La contamination biologique

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On les met le plus souvent sur le compte de l’environnement extérieur; dans l’air intérieur, u premier boy vêtement amputa 22, 2011 | 28 pages Les caractérise?queues et les sources de la contamination et d’cariées, ainsi que leurs excréments (ahaner et col. , les concentrations de pollen sont généralement beaucoup plus faibles qu’au dehors. C’est dans les bâtiments où les systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation (CF.) assurent une filtration efficace de l’air extérieur que climatisés, les concentrations de pollen sont plus faibles que dans ceux qui sont ventilés naturellement.

Les quantités de pollen pourront être plus élevées dans certains locaux de travail décorés de nombreuses plantes vertes ou dans les serres. Les épancher Les épancher sont de fines particules de peau, d’ongles, d’écailles, de poils et de plumes (associées à de la salive ou à de l’urine desséchées). Elles représentent une source potentielle d’allergies capables de provoquer des accès de réunit ou d’asthme chez les personnes sensibilisées.

Les principales sources de épancher dans les environnements intérieurs sont habituellement les chats et les chiens, mais les rats et les souris (souris domestiques, souris de laboratoire ou parasites), les hamsters, les grésiller (une espèce de gerboise), les cochons d’Inde et les oiseaux en cage peuvent être, eux aussi, des sources ‘allergies. Les épancher provenant de ces animaux, de même que des animaux de ferme ou d’agrément (les chevaux, par exemple) peuvent se déposer sur les vêtements.

Les travailleurs les plus exposés aux épancher sont sans doute ceux dont l’activité s’exerce dans les élevages d’animaux, dans les laboratoires d’expérimentation animale ou dans des locaux infestés de verre ne. Les insectes Les insectes et leurs excréments peuvent provoquer des allergies respiratoires et autres; dans a plupart des cas, cependant, il ne semble pas qu’ils contribuent de manière significative à la contamination ambiante. Les particules provenant des blattes (en particulier, bilatéral germanium et et périnatal américain) peuvent être abondantes dans les milieux de travail insalubres, chauds et humides.

L’exposition aux particules des blattes et des autres insectes, y compris les criquets, les charançons, les escargots de la farine et les mouches à fruits, peut être a cause de problèmes de santé chez les personnes qui travaillent dans des élevages d’animaux ou dans certains laboratoires. Les cariées Ces arachides sont surtout associés à la poussière, mais des fragments provenant de cette famille microscopique ‘araignées et de leurs excréments (faces) peuvent aussi être présents dans l’air intérieur.

L’espèce la plus courante est l’cariée de la poussière domestique, dermatologues patronnerions. Il constitue, avec sa famille, une cause importante d’allergies respiratoires. AI se développe surtout dans les locaux d’habitation; on le trouve fréquemment dans la literie, mais aussi dans les meubles rembourrés. Fort heureusement, ce type d’ameublement ne pullule pas dans les bureaux. En revanche, les cariées intéressés par la nourriture entreposée et les aliments pour animaux, tels qu’accrus,

aiguillages et atrophiais, peuvent sécréter des fragments allergies dans l’air intérieur. Les agriculteurs et les personnes affectées au conditionnement des produits alimentaires sont particulièrement exposés au risque. Enfin, certains cariées, comme D. patronnerions, se complaisent dans la poussière des bâtiments, en particulier dans les endroits chauds et humides. Les virus Les virus sont des micro-organismes très importants si l’on l’on tient compte du nombre de problèmes de santé qu’ils peuvent engendrer, mais ils ne peuvent vivre en dehors des cellules et des tissus vivants.

Si certains virus sont présents dans l’air recyclé par les systèmes de ventilation et de climatisation, leur principal mode de transmission se fait par contact de personne à personne. Le fait d’inhaler de près des aérosols produits par une toux ou un ter- monument, par exemple, est une source importante de rhume et de grippe. Les infections seront donc forcément plus répandues dans les locaux qui connaissent un taux d’occupation élevé. On ?imagine mal, cependant, ce qui pourrait être fait au stade de la conception d’un bâtiment ou dans sa gestion pour remédier à cet état de choses.

Les bactéries On classe ce type de micro-organismes en deux grandes catégories selon leur réaction à la coloration par la méthode de gara. Les types les plus courants de gara+ sont ceux qui proviennent de la bouche, du nez, de l’rapprochant et de la peau, à savoir: stéthoscopes épidermes, S. Raseurs et les espèces recousus, micro- écus et streptocoque. En général, les bactéries gara- sont peu nombreuses, alors qu’il peut y avoir beaucoup de bactéries des espèces actionneraient, ramonons, falsificatrice et, en particulier, pseudo–ans.

On peut trouver l’espèce responsable de la maladie des ganglionnaires, légions pandémonium, dans les canalisations d’eau chaude et dans les humidificateurs des systèmes de climatisation, ainsi que dans les appareils thérapeutiques respiratoires, les agaça-sis, les bains bouillonnants et les cabines de douche. Elle est dispersée par ces installations sous forme d’aérosols ca par ces installations sous forme d’aérosols aqueux, mais peut aussi pénétrer dans les bâtiments par les aérosols émis par les tours aéra-réfrigérantes se trouvant proximité. Le temps de survie de L. Énumération dans l’air intérieur ne dépasse normalement pas quinze minutes. En plus de la bactérie inculquerai déjà mentionnée, il existe aussi des types filamenteux qui produisent des espérés qui se dispersent dans l’air, à savoir des accotements. Ils sont généralement associés à des matériaux à structures humides et peuvent émettre une odeur de terre caractéristique. Deux de ces bactéries capables de se développer à 60 oc, soit fanent réactiverait (appelée autrefois microfilmerons faune) et thermonucléaires vulgarisa, se réfugient dans les humidificateurs et autres équipements des installations cf..

Les champignons Les champignons se divisent en deux groupes: les levures t les moisissures dénommées microfilma d’un côté et, de l’autre, les champignons du plâtre et du bois pourri, connus sous le terme de microfilma, car ils produisent des espérés macroscopiques visibles à l’?il nu. A part les levures inculquerais, les champignons colonisent des substrats sous la forme de réseaux (méconium) de filaments (psychés).

Ces champignons filamenteux produisent de nombreuses espérés qui se dispersent dans l’air à partir de structures microscopiques sponsorisés (dans les moisissures) et de grandes structures sponsorisés (pour les microfilma). On trouve les espérés de nombreuses moisissures oiseuses différentes dans l’air des locaux d’habitation et des lieux de travail non industriels; les plus courantes font généralement partie des espèces éclaircirions, pénicilline, aspergerais et routier. Certaines moisissures de l’air intérieur, telles que éclaircirions sept. Abondent la surface des feuilles et sur d’autres parties des plantes l’extérieur, en particulier en été. Cependant, bien que certaines espérés contenues dans l’air intérieur puissent provenir du dehors, éclaircirions peut aussi se développer et produire des espérés sur les surfaces humides à l’intérieur, et s’ajouter par conséquent à la hargne biologique de l’air intérieur. On estime généralement que les différentes espèces de pénicilline prennent naissance à l’intérieur, comme aspergerais et routier.

On trouve des levures dans la plupart des échantillons d’air intérieur, parfois même en grandes quantités. Les levures roses redoutable ou spéléologues prédominent dans la flore portée par le vent; on les trouve aussi sur les surfaces couvertes de moisissures. Les bâtiments offrent toutes sortes d’abris dans auxquels peuvent se loger les éléments organiques morts qui servent de nettement à la plupart des champignons et des activités et leur permettent de se développer et de produire leurs espérés.

On trouve ces entretenus dans des matériaux tels que le bois, e papier, la peinture et d’autres revêtements de surface, dans les tapis et les meubles rembourrés, dans la terre des plantes en pots, dans la poussière, dans les squames cutanées et les sécrétions des êtres humains et d’autres animaux, ainsi que dans les aliments, cuits ou crus. Champignons et et d’autres animaux, ainsi que dans les aliments, cuits ou crus. Champignons et bactéries s’ développeront s’ils y trouvent suffisamment d’humidité.

Les bactéries ne auvent pousser que sur des surfaces saturées ou dans l’eau des bacs de récupération et des réservoirs des installations CF.. Certaines moisissures nécessitent elles aussi des conditions proches de la saturation alors que d’autres, moins exigeantes, peuvent proliférer sur des matériaux humides, mais non saturés. La poussière est aussi un réceptacle possible; houillères est suffisamment humide, le e peut favoriser le développement des moisissures et constituer une source importante de espérés qui se mêlent à l’air lorsqu’ la déplace.

Les protozoaires Les protozoaires tels qu’chanta?bai et négliger sont es organismes inculquerais microscopiques qui se nourrissent de bactéries et autres matières organiques présentes dans les humidificateurs, les réservoirs et les bacs de récupération des installations CF.. Des particules de ces protozoaires peuvent se trouver en suspension dans l’air et, semble-t-il, être à l’origine de la fièvre des humidificateurs.

Les composés organiques volatils d’origine microbienne Les composés organiques volatils microbiens (CUVE) sont extrêmement variés de par leur composition chimique et leur odeur. Certains sont constitués d’un grand nombre de cric-organismes, alors que d’autres se limitent à certaines espèces particulières. L’alcool dit du champignon ? 1- octet-3-il (qui a une odeur de champignons frais) ? fait partie des composés organiques comprenant de nombreuses moisissures différentes.

Parmi les autres organiques comprenant de nombreuses moisissures différentes. Parmi les autres composés volatils de moisissures moins courants, on trouve le 3,5- timidité-l (à l’odeur fétide), la gestion, ou 1,1 0-timidité-transat-9-décati (à odeur de terre), et le 6- peinte- a-péroné (à l’odeur de noix de coco ou de moisi). Parmi les bactéries, les espèces de pseudonymes produisent des parraines à l’odeur de pomme de terre pourrie. L’odeur de chacun de ces micro-organismes est le produit d’un mélange complexe de CUVE.

Bref historique des problèmes liés à la qualité nécrologique de l’air des locaux intérieurs Il y a plus de cent ans que l’on procède à l’étude nécrologique de l’air des locaux d’habitation, des écoles et autres bâtiments. Les premiers travaux portaient en général sur la «pureté» nécrologique relative de l’air dans différents types de bâtiments, et sur le rapport qu’elle vouait avoir avec le taux de mortalité de leurs occupants.

En liaison avec l’intérêt que suscite depuis longtemps la propagation des agents pathogènes dans les hôpitaux, le développement d’appareils volumineuses modernes pour effectuer des prélèvements nécrologiques de l’air a conduit, durant les années quarante et cinquante, à étudier de façon systématique les micro-organismes présents dans l’air des hôpitaux, puis à entreprendre des recherches sur les moisissures allergies connues contenues dans l’air des locaux d’habitation et des établissements publics ainsi que dans l’air extérieur.

Au cours des années cinquante et soixante, d’autres travaux ont porté sur les maladies respiratoires d’origine professionnelle telles que le poumon du porté sur les maladies respiratoires d’origine professionnelle telles que le poumon du fermier, la maladie des travailleurs du malt et la besoins des travailleurs du coton. Bien que le premier cas de fièvre des humidificateurs de type grippal détectée chez un groupe de travailleurs ait été décrit en 1959, ce n’est que dix à quinze années plus tard que de nouveaux cas ont été signalés.

On ignore, aujourd’hui encore, la cause de cette affection, mais n suspecte, malgré l’absence de preuves formelles, certains micro-organismes qui pourraient être également l’origine du syndrome des bâtiments malsains. Bien que les propriétés allergies des champignons soient bien connues, ce n’est qu’en 1988 que l’on a fait état de pathologie dues à l’inhalation de toxines fongibles sur un lieu de travail non industriel, en l’occurrence un hôpital du cubée (manivelle et col. 1988). Les symptômes d’une fatigue extrême observés alors parmi le personnel furent mis sur le compte des incommodités trichèrent contenues dans les espérés de Strasbourgs tar et de trimarder virile. Depuis lors, le «syndrome de fatigue chronique» dû à l’exposition à des poussières microscopiques a été diagnostiqué chez des professeurs et des employés d’un collège.