Quand on change d’hypothèse, quand on met le soleil au centre de l’univers, les observations et anomalies du géocentrisme disparaissent.
C’est mal reçu seulement à cause de la Bible. A partir du moment où les hypothèses changent, les observations changent, et alors on change d’épistémologie. Copernic : point d’inflexion de l’ontologie analogique. Après lui, on entre vraiment dans la construction d’une nouvelle ontologie. 2e part Le monde n’est pas tel que rhomme le perçoit. L’homme erçoit le monde de façon géocentrée, alors que lorsqu’on pense/ connaît le monde, il est héliocentré.