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Roselyne Bosch connue aussi sous le nom de Rose Bosch, est une productrice, réalisatrice et scénariste française. Roselyne Bosch est née à Avignon dans le Vaucluse en 19611, d’un père catalan réfugié et d’une mère d’origine italienne. Dans les années quatre-vingt, elle s’installe à Paris et entre au journal Le Point.
En 1982, elle devient grande reporter et couvre des sujets tels que les camps de réfugiés de la frontière khmero-thailandaise, les trafics d’enfants au Sri Lanaken. en 2004, Ilan Goldman et R. Bosch se lancent dans la réalisation d’un projet auquel ils songent epuis dix ans sur la rafle du Vel d’Hiv. La famille d’Alain Goldman, originaire de la Butte Montmartre, Swp to page La rafle.
La Rafle est un film d par Roselyne Bosch, ors Ce film est inspiré de Sni* to View d’HiV’ le 16 juillet 194 leur domicile treize écrit et réalisé aise a arrêté ? amme juives, dont quatre mille cinquante et un enfants, et notamment les deux rares survivants Ann Traubel et Joseph Weismann2, il dure 115 minute avec générique compris Pendant l’été 1942, la France est sous l’occupation allemande, les les Juifs sont obligés de porter l’étoile jaune; Dans le quartier e la Butte Montmartre, deux familles juives vivent comme les autres habitants de ce quartier, à l’exception près qu’étant juifs, ils appréhendent l’arrivée de la Gestapo. ? paris, les avis sont partagés, certains veulent protéger les Juifs en les cachant alors que d’autres comme la boulangère préfèrent les insulter, les injurier, et les rabaisser. Dans la nuit du 15 au 16 juillet, leur destin bascule à la suite d’un accord entre les nazis et les autorités françaises sur l’arrestation et la déportation des nombreux Juifs, accord qui débouche sur la rafle du Vélodrome d’Hiver. Le quartier de la Butte Montmartre ‘y échappera pas, en effet la famille de Joseph Weismann, un enfant juif d’une dizaine d’années, et leurs voisins sont arrêtés après avoir tenté par plusieurs moyens d’y échapper. Le père de joseph aurait pu échapper à cette arrestation si Joseph ne l’avait pas malencontreusement dénoncé alors que sa mère s’était prétendue veuve auprès de miliciens. ? la suite de cette rafle, ils sont amenés dans le vélodrome d’Hiver, où Joseph et Noé, le petit frère de son meilleur ami, rencontrent une infirmiere, Annette Monod, qui fera tout son possible pour les aider eux et les autres enfants ju’fs. Dans ce vélodr enfants juifs. Dans ce vélodrome, les conditions sont précaires et insalubres : ils n’ont pas d’eau, ils sont entassés et ils sont obligés de falre leurs besoins où il y a de la place. Les maigres vivres qu’ils ont emportés doivent être partagés pour que chacun d’entre eux puissent manger. un petit matin alors que les prisonniers sont assoiffés, les pompiers font irruption et ouvrent les vannes pour donner à boire aux prisonniers. Ils acceptent aussi de « faire passer » les lettres qui leur sont confiées.
Le Capitaine Pierret, des pompiers de Paris, se sert même de son grade (le plus élevé armi tous les militaires présents au Vél’ d’Hiv’) pour prendre le commandement du Vél’ d’Hiv’ afin d’imposer le silence aux gendarmes mécontents de l’attitude de ses hommes et lui. Au bout de deux jours, les raflés sont déportés dans un camp de transit, à Beaune-la-Rolande, dans le Loiret, où les conditions de vie sont insupportables : nourriture mauvaise et en maigre quantité, maladies, sans parler du désespoir psychologique des déportés. les juifs affrontent la faim et la soif. Quelques jours plus tard, les parents et les plus âgés de leurs enfants sont déportés dans un camp d’extermination, à Auschwitz, seuls les plus