La mort intirne

essay B

De manière générale, c’est I expérience acquise dans ce service que l’auteur relate dans ce livre. Nous étudierons le témoignage de patients où elle aborde des expériences humaines, « des angoisses et des espérances, la souffrance de l’autre et le dialogue éternel de la si e toi vie nées a e La mort intime premier boy chérissais empâta 22, 2011 | 4 pages spire toi vie nées page la vie et de la mort. Pour conclure, j’analyserai en quoi ce récit est une véritable leçon de vie et en quoi il ma particulièrement émue, ma donné une vision plus précise de la mort et les soins qui la précèdent. Ce livre, préfacé par français indéterminé veut nous sensibiliser à la richesse de l’accompagnement des derniers moments de la vie dans la dignité, le respect des volontés, la tendresse malgré la souffrance. AI retrace l’expérience de Marie De haineuse et parle de ce livre comme une véritable leçon de vie.

Il évoque le courage de dentelé, une patiente de l’unité, qu’il a rencontré lors de sa visite de I établissement. Par ce sujet difficile et encore tabou, l’auteur essais de nous délivrer un véritable témoignage et de nous décrire des moments d’échanges intenses et précieux. On pénètre dans l’univers d une unité de soins palliatifs ou les malades sont accueillis pour y vivre les derniers moments de leur existence. La mort nous touche, nous interroge, nous fais peur et este pourtant sans réponses.

Les circonstances et l’heure de la mort reste le secret le plus intime. A travers cet ouvrage, l’auteur lève le silence de la mort pour rétablir son lien avec la vie. La mort n est pas la fin mais le cheminement de la vie d’où la nécessité de I accompagnement des personnes afin que dans I intimité et le respect, la personne puisse vivre ce qu’le accompagnement des personnes afin que dans I intimité et le respect, la personne puisse vivre ce qu’elle a encore donner, à exprimer.

Tout en dénonçant la pratique des hôpitaux qui souvent ignore la souffrance émotionnelle du malade et de son entourage, en nous rappelant que l’euthanasie n’étant pas légaliser en France, et ne pouvant pas répondre a la demande du patient d’une mort provoqué, Marie nous propose un accompagnement basé sur la subtilité et la finesse des échanges qui apaisent les angoisses.

Plutôt que de mourir seul, dans la peur, la tristesse, ce livre souligne I importance de la relation humaine, de nos proches prés de nous, et d’avoir une communication sans le déni de la mort prochaine. Souvent au lieu de regarder la mort en face, on agit comme si elle ne nous touchait pas. On est mal à l’aise avec nos proches, on leur ment, à soi-même aussi.

Le chagrin et la douleur nous empêche d’échanger des paroles d’amour, des moments de tendresses, et de pardon, pour créer une dernière relation forte dont l’homme à besoin pour partir. Elle nous explique I importance pour le mourant et ses proches de ses instants d’échanges. Selon elle il ne faut pas avoir peur de parler de la mort avec le malade bien au contraire il faut verbaliser, ses angoisses, sa colère ou encore ses désirs.