La croyance. Dissertation Philosophique

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La croyance, une science aveugle, ou source de connaissances ? Ce fait de croire se traduit par plusieurs définitions, mais dans le cas du sujet de cette dissertation, nous retiendrons une seule définition. Une croyance reste essentiellement un acte de tenir pour vrai une quelconque information affirmative, principale point commun avec le savoir. Mais ce point commun suffit-il afin de les placer sur la même ligne d’horizon ?. Ils apparaissent comme contradictoires, semblable mais tellement différent, un vrai paradoxe.

Nous verrons donc s’il y a un intermédiaire, c’est-à-dire un ?vénement qui est pl donc qui occupe une situation moyenne e e i. urtant si la croyance ta View next page s’oppose au savoir, el ne s’o la croyance est une i Ignorance. s à l’ignorance. Mais nc elle n’est pas une Si on définit l’ignorance comme une absence de savoir alors on doit donc en déduire que la croyance n’est pas une complète absence de savoir. Elle serait plus qu’une ignorance et moins qu’un savoir, comme un centre entre deux points diagonalement opposés.

Ou bien, la croyance constituerait un intermédiaire, voir un degré pour accéder au savoir ? Car elle n’est pas une gnorance. Ou bien la croyance ne sera jamais un intermédiaire mais un obstacle à abattre pour accéder au savoir. Plateforme d’accès où mur infranchissable ? Dans une première partie, nous verrons verrons que la croyance est un Intermédiaire, voir un degrés entre l’ignorance et le savoir, puis dans une deuxième partie, nous expliquerons en quoi la croyance est un obstacle à éradiquer pour parvenir au savoir.

Finalement, nous démontrerons qu’aucune croyances ne peut-être le milieu entre l’ignorance et le savoir. Rien de ce qui relève de la croyance ne relève du savoir. La croyance est extérieur à ma raison donc elle constitue le premier obstacle pour accéder au savoir mais elle ne s’oppose pas moins à l’ignorance, qui elle, est une absence totale de savoir. Donc la croyance à quelques connaissances, elle pourrait alors devenir un degré, voir un moyen pour accéder au savoir.

Le mouvement, qui se définit par le fait d’être ce qu’il est et ce qui n’est plus ce qu’il est, un acte flou qui dès qu’il atteint son point disparait aussitôt. La science est en mouvement, donc elle est un savoir. Elle l’est et à la fois elle ne l’est plus. Dieu est totalement ce qu’il est de manière absolu donc il n’est pas en mouvement alors que le soleil est en mouvement mais il constitue une science certaine et indubitable. Le philosophe est clairement définit par celui qui recherche ardemment la sagesse et c’est parce qu’il recherche celle-ci, qu’on dit qu’il recherche la vérité.

Alors que les hommes qui recherche le divertissement ou qui recherchent des choses qu’ils perçoivent avec leur sens, qui nous trompent car ils reposent seulement sur une certitude sensible, alors ils croient. e philosophe, lui, observe , contemple mais reste en retrait, il alors ils croient. Le philosophe, lui, observe , contemple mais reste en retrait, il garde de la distance par rapport à ce qu’il contemple, alors il peut prétendre au savoir. Selon Pythagore, il y a trois sortes dhommes qui vont aux jeux olympiques, mais nous nous pencherons seulement sur un cas.

Ily a le spectateur, qui recherche la contemplation, l’admiration et le philosophe, qui fait partie des spectateurs mais qui garde de la distance sur ce qu’il contemple. Le spectateur recherche le beau spectacle, c’est-à-dire les belles choses alors que le philosophe recherche la vérité et la sagesse, ‘est-à-dire le beau-lui-même, qui ne peut pas être contemplé par le moyen des sens. Alors le spectateur reposerait sur les choses sensibles donc sur des croyances et le philosophe, sur des choses intelligibles, qui mèneraient au savoir. spectateur prétend aux sciences de ce qui semble donc à des croyances et le philosophe pourra prétendre au savoir de ce qui est réellement. La thèse centrale serait: ce qui est totalement est totalement connaissable alors que ce qui est aucunement est totalement inconnaissable. Si l’on divise cette thèse, elle se transformerait en 3 petites hèses. La première serait, connaître est toujours la connaissance de quelque chose, la deuxième serait, connaître c’est connaître quelque chose qui est et la troisième, c’est connaître quelque chose qui est mais qui pour cette raison est absolument connaissable. ?tre signifie toujours exister, pour les grecs. Plus quelque chose existe, plus elle est réel et plus elle sera connaissable. Dans ce ca 3 grecs. Plus quelque chose existe, plus elle est réel et plus elle sera Dans ce cas-là, être serait du côté du réel et le savoir serait du côté du discours. L’existence est donc une connaissance par sa seule présence. Selon Platon, on ne pourrait pas connaître quelque chose qui ne serait pas réel. On peut croire qu’on sait mais ce n’est pas savoir que l’on sait.

L’étude de l’être est appelée l’ontologie et celle du savoir s’appelle l’épistémologie. Il y a plusieurs degrés d’être, et pour chaque degré d’être, il y a un degré de savoir correspondant. Le savoir varie en fonction directe de l’existence. La science physique étudie les êtres qui sont en mouvement, selon Platon, ils ne pourront jamais devenir une science et le mouvement orrespond, dans le régime épistémologique, à une croyance. Mais si la croyance est un degré pour aboutir au savoir, elle serait donc un intermédiaire entre ignorer et savoir.

Mais l’opinion est un type de croyance, qui est reçu de l’extérieur dont l’origine est extérieure à la raison. Ces opinions font obstacle à la recherche du savoir, alors la croyance serait un obstacle à éliminer pour accéder au savoir. La recherche du savoir va passer au travail du doute, car douter c’est arriver à outrepasser et défaire des opinions qui habitent l’esprit et qui on était forgés sans le consentement de la ralson. Le temps de la méditation va engager trois ruptures de la vie ordinaire.

La première c’est le lien social, car on est soumis à la pression du milieu. Ces règles sont toujours là avant nous, ça 4 social, car on est soums à la pression du milieu. Ces règles sont toujours là avant nous, ça s’appelle la culture, ce sont nos droits subjectifs. Le temps du doute c’est la solitude, le retrait vis-à-vis du monde. La deuxième rupture est l’action, car dans la vie ordinaire, l’esprit est toujours accaparé, capté et absorbé par ce que lion fait. La pensée n’est pas libre, elle est consciemment soumise à l’action. oute va introduire ce que Descartes appelle la méditation, c’est le fait que la pensée se tourne vers elle-même, qu’elle s’examine et se sépare d’elle-même : dans toute réflexion, il y a dédoublement, celui qui s’examine et celui qui a examiné. Il y a une séparation de la réflexion. Et enfin, la troisième rupture, c’est la confiance. Dans la vie quotidienne nous nous fions à notre opinion. On se contente d’opinions vraisemblables. Le doute ordinaire porte toujours sur des positions particulières. Le doute va nous permettre d’analyser de façon critique et discriminer en fonction d’un critère, qui est le ertain et indubitable.

Pourtant le problème général de l’opinion c’est qu’elle vient de l’extérieur, cette intériorisation que fait la raison, se fait sur le mode de la croyance. Copinion est encore moins un avis personnel car elle est la plus étrangère à la raison et on croit y adhérer librement, de façon irréfléchie, sans la réflexion de la raison. Mais l’opinion peut être distinguée de l’ignorance car elle peut dire vrai, mais ce n’est pas pour autant qu’elle a raison. L’opinion ne pourra jamais être un moyen d’accéder au savoir mais un o S