Henri bergson
Ce souci est commun au spiritualisme de bergers, à la phénoménologie de heureuse et plus tard à l’existentialisme de digérer. Contre le matérialisme scientifique et philosophique de son empesé, hennir bergers tentera de rétablir les droits de la conscience et de la vie spirituelle. En rejetant la notion de système philosophique et s’appuyant sur une bonne connaissance des progrès scientifiques de son temps, il n’aura de cesse à défendre l’autonomie de la conscience et de la vie spirituelle contre la matérialisme scientifique.
Son ouvre : Essai sur les données immédiates de la conscience (1889) Dans sa thèse de doctorat, bergers affirmera que la science ne saurait expliquer la conscience et la vie intérieure, car celles-ci ne sont pas de même nature que le monde matériel. Le monde « intérieur » de la conscience se caractérise en effet par la durée, le devenir, la liberté, le qualitatif, alors que le monde « extérieur » de la matière, se caractérise par l’espace, l’inertie, le quantitatif et la soumission à des lois.
bergers montrera que l’esprit ne peut se réduire à lune simple activité du cerveau. Celui-ci, en effet, n’est le siège que de « l’intelligence pratique ». Mais les activités psychiques supérieures, comme la mémoire, montrent que l’esprit « déborde » la matière. L’évolution Créatrice (1907) Il critiquera l’évolutionnisme de espèces, pour quel a vie irait une évolution purement mécanique. Pour bergers, la vie est au contraire une force spirituelle, un élan vital libre et créateur qui traverse aussi bien la matière que l’esprit humain.
Par ailleurs, bergers, critique la raison, l’intelligence conceptuelle et discursive. Pour lui, l’intelligence est avant tout un outil pratique. Seule l’intuition permet d’accéder directement à la vérité. Durée et simultanéité (1922) bernons discute la théorie de la relativité d’insistent et oppose le temps spatiales du physicien au temps intérieur, vécu, de la conscience.