La rethorique
L’enseignement est donné par les sophistes ou rhéteurs, il dure plusieurs années, environ de l’âge de 15 ans à vingt ans. Le but est d’avoir un discours efficace, qui convainc. Ce n’est pas forcement un discours vrai, à la différence du philosophe. 2. Les contenus de la rhétorique (société antique) La définition des différentes parties de discours que le citoyen peut rencontrer au cours de sa vie.
Les trois grands types de discours sont: – le discours délibératif: tenu dans le cadre d’une assemblée politique; – le discours judiciaire: dans le tribunal (accusation/ u premier boy leurra baffle 04, 2009 | 7 pages défense); – le discours épidermique: discours ornemental, qui ne hercher pas à convaincre, qui prend place par exemple lors de l’inauguration d’un monument, d’une oraison funèbre. Cohérent; – l’élocution: le travail du style ( qualités esthétiques du texte) l’action: attitude gestuelle, physique et vocale. 3. L’évolution de la rhétorique de l’antiquité à nos jours La rhétorique de l’antiquité fonctionnait dans le cadre d’une société démocratique. Une évolution s’opère dans l’antiquité par la disparition du système politique de la cité, vers la fin du quatrième siècle avant Jésus-Christ. La monarchie macédoine était dirigée par le roi philtre, il renferme la gerce en monarchie. Son successeur, le fils: lézardée Le Grand va étendre ce système, ou du moins tenter de l’étendre en égyptien, l’orient et l’Inde.
Il construit un empire. En ce qui concerne l’italien, la république romaine disparaît à la fin du premier siècle à cause de la création d’une monarchie avec joules cessa, qui entraîne une modification des institutions et le déclin des assemblées politiques ou tribunaux. On pourrait à partir de à émettre une loi historique: la corrélation entre système politique et rhétorique (document 15). Au moyen âge, le développement de l’église et de la monarchie n’aide pas la mise en place d’un débat contradictoire.
Le parlement de Paris à un privilège depuis le moyen âge (compromis entre pure monarchie et justice par des magistrats indépendants), le roi ne pouvait promulguer une loi sans l’assentiment du magistrat (appelé enregistrement), en cas de refus le roi se déplaçait et le parlement était quasiment obligé d’accepter la loi. Refus le roi se déplaçait et le parlement était quasiment obligé d’accepter la loi. La rhétorique a subsisté sous ‘ancien régime mais sous une forme diminuée, un discours épidermique et l’élocution.
La rhétorique n’ jamais cessé d’être enseignée, juste diminuée à certaines périodes. Jusque 1860, le discours transmis est le plus souvent un discours décoratif. 4. La rhétorique restreinte Du moyen âge jusque 1850-60, elle se limite au discours épidermique et l’élocution. Enseigne aux élèves le discours agréable. On ne développe pas la contestation et l’esprit critique. L’élocution était beaucoup travaillée. Théoriquement lors d’un énoncé, on a deux possibilités de ‘exprimer, ordinairement, et d’une manière plus complexe, plus travaillée.
Le premier problème est de voir si l’on a le choix entre ces deux discours. Dans l’antiquité, on n’avait pas le choix, on parlait au sens figuré, par exemple: les ailes du moulin (catcheuse). Le second problème est celui de la classification des figures: – figures qui entraîne une modification de forme euphonique ou graphique; – figures qui apportent une modification sur le plan de l’ordre des termes; – figures qui affectent le sens des mots que l’on emploie. Ex: boire un verre. Boire le contenu; figures qui renvoient à l’intellectualité (quand on se réfère à une ouvre ou à un auteur). . Les grandes catégories de figures de rhétorique 1. Qui affectent la forme euphonique ou graphique figures de rhétorique 1 . Qui affectent la forme euphonique ou graphique ex: Si tu t’imagines fillette axa va durer (affecte les deux). La paronymes: répéter le même phonème. Ex: Qui vivra verra. L’allitération: reprise du même phonème. Ex: Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes. L’homophonie: à travers le procédé de la rime. 2. Figures qui concernent la syntaxe, qui changent l’ordre habituel des mots. Ex: Le voleur, le gendarme il la attrapé? R. Quand) inaccentué: rupture de construction syntaxique. Ex: Le nez de coléoptère, s’il eut été plus court, toute la face de la terre aurait changé. (Pascal) ex: Ses lèvres à peine en eut touché les bords, le fer ne produit pas de plus grand effet. (Racine, britannique) Ellipse: formulation ramassée dans laquelle un certain nombre de termes sont supprimés. Ex: Vous, ici? Inversion: poste position du sujet par rapport au verbe. Ex: Restait cette redoutable infanterie espagnole. (bossues) 3. Les figures qui affectent le sens des termes que l’on emploie.
C’est la catégorie la plus importante des figures de style, la liste suivante n’est pas exhaustive. Litote: exprimer une idée forte sous une forme atténuée. En anglais: endurcissement. Ex: ces pas mauvais. (C’est bien. ) ex: Je ne te hais point. Eue t’aime. ) Antiphrase: exprimer une idée à l’aide d’une formulation opposée à celle-ci. Ex: Depuis quinze jours, nous avons des frites à manger, c’est génial. Périphrase: emploi de plusieurs termes alors qu’un seul suffirait. Par exemple dire « l’astre du jour » pour désigner le soleil.
Comparaison: rapprocher deux termes pour faire apparaître une certaine parenté, à l’aide d’un mot outil comme « sembler à », « paraître », « comparable à » ou « tel » ex: Ton corps se penche et s’allonge comme un fin vaisseau. (baudrier) Métaphore: Idem à la comparaison, mais sans outil intermédiaire. Ex: Le pâtre promontoire au chapeau dénué. Cette faucille d’or dans le champ des étoiles. (aigu) Métaphore/comparaison: la métaphore raccourcit, elle superpose, l’effet poétique est plus grand qu’avec la comparaison, un peu trop voyante.
antonymie: désigner un objet par un terme se rapportant un autre avec lequel il est possible d’établir une relation logique. Elle se forme par un rapport contenant/ contenu (ex: boire un verre), cause/ effet (ex: la plume de l’écrivain), objet/matière (ex: le fer/ l’épée), une voile à l’horizon. Syndiquée: c’est une antonymie avec un lien de nécessité entre les deux termes. Ex: un troupeau de cent têtes. Antithèse: opposer deux objets ou deux notions de façon loin des sentiers obliques. Ex: Et le jour sera pour moi comme la nuit. Ex: Il faut que l’herbe pousse et que les enfants meurent.
sombre: antithèse avec confusion. Ex: Les fleurs du mal. Ex: Oh mal! Soit mon bien! Prétention: indiquer que l’on ne parlera de quelque chose tout en parlant. Ex: Nous ne rappellerons pas les causes, la ex: Je ne vous ferai pas l’injure de vous dire que… 4. Qui affectent la logique, les mots et les choses. Ex: La terre est bleue comme une orange. (allure) ex: Le soleil noir de la mélancolie. (narval) 5. Qui relèvent de l’intellectualité. A l’oral ou à l’écrit, il n’ a pas de texte naïf, vierge de culture. Tout texte porte la trace d’autres textes. Tout texte est travaillé par d’autres textes » (roulant barrées). On peut distinguer trois modalités de l’intellectualité: – Un texte peut porter la trace d’un autre texte parce qu’il se réfère plus ou moins explicitement à une ouvre antérieure. – Parce qu’il comporte des citations empruntées à un autre texte. Elles peuvent avoir un aspect explicite (guillemets) avec un appel de note, une référence, ou être intégrées (ex: « Les merveilleux nuages » de française sagas, formule empruntée à baudrier. « Les nourritures terrestres » de égide. ). Quelques fois, on ne le mentionne pas parce que c’est évident.