L’afrique – Histoire et géographie
L’Afrique : L’Afrique en chiffres : 30 181 000 km2 22,5% de la surface du globe 1 M habs 14% pop mondiale 54 états (depuis la création du Soudan Sud L’Afrique possède croissance démographique comparable à celle de l’inde. Dans sa masse l’Afrique subsaharienne n’arrive pas ? sortir de la pauvreté0Q du développement. Si de plus l’Etat n’intervient pas pour redistribuer la richesse, il n’y aura pas de dévelop celui de l’état ? On sait que sans bie Attention : il faut fair subsaharienne et un l. Espaces africains. estion n’est il pas or21 – ppement. Sni* to View Afrique 1 .
Une géographie difficile : relief, morphologie et conditions ioclimatiques. L’Afrique est un continent subdivisé. Quelle est la légitimité des 54 états? Ces états ont émergés de la colonisation. Dans les années 1880 1’Afrique fut saisie par les colons (conférence de Berlin en 1884-85). L’indépendance se fait dans les limites des colonisateurs. Il y avait des états formés ou en formation avant l’arrivée des colons. En Afrique la construction étatique est donc récente ( 1960’s). L’Afrique n’est pas géographiquement un continent comme un autre : c’est un continent difficile sur du point de vue géographique.
Les états récents ont donc un gigantesque hantier de création d’infrastructures, dans un environnement continentale (30 M km2). Cette masse n’est pas ouverte sur la Mer. Elle est même Isolée de la mer par la géographie : il y a une difficulté à aller sur les côtes africaines à cause du relief. Chaine de montagnes entre Afrlque du sud et Ethiopie. Particularité de la corne africaine : de hauts sommets . Kilimandjaro : 5895m, Hautes terres de Ruwenzori : 5100m. A cause du réchauffement climatique : les neiges du Kilimandjaro sont en train de fondre[] L’Afrique subi d’une manière très violente les variations climatiques.
Afrique des terres plates et basses « cuvettes » : bassin du Congo, Tchad, Lac victoria, Zambèze, Mont Cameroun : 4070 m. Sur les littoraux ont observe des milieux montagneux0Conditions climatiques et de drainage de l’eau difficiles : « L’Afrique tourne le dos à la mer Vieux reliefs de boucliers : formation d’un vieux socle primaire retravaillé (fracturés) qui isole l’Afrique de la meroterrains riches sur le plan minéral ou métalliqueC]L’Afrique dispose d’une grande richesse de ressources minérales et métalliques contrôlés par les états qui n’utilisent pas les rentes de maniere correcte dilapidation, prédation.
Peu de pays vont en tirer profit. Fleuves : Installés dans les zones de Cuvette et suivent la structure de la cuvette: Congo, Nil, Zambèze, lac Victoria, Fleuve Niger. Le fleuve Niger = la boucle du Niger û e fleuve coule vers l’est et l’intérieur, puis bifurque vers le Nigeria et son delta. Le fleuve commence donc à couler dans des zones désertiques, et lorsqu’il arrive au Nigeria, il n’y a plus beaucoup d’eau. Le Congo fait la même chose, mais on est en zone équatoriale, donc forte présence d’eau.
CIL’eau a tendance ? PAGF 91 même chose, mais on est en zone équatoriale, donc forte présence d’eau. DL’eau a tendance à d’abord couler vers l’intérieur avant de regagner la mer (le nil échappe à cette logique de boucles). Cette structure crée des difficultés de drainages : Au sahel notamment, l’eau qui arrive coule vers l’intérieur sans écoulement vers la mer. Le lac Tchad en évaporation montre bien cette problématique. Les fleuves africains ne sont pas énormes : dans le congrès de 1884 on a imaginé faire de ces fleuves de grandes voies, mais l’utilisation est compliquée.
La gestion continentale se fait très mal entre les états, alors que c’est la zone qui devrait absolument bien s’entendre. Les fleuves ont reçu un statut international lors de la conference de Berlin, mais la gestion des fleuves est médiocres (Egypte/Soudan pour le nil par exempleflTensions). Les Etats ont des visions trop parcellaires de la gestion. Climats : Climat continental sous les latitudes tropicales. La mer pourrait rafraichir le climat mais ne le fait pas0Climat excessif donc. 75% de l’Afrique est dans la zone inter tropicale zone chaude.
La réglon équatoriale est celle du Congo : humidlté permanente+ précipitations importante = Amazonie africaine. Ce milieu ne présente pas d’aménités pour l’homme Dparasite : mouche Tsé sé pour le bétailûcela empêche les pays de cette région de posséder un élevage bovin. Afrique de l’est : grands plateaux (Kenya) encore sous précipitations. La question de ces immenses espaces cultivables est la suivante : protéger les espèces qui vivent là et les mettre dans des parcs protégés, ou bien faire de ces espaces des espaces agricoles.
Le choix se porte plus pour le 3 1 parcs protégés, ou bien faire de ces espaces des espaces agricoles. Le choix se porte plus pour les états sur les parcs alors que les éleveurs préfèreraient créer de la richesse agricoleoproblématiques de choix économiques. Afrique subsaharienne: zone très aride (Sahara) Ototale absence dhumidité. Il y a des populations adaptées à ces modes de vie (Touaregs nomades), mais la modernité ne correspond pas à ce made de vie.
Les sédentaires et les nomades ont des modes de vie complémentaires (nomades= bétails, sédentaires agricultureDil y avait des échanges entre eux, mais le découpage de l’Afrique a cassé les structuresoles nomades ont été sédentarisés). Est : Ethiopie et ses hauts plateaux : poche d’humidité dans une zone aride. L’Afrique méditerranéenne est le seul espace ouvert concrètement sur la mer. Afrique nord et sud : climats méditerranéens. L’Afrique agréable est donc réduite à quelques espaces : enjeux majeurs comme la gestion de l’eau.
Depuis 1960 le désert progresse vers le sud : la zone sahélienne s’assèche etc. Descente vers le sud. Les cllmatologues n’ont pas d’explication rationnelle face ? l’aridification du sahel. 2. La diversité des peuplements. Démographie : Continent sous peuplé vu sa taille (1 MM habs). En matière de peuplement : de grands contrastes entre espaces vides et espaces très peuplés. pays pleins = golfe de guinée (Nigeria : 155M habs ndouble PB . pays le plus peuplé d’Afrique, mais en 1980 : 75M habs.
Population qui a doublé en trente ansfldémographie non maitrisée et transition démographique non achevée, perspective de 300M si on ne fait rien d’ici 30ans Nieeria : Pib/hab : 1100$,’a t pas cla 1 perspective de 300M si on ne fait rien d’ici 30ans). Nigeria : Pib/hab : 1100$/an/hab0 il n’est pas classé dans les PMA mais il est pauvre. Le golfe de guinée concentre des pop importantes : Sénégal : 12,5 M habs (petit pays en taille) : population pas énormes, donc il existe des moyens de gérer un développement (1980 • M habs Ocroissance donc il faut faire attention si on conserve ces dynamiques).
Qui plus est, absence de structures scolaires suffisantes pour former cette population jeune. Pays peuplés : Ethiopie (Pib/hab 340$/an/hab puit de pauvreté), Afrique du sud, Egypte (83M habs), RDC, Tanzanie. Pays peu peuplés : Botswana (2M habs) Maroc : 30M habs (20M en 1980 Ctransition démoG achevée). Ethiopie : 1980 : 35M habs, aujourd’hui 80M habs RDC : région militaire dure à gérer : très riche mais grosse prédation. RDC= 66M habs (30M en 1980)0Pib/habhétérogénéité au niveau du golfe de guinée. Burkina Faso : 550$ ,’hab/an, Mali : 680$/hab/an, Niger : 340$/ an0PMA.
Sénégal : 1000$/hab. Nigeria : 1100$/hab0Moins pauvres. Des états pauvres qui n’ont pas les moyens de mettre en place des infrastructures. IDH: ‘immense partie dans des Idh faibles : Burkina Faso TRANSPORTS ET COMMUNICATIONS : voir doc infrastructures Af Ouest – Routes : Le transport sur les routes africaines et aussi cher qu’en Europe occidentale pourtant la route est défoncée. Déplacement d’une voiture du Japon à Abidjan : 1500$. Déplacement entre Addis-Abeba et Abidjan : 5000$ aplus cher de déplacer intra Afrique qu’en international.
Une fraction des axes n’est pas oudronnée+ péages très nombreux (contrôles en majorité sau nd le transport ro PAGF s 1 goudronnée+ péages très nombreux (contrôles en majorité sauvages). Ceci rend le transport routier très cher (donc pas de marché intérieur car pop pauvre= pas de développement). En plus de ces péages, il faut traverser les frontières. Les infrastructures devraient empêcher cela, mais il y a une multitude de contrôles (officiels ou non) liés à l’incapacité de l’état de garantir les libertés de circulation.
Les organisations régionales ne résolvent pas le problème. Axes intérieurs anciens et inefficaces : Dakar-Ouagadougou- N’Djaména. Les routes côtières et jeunes se développent, boostées par le commerce littoral.. On observe une multiplication des réseaux locaux et régionaux de routes dans l’Afrique de l’ouest. Amélioration à l’échelle locale. Les autoroutes ne sont pas unifiées, il y a quelques éléments autoroutiers (Nigeria : éléments côtiers et axe n/S)[]montre le caractère d’extraction des matières premières et absence de liens internes concrets.
Ce caractère se retrouve dans toute l’AfrÂue (excepté Afrique du sud et Afrique du nord). 75% des routes ne sont pas couvertes. C190% des déplacements se font par le routier. – Ferroviaire Des réseaux n’intéressent personne sauf en cas de ligne intérieur/ côte. Absence de moyens africains. Seuls l’Afrique du sud et du nord ont un réseau (mais médiocre). Les gens ne se déplacent pas (croissances urbaines déséquilibrées), pas de déplacement de produits (bloquage du réseau économique).
Maritime : Grands ports d’Afrique de f’ouest : Lagos, Abidjan, Onne port (Nigeria). Le port de Lagos est un port étrolier celui de Onne port est un port de porte conteneurûi issements dan pétrolier, celui de Onne port est un port de porte conteneur]il y a des investissements dans les ports. 97% des échanges de l’Afrique avec le monde se font par les ports. Ces ports sont gérés par des investisseurs internationaux (Bolloré, Marx). L’Afrique est inexistante dans les flottes maritimes : seulement l’h des flottes mondiales.
L’Afrique sert surtout de pavillon de complaisance (des navires qui échappent aux normes et qui peuvent stationner dans des pays comme le LiberiaDil s’agit d’une location officieuse, où il n’y a pas de sécurité). Les ports privatisés ‘engendrent pas du développement, mais ils favorisent l’exportation des matières premières. 80 ports en Afrique. Aérien L’Afrique manque de routes intérieures et de voies ferrées Clune solution : les lignes aeriennes intérieures pour assurer la circulation des personnes.
Situation d’essor relatif de ce moyen car on voit paraître une pop qui s’enrichie. Présence d’aéroports moyens où les compagnies occidentales sont présentes partout en réalisant des expertises d’aéroports. Les états à l’indépendance vont se doter de compagnles aériennes nationales (air Sénégal pour 3M de personnes)0elles ‘ont pas tenu faute de marché (Air Senegal a été repris par Royal air Maroc)ûglobalement Trois compagnies : Af S, Maroc, Ethiopie. Air Senegal a fait faillite sous Air Maroc.
On voit aujourd’hui réapparaitre des compagnies nationales (question de fierté)ûil faudrait une compagnie régionale pour qu’elles soient efficaces( on revient vers cela). Aujourd’hui l’Afrique est envahie par les compagnies internationales low cost. Future faillite obligée car pas de capacité étatique de générer trois ou q PAGF 7 1 low cost. Future faillite obligée car pas de capacité étatique de énérer trois ou quatre compagnies régionales (même royal air Maroc est au bord de la faillite)0seule des compagnies réglonales peuvent baisser les prix et concurrencer les low cost internationales.
Villes africaines : Bientôt de taux d’urbanisation. Or, il y a davantage de villes en Afrique qu’en inde, mais phénomène macrocéphalique car les pop ne peuvent vivre ailleurs, faute de réseaux internes0Grossissement périphériques des bidonvilles qui se rattachent au cœur des villes (+ dechettes à ciel ouvert). Les espaces plus urbanlses sont sur la côte/ Grandes villes : Lagos, Le Caire, Kinshasa, Abidjan. L’âge moyen des urbains : 18ansflbesoin d’universités, d’écoles etc. Il faut structurer le système. Population face au chômage (quelque fois plus de 50%).
Besoin de certains produits portable (réel besoin qu’il faut payer en travaillant)ûéconomie informelle. Les pays d’Afrique ont abandonné le modèle de Pétat providenceûbaisse des dépenses étatiques + coupes dans les budgetsÛl’état n’a pas d’argentaatteint les secteurs de la santé de l’éducation etc Ostagnation du développement. Esther Duflo : le micro crédit permet aux plus pauvres de survivre mais ne leur permet pas de sortir de la pauvreté : ça leur permet e survivre à la pauvreté dans les grandes villes, mais quel est le ressort pour sortir une population de la pauvreté ?
DL’Afrique est prise à contre pieds par la mondialisation. Au moment où l’Afrique aurait du développer l’Etat providence il a pris fin dans les PDEM ayant atteint des hauts niveaux de développement et ont alors demandé à l’Afrique de participer ? la mondi 91 atteint des hauts niveaux de développement et ont alors demandé à l’Afrique de participer à la mondialisation financière. Multiplication des quartiers informels : au Nigeria quasiment 75% de la pop vit dans des bidonvilles. Au soudan, 90%. de la pop d’Afrique subsaharienne vit dans des bidonvilles. es urbains ont accès à Veau, des urbains ont un réseau d’assainissement. Goudronnage de prestige : entre aéroport/ ville. Projet du grand Dakar : il y a ald quelques éléments de prestiges. Couvertures GSM : on voit apparaitre un réseau de téléphone sénégalais0Mais on ne peux téléphoner à Ouagadougou. Le portable qui est le futur de la téléphonie. L’Afrique reçoit les délocalisations de services européens et français (téléphonie). L’Afrique de l’ouest est reliée à l’Europe et l’Amérique. Permet le développement du e-commerce.
Mais le problème est celui de l’économie matérielle : manque d’électricité, coupures, coûts. Energies : voir doc gazoduc ouest africain : Afrique riche, mals n’est ce pas une malédiction ? DCaptage occidental des matières de l’état et du détournement de la rente. Pétrole : Afrique de l’ouest : suppose des oléoducs, or ils sont côtiers (off shore). Des petits pays qui ont du off shore espèrent beaucoup. Le Nigeria vend sa matière brute et rachète le produit pétrolier faute de moyens : ils l’achètent plus cher et n’en font pas la rande productionûbut : prendre la valeur ajoutée à terme.
PB de sécurlté natlonale et régionale : (cf : Etats du nord au Nigeria, piraterie) Investissements : chine et certains pays investissent massivement dans les infrastructures qui peuvent les aider à Implanter leurs FTN. D’après la CNUCED : Flux d’investissement entrant mondial: 1750MM $ en 2008C1200MM$ en 2010. on voit iCi les conséquences de la crise sur la baisse des investissements. En entrée d’investissements : 55MM en 2010 pour l’Afrique CIAfrique = 4% des IDE En 2008 les PVD représentaient des investissements et en 010 : =>Augmentation dans les PDEM et surtout dans les PVD (Asie), alors qu’il diminue en Afrique.
Le taux de pauvre diminue relativement et peu en Afrique. De plus les IDE se dirigent surtout vers les pays pétrolier (Chine avec Soudan). OL’Afrique n’attire pas, sauf dans certains secteurs. Les IDE vont massivement vers les grands ports, mais ceci ne répond pas au développement africain. L ‘acteur de l’investissement sont les FTN : activité de production des FTN= 25% PIB mondial. Donc la dynamique mondiale dépend de ces FTN et de leurs flux d’investissements. FTN= 1/3 des exportations mondiales. Quelles sont les stratégies des FTN ?
Les IDE sont de plus en plus liés à l’intérêt des FTN (financier). Si les IDE se dirigent vers les secteurs sociaux, tout ceci relève de la « politique sociale » de la firmenaide au développement. Soit les FTN veulent développer l’APD, soit pas. Les FTN pétrolières s’en foutent totalement. Les FTN ont un mode de production international sans participation de capital : on peut être une FTN sans faire d’investissement à l’étrangeroelles font appelle à des entreprises de sous-traitance, et achètent le roduit fini (achat de tonnage de grain auprès des agriculte cession de