L’affaire Calas

essay B

Dissertation : L’affaire Calas. Tout à commencer le 13 octobre 1762 où Marc-Antoine Calas fut retrouvé pendu par son frère Pierre. Son père, Jean décida alors de faire crolre à un accident pour éviter à son fils, mort, d’être traîné sur une claie, jeté à la fosse commune et d’être privé de funérailles. Alors que la France pratiquait le catholicisme sous le règne de Louis XV, la famille de Marc-Antoine faisait partie des rares familles Protestantes de Toulouse.

Marc-Antoine étudiait le Droit, étant donné la croyance de sa famille, il se vu menacé par ses professeurs de ne pa as au catholicisme. I compliquée, ne sach solution que de se d autorités s’étaient re PACE 1 or 3 Snipe to View nextÇEge Il ne se convertissait s une situation il ne trouva d’autre sa mort, les faire un constat, elles découvrirent des traces de strangulation sur son coup et décidèrent d’arrêter Jean puisque ce qui leur avait été rapporté ne tenait pas la route.

II aura été torturé et accusé d’avoir tué son fils pour l’empêcher de se convertir. C’est en mars 1763 que tomba le verdict, Jean fut déclaré coupable et exécuté à la roue. Sa famille fut également confisquée de ses biens et exilée. Pas loin de Toulouse, à Genève, vivait un autre exilé célèbre d’aujourd’hul, Voltaire. Il re Swipe to View next page rencontra Pierre qu’il lui fut part de cette douloureuse histoire vécu par sa famille et décida de l’héberger lui, sa mère et ses deux sœurs.

Voltaire était un homme riche et décida de leur venir en aide, c’est pour cela qu’il engagea des enquêteurs et se rendu compte que la version de Pierre n’était autre que la vrai. Il eut dailleurs écrit un texte visant à la réhabilitation de Jean Calas, « Le traité sur la Tolérance », comme son nom l’indique, Voltaire avait our objectif d’inviter les personnes de son époque à la tolérance entre les religions. En 1765, Voltaire et les Calas furent invités devant la cours du roi de France.

Voltaire exposa les faits devant celui-ci et le Conseil Royal eut comme décision la réhabilitation de Jean, l’autorisation à la famille de retourner en France, la restltution de leurs biens, la compensation des dommages alnsl que la destitution des Juges. L’affaire Calas est un bon exemple des nombreuses erreurs judicaires qu’il existe encore dans le monde entier, et en parti aux Etats-Unis, condamner un innocent à toutes sortes d’impacts, ant chez l’innocent que chez le coupable qui court toujours dans la nature.

Si je condamne un innocent, le coupable est donc toujours en liberté, l’innocent, lui par contre, volt sa vie anéantie et en partie pour sa famille qui en subit son absence. Une fois que le juge prend conscience de son erreur judiciaire, qu’il a condamné la mauvaise personne à mort ou sous peine de pr conscience de son erreur judiciaire, qu’il a condamné la mauvaise personne à mort ou sous peine de prison, il ne peut plus retourner en arrière, le mal est déjà fait. Il a tué un innocent ou gâcher sa vie tout simplement.

Il a aussl laissé l’opportunité au récidiviste de commettre d’autres actes car celui-ci prend confiance et va même peut-être jusqu’à aggraver ses actes. De plus, le fait qu’il ne soit pas puni, crée une émeute de personnes révoltées et les innocents sont évidemment pénalisés. D’un autre côté, certains récidivistes réagissent et se disent qu’ils ne pourront échapper à la justice une deuxieme et stoppent donc tout actes qui pourraient les mener en prison, d’autant plus qu’ils risqueraient une peine plus conséquente.

Pour conclure, suite aux nombreuses erreurs commissent par a justice, des solutions devraient être mises en place tel que ne pas condamner la personne soupçonnée tant qu’il n’existe aucune preuve, scientifique par exemple, ne pas infligé des peines trop lourdes, en partie la peine de mort mais plutôt privilégier des peines tel que des amendes, des sursis ou bien encore des travaux. Il faudrait aussi revoir la formation d’un meilleur personnel judiciaire, pouvoir donner de bons moyens ? la justice d’exercer son devoir, lutter contre la corruption et enfin supprimer les jurys populaires comme il en existe en Belgique.