la chrétienté médiévale

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La chrétienté médiévale (XIe-XIIle siècle) : Au XIe siècle, la population occidentale s’est christianisée. L’Église c’est organisé pour encadré la population et lui permettre de vivre ensemble. Entre le XIe et le XIIIe siècle, la société féodale s’impose et avec elle, l’occident prospère. Le pape tente de renforcer son pouvoir face aux grands souverains européens, le pape est à la tête du Clergé Séculier. Il a le pouvoir spirituel, il est chargé du dogme, il est en concurrence avec les grands souverains, et donc pour renforcer son rôle, a partir de 1 059 1’élection pontifical est faite par des cardinaux.

Le pape Grégoire VII pour renforcer le pouvoir de l’Église veut que Swipe View next page celui-ci soit centralisé elle continue jusqu’e règle la question. Les mais le pape gagne l’i évêques si ils sont no les des investitures mis de Worms qui estiture temporelle st à dire que les rs ou les seigneurs ceux-ci sont sous la domination du pape. Cette réforme renforce l’Église comme étant autonome mais qui au cour du temps lui fait perdre des pouvoirs. La réforme grégorienne, Grégoire VII veut réformer l’Église pour éviter les abus des membres du clergé (Interdiction de Simonie et e Nicolaïsme).

Le clergé Séculier redevient obéissant, chaste et pauvres. Le clergé doit redevenir irréprochable. e développement e Sv. ‘ipe to et l’importance croissante des ordres religieux, le clergé régulier vivent avec des règles depuis le VIIe siècle ou le pape saint benoits organise les règles dans les monastères. Cela défini l’ordre des bénédictins. Le clergé régulier a pour rôle de prier pour sauver les âmes des pécheurs que nous sommes, de copier des textes anciens dans un scriptorium.

Les moines sont des copistes. L’ordre de Grégoire VII, les clunisiens vont a nouveau éformer l’Élise au XIe siècle, ils reviennent à des ordres strictes. Il y a trois ordres monastiques différents, le premier ordre est celui des Clunisiens, c’est l’ordre qui se développe majoritairement au XIe siècle, si ils travaillent aux champs (défrichage : ils sont ? l’origine des villages) et a la lecture, ils ont aussi développer des monastères aux églises somptueuse, leurs bibliothèque sont les plus importantes.

Le deuxième ordre est celui des Cisterciens de l’abbaye de Cîteaux qui se développe en réaction du développement des clunisiens : silence, pauvreté, mais surtout implicité, absence de décore dans les églises, leurs spiritualité se basent sur l’austérité et la mortification. Enfin le troisième ordre est celui des Franciscains et des Dominicains, ils sont des ordres mendiants, ils prônent eux aussi l’idéal de la pauvreté, ils critiquent le pouvoir et mendie au près des seigneurs pour donné aux pauvres ; ils annoncent le protestantisme.

Ces ordres monastiques organisent la vie des villages mais la personne la plus important est le chef de la paroisse 2 plus important est le chef de la paroisse : le curé, il a le droit d’absoudre et de contrôler la virginité. Des fidèles de plus en plus encadrer, un monde croyant, tout le monde est croyant, de la naissance à la mort, les sacrements servent a encadrer cette croyance. Le premier sacrement est le baptême, on immerge l’enfant dans l’eau à l’origine. Le second et troisième sacrement est la communion, il permet au catholique de connaitre sa religion, l’Église a donc un rôle primordial dans l’éducation.

La communion c’est le partage du corps du christ pour montrer que tout le monde est en prière, elle soude les villageois. Le quatrième sacrement est le mariage, il devient un sacrement au XVIème siècle pour renforcer l’Église. Au Moyen-Âge le mariage était un contrat sous le regard de l’Église. La femme venait avec sa dot et l’homme avec sa terre. Le but du mariage était de procrée et jamais par amour au Moyen-Âge. e dernier sacrement est Fextrême onction où ils entrent dans la mort, la confession tous au long de sa vie est très importante.

L’Église impose un cadre de vie et une obéissance contraignante : on parle d’encellulement. L’Église est un lieu de rencontre où font peut y faire du commerce, Elle est au centre et elle rythme la vie quotidienne avec les cloches qui sonnent 5 fois pour rappeler les prières quotidiennes. Le dimanche est le jour de la messe, elle est un lieu où l’ont vient sauver son âme et plus encore dans tous I 3 la messe, elle est un lieu où l’ont vient sauver son âme et plus encore dans tous les lieux de pèlerinage.

Il y a une obligation d’y aller. L’Église impose ses rituels et les fêtes religieuses, le calendrier est fait pour que le paroissien ait des moments de joie dans la vie quotidienne. Les fêtes sont concentrées entre mars et juin, toujours au moment de procession. Ces fêtes religieuses permettent de faire des banquets, manger de la viande et de boire de l’alcool fort. C’est au banquet que les contrats de ariage se passe. La charité chrétienne est essentiel pour accéder au paradis lorsque l’ont est riche.

La pèlerinage se fait dans un lieu saint, ils est obligatoire de le faire au moins une fois dans sa vie. Le lieu de pèlerinage est Saint- Jacques de Compostelle. On voyage à pied voir a genou, le but est de souffrir. Les routes pour aller à Saint-Jacques sont choisit. Le long de ces routes il y a des abbayes qui accueillent les pèlerins, ils sont des lieux de passages obligatoires. une intolérance vis-à-vis des autres religions et des autres pratiques religieuses avec l’appuie du pouvoir politique, le temps es croisades.

Les croisades sont des pèlerinages armés. Ils sont contre les musulmans car ils veulent récupérer la terre sainte (Jérusalem) où les musulmans habitent. Ces croisades sont pour propagé la religion chrétienne. La première croisade était en 1099 ; elle fait suite à l’appel du pape urbain Il en 1095 (appel de Clermont). Il crée cette croisade des chrétiens byzantins contre les t 4 urbain Il en 1095 (appel de Clermont). Il crée cette croisade des chrétiens byzantins contre les turcs musulmans.

La féodalité relie les hommes, la cérémonie d’homme a homme. Le fief (terre) appartient à un seigneur, c’est la cérémonie de l’adoubement dans lequel le seigneur fait de son chevalier un vassale, entre eux un contrat de confiance. D’un coté le seigneur donne une terre, un bouclier, un cheval, une armure. En échange le chevalier prête serment de donner sa vie pour protéger son seigneur. C’est la cérémonie dite de l’hommage. Le fief est au cœur de la société féodale, il passe de mains en mains.

Tout seigneur doit agrandir son fief mais qui celui au final agrandira son domaine est le roi. Lorsqu’un fief est divisé en plusieurs vassaux ceci s’appel un vavasseur. Sur ce fief ce sont les vilains et les serfs. Un serf est donc un paysan attaché à une seigneurie ; au contraire le vilain est un paysan libre. Pour autant les deux paysans cultivent. II n’y a pas d’élevage. Ils travaillent la terre et paye des impôts, le paysan travaille pour payer ses impôts. Les paysans habitent sur les tenures (partie de la seigneurie).

La société pyramidale, c’est le fief qui étant au cœUr de la féodalité entraine la hiérarchisation de la société, certes la vassalité entraine un lien mais elle crée surtout différents ordres : le clergé qui détient le pouvoir est la noblesse, elle tient son ouvoir du combat, les seigneurs cherchent aussi a accroitre leurs pouvoirs ; le tiers-états comprend 97% de la populati S seigneurs cherchent aussi a accroitre leurs pouvoirs ; le tiers-états comprend 97% de la population dans lesquelles les vilains sont au dessus des serfs.

Chacun des ses ordres passe un contrat avec celui qui est dessus de lui. La seigneurie encadre la population, dans un fief. Un seigneur peut être un ecclésiastique (quelqu’un du Clergé), il possède une seigneurie et a tous les pouvoirs, notamment celui de construire le lieu de protection de ses protégés. Il guerroie, il festoie et il ait régner la justice selon son bon vouloir, mais surtout, il récolte les impôts. Il est nomade et surtout il protège les paysans dans la basse-cour qui elle même est protéger par des remparts, avec pour un seul accès : le pont levis.

Le château est donc uniquement défensif. Dans une communauté, dans une seigneurie il y a la réserue et les tenures, la réserve appartient au seigneur, les habitants doivent s’y rendre pour effectuer les travaux agricole et d’entretien nécessaire au seigneur. Ils doivent servir dans l’ost (armée du seigneur). Les tenures sont les terres tenus par les paysans, ils oivent travaillés ensemble les travaux des champs. Le paysan doit payer de nombreuses taxes, toutes activité est prétexte ? une taxe, aussi la taxe a l’église (dime).

Dans un espace complexe, la réalité du paysage est complexe puisque la seigneurie peut comprendre plusieurs communautés et une communauté peut appartenir à une seule seigneurie. Une société complexe dans lequel amour et violences se côtoient autour d’un code d seigneurie. Une société complexe dans lequel amour et violences se côtoient autour d’un code de la chevalerie. Le mélange de paganisme et de christianisme. Les communautés s’affranchissent, de meilleurs rendements, la révolution agricole du XIIIe siècle.

Ils décident de diviser le fief en 3 soles pour faire un assolement triennal : rotations de cultures > un des sole est mis en jachère et veine pâture ; cette terre au repos ce fertilise et permet l’introduction de bovins, elle entraine l’invention de la charrue qui laboure plus profondément grâce a la force de l’animale : apparaissent d’autres instruments qui perdurent jusqu’au XIXe siècle. La population souffre moins de la famine donc elle s’accroit et elle vie mieux. Plus de loisir, avec les rendements, les paysans dsposent de lus de temps libre et de meilleur rendement.

Ils ont donc envie de consommer ; ce développe alors les foires ou s’échange les produits du nord de l’Europe. Une soif de liberté, au XIIIe siècle, les échanges se développent et s’enrichissent. De l’Europe du nord arrive des poissons, les fourrures et, dans les pays méditerranéens et orientaux arrivent de l’or, des épices. Les foires deviennent le cœur commercial de l’Europe. Les marchants vont ainsi s’organiser par corporation (z règle qui permettent une concurrence plus loyal entre les marchants et assure ainsi au maître la possibilité de former leurs apprentis).