Part1 BorisVian

essay B

Thibault Malay 11/03/2015 Percival Filho Alexandre Schindler Boris Vian Je m’appelle Boris Vian, je suis né le 10 mars 1920 dans un petit village se nommant Ville-d’Avray (Seine-et-Oise, aujourd’hui Hauts-de-Seine). J’ai trois frères et sœUrs. Jusqu’? mes neufs ans, ma famille et moi vivions aisément mais malheureusement la crise de 1929 entraine notre famille ? vivre plus modestement, voire pauvrement.

De plus, ma santé to page n’ayant jamais été tr’ dû faire attention ? j’ai prlS des cours à d fut très gratifiant car lecture par rapport a or 3 to View nextÇEge a mère Yvonne, a e. C’est pourquoi à l’école. Cela Ian écriture et âge. A 12 ans, des complications cardiaques ont chamboul ma vie… car cela m’a donné envie de vivre. Je suis donc allé dans plusieurs lycées pour avoir mon premier baccalauréat en latin-grec à l’âge del 5 ans et mon deuxième philo-math-allemand à 17 ans.

J’ai ensuite entrepris des études d’ingénieur métallurgique qui ne me plaisaient pas plus que ça, ce qui m’a permis de découvrir ma vraie passion, le jazz. C’est pourquoi j’ai commencé à jouer de la trompette pour enfin être accepté dans le Hot Club de France. Cependant, au moment où je pensais que tout allait bien, la guerre commença et si je n’avais pas eu de graves problèmes de santé, j’aurais dû aller me battre avec mes confrères.

Cette dispense me permit de rencontrer Michelle Léglise, durant Fété de 1 940, avec qui je me mariai et eus deux magnifiques enfants Patrick et Carole. Michelle n’étant pas mon âme sœur, nous avons divorcé et 11 ans plus tard j’ai rencontré Ursula Kubler, danseuse allemande, avec qui je me mariai trois ans après notre rencontre, c’est-à- dire en 1954. J’ai ensuite vécu cinq ans avant de décéder d’une ttaque cardiaque durant la projection d’un film inspiré par mon roman J’irai cracher sur les tombes. Parlons à présent de ma vie professionnel, mais par où commencer ?

Tout d’abord vous devriez savoir que je suis aussi connu sous le pseudonyme de Vernon Sullivan, sous lequel j’ai écrit ce fameux roman interdit à la vente que je cite ci- dessus. Parlons ensuite de mes nombreuses occupations, parmi lesquelles écrivain, cela va de soi, mais aussi poète, parolier, chanteur, musicien de jazz, critique, compositeur, peintre, ingénieur de l’École centrale, scénariste, traducteur (anglo- méricain), conférencier, acteur et enfin satrape (titre prestigieux) du collège de pataphysique.

Je considère qu’il n’y a pas de hiérarchie dans Fart, et c’est la raison pour laquelle j’ai pratiqué tant d’activités mais n’allez pas croire pour autant que cela me rapportait assez d’argent pour vivre comme bon me semble. De fait, il a fallu quelques années après ma mort pour que mes romans écrits sous mon vrai nom soit reconnus, et c’est pourquoi j’ai décidé de renoncer à la littérature en 1951 pour me consacrer pleinement à ma nouvelle épouse, Ursule. A cette époque, mes seuls reven