L’analyse de la nouvelle de Guy de Maupassant « Mademoiselle Perle »
L’analyse de la nouvelle de Guy de Maupassant « Mademoiselle Perle » Sni* to View Kristina tenyté 2ème année, 1ère gr ‘analyse de la nouvelle commence par le titre dans lequel le nom de mademoiselle perle est déjà mentionné. En fait c’est ce nom qui est le titre : « Mademoiselle Perle ».
Les associations sont claires : le mot « mademoiselle » est associé à une jeune fille et « Perle » est un nom étrange, très doux et beau, le nom qui pourrait appartenir à une princesse d’un conte. On attend une belle histoire d’amour et bien sûr qu’on attend que cette ystérieuse mademoiselle aille être le personnage le plus important de la nouvelle. On veut en savoir plus, on cherche d’information mais en vain.
Dans la première phrase elle est mentionnée encore une fois mais au lieu de tout éclaircir au lecteur par cette phrase l’auteur lui confuse encore plus : « Quelle qu’elle est une bonne? Ou peut-être une parente ? Même le narrateur Gaston ne le sait pas, bien qu’il soit invité à la maison des Chantal depuis plusieurs années et mademoiselle Perle ait été là toujours. Elle était toujours là mais comme un vrai ersonnage magique elle était invisible, inaperçue.
Son extérieur est très pittoresque : «Elle se coiffait dune façon grotesque, avec de petits frisons vieillots tout à fait farces; et, sous cette chevelure on voyait un grand front calme, coupé par deux rides profondes, deux rides de longues tristesses, puis deux yeux bleus, larges et doux, si timides, si craintifs, si humbles, deux beaux yeux restés si naifs, pleins d’étonnement de fillette, de sensations jeunes et aussi de chagrins qui avaient passé dedans, en les attendrissant, sans les troubler Cest le portrait d’un nfant vieux, d’une jeune vieille, le portrait d’une personne très intéressante mais très faible aussi. histoire de mademoiselle Perle récité par M. Chantal est un conte mystique. L’hiver était très froid, tout le monde a parlé de la fin du monde. M. Chantal dit « ça nous faisait froid dans rame, cet immense pays blanc, tout blanc, glacé, et qui luisait comme de vernis ». Une image vraiment triste presque menaçante. Pour l’instant l’atmosphère accablante recule et laisse la famille commencer fêter les Rois mals elle revient tout de suite par la oix du chien et le son de la cloche du jardin. La cloche « avait un gros son de suite par la voix du chien et le son de la cloche du jardin.
La cloche « avait un gros son de cloche d’église qui faisait penser aux morts Cette cloche a sonné comme dans les contes trois fois. Il semble que le froid exceptionnel, la son de la cloche et l’aboiement d’un chien annonce que quelque chose terrible va arriver mais c’est seulement la petite fille abandonnée qu’ils trouvent dans la neige. En racontant l’histoire de mademoiselle Perle M Chantal parle de sa maison à Roüy-le-Tors. Comme la maison des Chantal à Paris qui est si « loin » de Paris, la maison à Roüy- Ie-Tors est au même temps à la ville est sur la plaine, entre la nature et la culture, la civilisation.
C’est de cette plaine dont vient mademoiselle perle. Elle est l’enfant de la nature. Mademoiselle Perle semble encore plus extraordinaire en lui comparant avec les autres femmes dans cette nouvelle. Les femmes de la famille Chantal ne ressemblent pas du tout des créatures magique. Mme Chantal est une grosse femme avec les idées « carrées ». Ses idées sont lourdes comme « les pierres de aille». En fait toutes sa figure, toute sa silhouette semble être lourd et ferme sur ses pieds. Elle fait la partie de la réalité, il ny a rien magique dans son image. Ses filles n’ont pas aucun défaut . lles sont élevées, elles sont belles, elles sont prudentes. Elles sont cultivées dans le monde créé par leur père comme en serre. Elles sont idéales et c’est leur moindre défau cultivées dans le monde créé par leur père comme en serre. Elles sont idéales et c’est leur moindre défaut. Comme toutes les choses idéales elles sont très ennuyeuses et pas du tout charmantes. M. Chantal est « un charmant homme, très instruit, très ouvert, très cordial, mais qui aime avant tout le repos, le calme, la tranquillité Pour garder cette tranquillité il a crée son propre mande fermé où il habite avec sa famille.
Les Chantal sortent de son petit monde seulement pour acheter quelques provisions ou pour amener les mademoiselle Chantal au théâtre (si la pièce est recommandée par le journal que lit M Chantal). Mais ils ne font pas des sorties souvent car, quoique les Chantal habitent à Paris, à leurs avis dans leur petit monde la distance entre leur maison et a ville est énorme. Il faut une longe préparation pour y voyager pour faire des achats, et Madame Chantal et Mademoiselle perle reviennent « extenuées bien qu’émues h.
Chantal ne savent beaucoup de monde dehors leur maison et ce qu’ils savent de ce monde n’eux plait pas. Ils sont contents d’être « momifier » dans une « stagnante immobilité D. Mademoiselle Perle, qui avait la possibilité quitter ce monde artificiel a décidé rester là près de M Chantal. Tout les deux sont trop sensible pour habiter au monde réel, ils sont trop faible pour combattre pour son bonheur, ‘est beaucoup plus facile pour eux de rester immuable, ne pas bouger, oublier ses problèmes et ses envies.
PAGF pour eux de rester immuable, ne pas bouger, oublier ses problèmes et ses envies. Les personnages de M. Chantal et de Mlle Perle ressemblent beaucoup. Ce n’est pas évident au début de la nouvelle mals c’est clair à la fin. Ils sont très émotionnels. Chantal aime la tradition du gâteau des Rois, il se réjouit comme un enfant. « On me regarda, et Chantal s’écria en battant des mains : « Cest Gaston, c’est Gaston. Vive le roi ! Vive le roi ! » Et comment il sanglote uand Gaston recouvre son secret !
Mademoiselle Perle, elle est aussi un grand enfant avec les « beaux yeux restés si naifs, pleins d’étonnement de fillette Ils sont tous les deux nés pas dans leur monde, pas dans leur époque. Gaston, le narrateur n’est pas du tout un observateur objectif. On peut dire qu’il est le catalyseur d’action dans la nouvelle, c’est lui qui dérange la vie stagnante des Chantal. Au début on ne sait qu’il est le fils d’un ami des Chantal et c’est tout. Après on apprend qu’il s’appelle Gaston (« C’est Gaston, c’est Gaston ! Vive le roi, vive le roi ! ??) Et qu’il a vingt-cinq ans il me tutoyait, bien que j’eusse vingt-cinq ans, mais il m’avait vu tout enfant Gaston est un personnage de transition entre les créatures faibles, émotionnelles, sentimentales, avec « l’épiderme moral très sensible » et celles qui appartiennent au monde réel. Il lui-même est la part de ce monde réel mais il sympathise et comprend les appartiennent au monde réel. Il lui-même est la part de ce monde réel mais il sympathise et comprend les sensations et la tristesse de M. Chantal et de mademoiselle Perle.
Et malgré le fait u’il a réveillé les sentiments et la douleur, peut-être que cella devait être faite pour les deux amantes peuvent trouver la vraie tranquillité, pas la stagnation et momification dans laquelle ils ont habité toute leur vie. On a impression que l’histoire du jeune homme devait être la répétition de l’histoire de M. Chantal. Lui aussi peut- être était destiné à se marier avec une des filles Chantal, une de ces poupées artificielles, qui sûrement ressemblaient leur mère. Lejeune narrateur a choisi comme la reine Mademoiselle perle, et dans ce point l’histoire devient vraiment fantastlque.
Mademoiselle Perle est comme une princesse mystérieuse qui est cachée du monde et peut être reconnue seulement par un prince. M. Chantal qui devait jouer le rôle du prince n’avait pas du courage pour trouver sa princesse pour la sauver. Gaston l’a trouvé mais c’est déjà trop tard. Mais comme une vraie princesse magique Mademoiselle Perle l’a peut-être sauvé du destin triste de M. Chantal. Il y a espoir qu’après l’avoir élue comme sa reine et qu’après apprendre Phistoire tragique de deux amantes le jeune homme peut échapper le sort de M. Chantal.