La finance islamique
Cette résistance s’explique essentiellement par le rapatriement des fonds moyen-orientaux vers leur pays d’origine su été aux événements du 11 septembre 2001 , l’essor économique et la croissance boursière qu’ connues la région, à l’image du marché boursier saoudien dont la capitalisation boursière a été multipliée par 10 et les PÈRE par 2 durant les 5 dernières années. Les banques « conventionnelles » n’ont pas tardé à réagir afin de ne pas perdre une partie de cette manne, voire de gagner de nouveaux clients, et ont pour beaucoup d’entre elles lancé leur propres filiales islamiques.
A titre d’exemple, la part des produits islamiques dans le système bancaire des pays du Conseil de Coopération du Golfe premier boy SIAMOISES 11, 2009 8 pages du secteur de 15 % par an sur les 10 dernières années. (CG) représente 17 % des actifs totaux. Ces actifs représentent, quant à eux, uniquement 28% des actifs financiers islamiques dans le monde. Le marché des fonds d’investissement islamiques est aussi être acte ce Fo que’ trac tua que ré Ain du de pp Si di ré op est au lui connaît habituellement. Les coûts fixes financiers n’existent pas, puisque cas d’adverse deviennent des tous variables.
L’effet de levier est donc inexistant, devrait se traduire par moins de faillite d’entreprises, donc pal rentabilité économiques plus faibles : les acteurs les moins fie n’étant pas éliminés par la faillite, peuvent poursuivre plus long une activité avec des marges faibles qui tirent vers le bas la rentabilité secteur ars. (I) Pour plus de détails, voir le chapitre 19 du Vernir 2005. 3 A l’inverse, la possibilité de faire fortune en tant qu’entrepreneur paraît plus limitée sans le recours possible à un effet de levier utilisé qui a, par exemple, permis à B.
rancart (LIV.) et F. Pinçait (P arrêtes) de devenir en 25 ans les deux entrepreneurs les plus ri France, sans parler de L. Imitait hors de l’hexagone. L’Islam condamne également toute spéculation (hg tout pari sur l’avenir. Ainsi, les systèmes de vente à découvert, oc swaps, sont interdits dans un système financier islamique. Pour s’assurer de la parfaite adéquation des produit qu’elles proposent fixes financiers n’existent pas, puisque cas d’adversité, ils coûts variables.
L’effet de levier est donc inexistant, ce qui traduire par moins de faillite d’entreprises, donc par des économiques plus faibles : les acteurs les moins efficaces, éliminés par la faillite, peuvent poursuivre plus longtemps des marges faibles qui tirent vers le bas la rentabilité des secteurs. (1) Pour plus de détails, voir le chapitre 19 du vermine limitée sans le recours possible à un effet de levier bien exemple, permis à B. rancart (LIV.) et F. Pinçait (APR. – devenir en 25 ans les deux entrepreneurs les plus riches de L’Islam condamne également toute spéculation (gardera), l’avenir.
Ainsi, les systèmes de vente à découvert, options, swaps, … , sont Pour s’assurer de la parfaite adéquation des produits que chaque produit adhère strictement aux principes de la charria. Les produits financiers islamiques standards Les principaux produits islamiques sont : ? murmurera (interprétation) L’institution financière émettrice joue le rôle d’un intermédiaire commercial, achetant des marchandises nécessaires à ses clients et les leur revendant en différé moyennant profit. On se rapproche de la étatisation (1) ou du portage (2). Amadouera (Commandite) C’est un contrat entre une institution financière et une entreprise, l’une agissant comme bailleur de fonds « commanditaire » et l’autre agissant comme manager « commandité », pour investir dans une activité ou une classe d’actif prédéterminée qui octroie à chacun une part du résultat déterminée lors de l’investissement. Le commandité ne partage pas les pertes, la perte financière incombe au bailleur de fonds seulement ; la perte du manager étant le coût d’opportunité de sa propre force de travail qui a échoué de générer un surplus de revenu. Musardera (Association) C’est un partenaires entre une institution financière et une entreprise sur la base duquel l’institution financière comme l’entreprise existe une deuxième forme de Musardera : la Musardera décroissante par laquelle l’entreprise consent à racheter la part de l’institution financière après une période donnée. Là on se rapproche du portage. ? agira (Crédit-bail) C’est un contrat d’achat dans lequel une institution financière achète un équipement ou une propriété et le loue en crédit-bail à une entreprise. 1) Pour plus de détails voir le chapitre 52 du vermine (2) Pour plus de détails voir le chapitre 52 du vermine ÊTRE VERMINE. NET 4 l’agira peut prendre la forme d’logera-ha-liquidant (crédit-bail avec promesse d’achat). Ce contrat est similaire à l’agira mais inclut une promesse d’achat du bien de la part du client à la fin du contrat. Enfin, une troisième variante de l’agira est l’agira avec Musardera décroissante. Ce contrat peut être utilisé pour l’achat d’rembobiner.
La part de l’institution financière dans le bien loué diminue avec les paiements de capital que le client effectue en sus du paiement des loyers, l’objectif étant, à terme, le transfert de propriété du bien au client. Kola (Agence) C’est un contrat d’agence inca huant, généralement, des frais d’expertise. Les financière verse, d’avance, les montants correspondant à la livraison future d’une quantité définie de marchandises. Un salami est principalement utilisé pour le financement des marchandises.
Il est semblable à un forcera (I) où la livraison est à une date future en échange du paiement au comptant. ? stationnais (Contrat de traitante) C’est un contrat d’entreprise en vertu duquel une partie (moussaient) demande à une autre (assaini) de lui fabriquer ou construire un ouvrage moyennant une rémunération payable d’avance, de manière fractionnée ou à terme. AI s’agit d’une variante qui s’apparente au contrat salami à la différence que l’objet de la transaction porte sur la livraison, non pas de marchandises achetées en l’état, mais de produits finis ayant subi un processus de transformation.
L’ stationnais fournit donc un financement à moyen-long terme pour couvrir les besoins de financement pour la fabrication, la construction ou la fourniture de produits finis. (I) Pour plus de détails voir le chapitre 53 du vermine NO 51 LA LETTRE VERMINE. NET 5 capitaux propres évoqué plus haut est donc loin d’être réalisé. Il est vrai qu’il n’ a pas de miracle en finance. Autres produits financiers islamiques En finance islamique, les comptes courants et compte d’épargne ne sont pas rémunérés.
Ces dépôts sont considérés comme des prêts (quart) et leur remboursement est garanti. En effet, et selon le principe de la confiance (al-adieu), le contrat liant la banque et ses clients dans le cadre d’un compte courant ou un compte d’épargne est un contrat établi pour protéger les richesses des épargnants. Les «comptes d’investissement» destinés à financer des placements sont, quant à eux, rétribués en fonction du résultat dégagé par ces mêmes placements.