La connaissance scientifique
rayer, ou l’instance suprême qui déciderait des conditions d’organisation de la société, en prétendant d’adversaires, mais aussi bien à la critique de fait de l’expérience. Cf. le concept de réfutable de K. Épopée, invalidant les prétentions du frémisse et du marxisme cette dite scientifique. La raison scientifique n’est pas la raison qui chercherait avant tout à promouvoir un discours définitivement à l’abri du réel, de la nature, bref, de l’expérience, alors même qu’il se refuse à épeler les phénomènes (cf. Bacon F. La fourmi, l’araignée, et l’abeille). Est-ce à dire pour autant que la science soit l’adversaire naturelle de la religion, est-ce à dire pour autant que progrès scientifique et société libérale soient solidaires (comme le prétend K. Épopée) ? Une réponse à ces question mériterait des développements particuliers. 2 On peut essayer de définir ou caractériser la connaissance scientifique selon trois approches différentes: A: par son fondement: Ce fondement est un principe, et ce principe est celui du déterminisme. :un principe, en l’occurrence, est une affirmation posée comme indubitable, indémontrable et fondamentale (l’équivalent d’un axiome dans le discours mathématique, remarquera CUBE lui-même). Pour ce dernier qui introduit ce principe en biologie il s’agit avant tout de faire pièce ou d’obvier aux résurgences ou aux insistances de la position vitalité. : ce principe auquel alpage donne son écriture moderne, peut se trouver remis en cause dans la physique moderne, de différentes façons ou sous différents concepts (émergeraient, impossibilité de connaître simultanément la vitesse ou la position de certaines particules (quant), les t annuellement la vitesse ou la position de certaines particules (quant), les théories du chaos montrant les limites de la prévisibilité, cf. »l’effet papillon » d’tarde N. Lorentz, cf. Épopée L’Univers irrésolu.
Plaidoyer pour l’indéterminée, etc…. ). Cc: ce déterminisme soulève un grave problème moral. Si l’homme est une réalité naturelle, ne faut-il pas alors renoncer à l’idée de liberté qui conditionne à son tour celle de responsabilité, si l’on considère qu’être libre, c’est avant tout ne pas être justement « déterminé » dans ses choix ou ses comportements ? (Cf. la position de C. B, J. Restant, la solution de akan… ). B: par sa ou ses finalité. (s): Nous nous servons pour ce faire de l’ouvre de C.
bernera. -a: expliquer, prévoir, maîtriser les phénomènes. (cf. C. bernera) -b; expliquer ne consiste en rien de moins qua’ identifier les lois, les relations entre les phénomènes qui peuvent trouver une traduction numérique précise; (cf. par exemple nette l’attraction est proportionnelle à la masse et inversement proportionnelle au carré de leurs distances Pour le dire autrement, la science s’efforce d’établir le comment, (causes efficientes), et non pas le pourquoi des homonymes (causes finales). Cc: la science remplit en la matière son contrat, par son succès et l’efficacité technique qu’elle rend possible, elle déculpabilise effectivement les autres discours qui 3 prétendaient délivrer une connaissance de la nature (la religion ou l’église; cf. les affaires égaille, dirais ), alors dirais ), alors même que la science sait qu’elle renonce répondre à toutes les questions que se pose l’homme (elle peut il est vrai discréditer aussi ce type-même de questionnèrent métaphysique).
En tout état de cause, en expliquant rationnellement, accroissant notre pouvoir sur a nature, elle chasse une angoisse qui était mère de la superstition (cf. épicière). Nabab:al apparaît alors une ambiguïté; la science est-elle d’abord un pouvoir (le savoir n’étant qu’un moyen) ou est- elle un savoir avec toute la dignité et le désintéressement que l’on peut accoler à ce mot ? Cf. les réponses diverses et parfois complexes ou agences d’un dessertes, d’un A. Comte, d’un bergers , d’un H. Poinçonnera, d’un miches hennir. B: par sa forme: Ce qui peut vouloir dire dire trois choses. Ah: par une certaine relation entre le sujet connaissant et la réalité qu’il vise à connaître; un rapport de domination de e qu’elle s’efforce de connaître, cette réalité étant de droit exposé à faire l’objet d’une expérimentation, manipulation, quantification.. Cf. la phrase de cuviez, cité par C. bernera: cuviez « l’observation écoute la nature, l’expérimentateur l’interroge et la force à se dévoiler ». Un rapport de violence donc, d »‘arraisonnement’, de provocation diraient certains, qui s’oppose éventuellement à d’autres formes de connaissance ou à d’autres rapports en général.
Ce qui signifierait qu’il y a une véritable continuité culturelle entre la connaissance scientifique et le projet technique. Cf. marteau-pont, « la science renonce à habiter les choses pour mieux les manipuler » l’Oiil et l’esprit. ( l’Oiil et l’esprit. (par opposition à l’art). Cf. M. hennir pour lequel la science ou la décent-science est la barbarie des temps modernes, la tentation de l’homme qui trouve son être, (sa dimension pathétique ou sa responsabilité (cf. Sarthe)), trop lourd à porter. La barbarie.
Sur le plan relationnel, on pourrait opposer la connaissance conceptuelle de la science à l’intuition ou la sympathie hébergerions, d’une part, à la contemplation planification d’autre part (« il faut se rendre semblable à ce que l’on veut naître »). 4 -b: par son exigence méthodologique: I – cette méthode repose sur un double engagement intellectuel; l’homme est capable d’échapper au scepticisme par ce que d’une part il intelligibles, c’est-à-dire saisissantes par la raison dispose des facultés ou Dieu nécessaires, et d’autre part, parce que le monde, les phénomènes sont ordonnés, (déterminisme « mathématicien »). – cette exigence méthodologique a pour but d’établir la position, le rôle et l’efficience propres de chacune des facultés de l’esprit humain. (cf. le descriptif de la méthode expérimentale chez CUBE). 3-elle a pour but de réduire des rues états qui sont en droit reproductrices et évaluables par quiconque dispose des mêmes connaissances. Nabab; A charge de montrer que ces requises méthodologiques ne font pas obstacle, peu ou brou, à la découverte ou l’invention. Cf. P. Effrayèrent: Contre la méthode. -c;-par son exigence intellectuelle.
Acceptant d’être une vérité provisoire et partielle, une théorie intellectuelle. Acceptant d’être une vérité provisoire et partielle, une théorie se soumet, s’expose à la critique, alors même que l’esprit scientifique refuse de se soumettre à l’argument d’autorité, aux règnes de l’opinion ou aux verres de la subjectivité (cf. les textes classiques de bachelier sur ce point). Et c’est cette acceptation de ses limites, cette capacité d’auto-critique qui lui permet de progresser indéfiniment. Conclusion. :-la connaissance scientifique est une connaissance, c’est-à-dire qu’elle délivre des informations . A ce titre une théorie sera ainsi d’autant plus intéressante qu’elle prétend dire quelque chose de nouveau. Mais il faut que cette information puisse bien sûr être vérifiée d’une façon ou d’une autre. Cf. Épopée: Conjectures et réfutations. Bu-la connaissance scientifique est une connaissance , qui a es caractéristiques et ses limites, confrontée à d’autres discours qui prétendent être aussi des connaissances.
Comment concevoir cette coexistence ( Comte, Effrayèrent c-la valeur de la science; par delà sa rigueur, son utilité, a science nous dit-elle ce que nous devons faire ? Cf. autre sujet. 5 Seulement quelques pistes ou exemples. 1-rayer Clémence; oui « scientisme » d’inspiration draconienne. 2- derrière mile, la sociologie peut nous serais à distinguer le normal et le pathologique dans les sociétés. Le responsable politique est assimilé à un médecin. -fuselé de coulantes: l’histoire nous donne accès à une lucidité prieure à celle des acteurs ou des contemporains d’une époque donnée. 4-La science peut nous mettre en garde quant aux conséquences d’un système économique fondé sur le dogme ou la nécessité de de la croissance. Cf. par exemple l’effet de serre, l’épuisement des sources d’énergie non renouvelables etc… 6 Textes et références T:l . « Comme toute science, la sociologie accepte le principe du déterminisme entendu comme une forme du principe de raison suffisante.
La science qui doit rendre raison de ce qui est postule par là même que rien n’est sans raison. Devant une distribution statistique, il postule qu’il existe un acteur social qui explique cette distribution et si l’ayant trouvé, il y a un résidu, il postule l’existence d’un autre facteur social, et ainsi de suite Mais, contrairement aux apparences, c’est en élevant le degré de nécessité perçue et en donnant une meilleur connaissance des lois du monde social, que la science sociale donne plus de liberté.
Tout progrès dans la connaissance de la nécessité est un progrès dans la liberté possible… Une loi ignorée est une nature, un destin (c’est le cas de la relation entre le capital culturel hérité et la réussite scolaire); une loi connue apparaît comme la possibilité d’une liberté. » P. Bourbier. Questions de sociologie . 1984. De de Minuit. (pp, 45. ) T:2. « L’abstraction à laquelle procède le monde de la science est donc double.
C’est d’abord l’abstraction qui monde scientifique en tant que tel -en tant qu’il met hors jeu dans l’être de la nature les qualités sensibles et les prédicats affectifs qui lui appartiennent a priori, pour ne retenir de lui que les formes susceptibles de se prêter une détermination idéale. La non-prise en considération des caractères subjectifs de tout monde possible est indispensable du point de vue méthodologique dans la usure où elle permet la définition de procédures permettant l’obtention de connaissances inaccessible autrement, par exemple la mesure quantitative.
Mais le développement d’ailleurs infini de ce savoir idéal ne se poursuit dans la légitimité que pour autant qu’il reste clairement conscient des limites de son champ de recherche, limites qu’il a lui-même tracées. Il ne peut lui échapper en effet que la mise à l’écart des propriétés sensibles et affectives du monde présuppose la mise l’écart de la vie elle-même, c’est-à-dire de ce qui fait l’humanité de l’homme. C’est là la seconde abstraction quelle procède la science au sens que nous donnons aujourd’hui à ce mot: l’abstraction de la Vie, c’est-à-dire de ce qui seul importe vraiment ».