L’autobiographie
Qui est en mesure de le faire ? La vie de tout homme est très riche, il paraît difficile d’en faire un récit complet. Le genre biographique se consacre à décrire et analyser la vie d’une personne. On distingue ainsi l’autobiographie et la biographie. Nous expliquerons les enjeux de chaque catégorie, puis tâcherons de discuter l’affirmation de Jean-bernera pointais :« AI y a cent biographies possibles pour tout être humain. A priori, on peut dire que la vie d’un homme peut être écrite et racontée par n’importe quel autre homme. Néanmoins, tous les biographes ne disposeront pas exactement des mêmes témoignages ou des mêmes éléments sur lesquels se baser. De plus, chacun devant faire en fonction de sa propre culture ou de sa personnalité, les objectifs de la biographie seront probablement différents. Narguerait recouchera évoque ce défi dans sa préface de misais ou la Vision du vide.
Personne ne peut connaître entièrement un être humain. Le mieux placé pour écrire la meilleure biographie d’une personne pourrait être cette personne elle-même : en effet, elle a un accès direct à la matière première la plus abondante et la plus prof L’auto logera le premier boy corroborais amputa 23, 2011 5 pages pointais :« Il y a cent biographies possibles pour tout être swaps toi vie nixe page proche de la vérité des faits. L’auteur et le biographie ne font plus qu’un : c’est la définition de l’autobiographie.
l’autobiographie, en se racontant, à pour objectif de permettre à d’autres une meilleure connaissance de lui- même, et de revenir sur des moments forts de sa vie afin de les faire revivre. (cf.. Marche pignon dans La gloire de mon Père et Le château de ma Mère). Mais elle peut permettre aussi d’effectuer un bilan public de sa vie, d’en faire un témoignage (comme charges De gaule dans ses Mémoires) qui lui permet de influencer l’image qu’il souhaite laisser de lui-même.
Cette méthode est fréquemment utilisée, notamment par des hommes d’état pour s’assurer de ne pas être oublié par les générations futures et laisser une image positive de son action. Cependant il y a alors le risque de ne pas être totalement fidèle à la vérité, involontairement d’une part lorsque l’autobiographie est trahi par sa mémoire, et allongeraient d’autre part en orientant la présentation de sa vie pour se donner une meilleure image ou se justifier.
Le biographe quand à lui, n’est pas concerné par la question de la recherche personnelle et recherche de soi, son ?ouvre est entièrement dirigée vers un autre que lui- même. En revanche, il est concerné par l’image qu’il construit entièrement dirigée vers un autre que lui-même. En revanche, il est concerné par l’image qu’il construit du sujet de sa biographie : il choisit lui-même l’angle selon lequel il veut présenter son sujet. Il peut l’amer ou ne pas l’aimer, souhaiter révéler ou choisir de dissimuler la part la plus sombre d’une personne ou au contraire la présenter de la manière la plus avantageuse.
Ce sont quelquefois les proches du « biographie » qui rédigent sa biographie, on peut considérer cette méthode comme l’une des plus respectueuses vis a vis de la personne : en effet ses proches étant souvent auprès de lui ils peuvent vivre au plus près les événements tout en étant simplement spectateurs. Ils peuvent raconter la vie de la personne telle que eux l’ont connue, et pas seulement irait de sa seule ?mage publique. (cf. lois De funeste, Ne parlez pas trop de moi les enfants ! Ar Olivier et pâtirai De funeste) Cependant cette méthode empêche d’une certaine façon ces auteurs d’être totalement neutres car il est étonnant qu’ils acceptent de nuire à la personne concernée, à sa mémoire ou à son entourage. Olivier toit aborde cette question dans sa biographie de Camus, albâtre Camus, une vie (texte C) Par ailleurs, le biographe est limité par la qualité et la fiabilité de C) fiabilité des témoignages dont il dispose, particulièrement risquons raconte la vie d’un personnage historique tel jean d’Arc, napoléonien, etc..
On ne les a pas rencontrés, on ne possède que des témoignages remontant à une époque lointaine, qui sont le plus souvent invérifiables. De plus, la notion de vérité historique a évolué au cours des siècles. Le biographe se doit donc d’analyser lesdits témoignages, pour discerner ce qui appartient à la légende de ce qui est réel : Par exemple, selon Robert panne (dans son introduction malaria, texte B), malaria est une personne qui n’ pas laissé beaucoup de traces de vie et que l’on connaît surtout Ar ses activités publiques et par ses ?ouvres (qui pourtant ne reflètent pas les événements de son existence).