Flexibilite du travail
En effet, les acteurs économiques tendent à passer de la bureaucratie, mécaniste ou professionnelle (logique productivité), voire de la technocratie (logique qualitative) à l’autocratie (adaptation à la demande). On dénote principalement quatre formes de flexibilité : Flexibilité quantitative, Flexibilité qualitative, Flexibilité salariale et extériorisation. Flexibilité quantitative La flexibilité quantitative externe. L’entreprise fait varier le volume de sa main d’ouvre en recourant au marché du travail. La flexibilité externe se fait par apport de tiers l’entreprise. Ces tiers écartent la sur-activité instable.
Les effectifs varient en fonction des besoins de l’entreprise c’est le cas classique d’embauche de personnel sous premier boy alternait HOF16pFl 23, 2009 pages (adaptation à la demande) c’est le cas classique d’rembaucher de personnel sous contrat à durée déterminée ou de salariés intérimaires en cas de progression des ventes l’entreprise, et de non prolongement de leurs contrats en cas de baisse de la demande. Flexibilité quantitative interne. Elle consiste en une variation du temps de travail annuel au sein de l’entreprise. Fêlée billet qualitative La flexibilité qualitative interne.
Cela consiste en une aération du temps de travail annuel. La flexibilité fonctionnelle. Il a adaptation à la conjoncture par la polyvalente des salariés, qui permet un redéploiement d’un secteur de production à un autre. Fêlée billet salariale C’est un salaire révisable sous conditions de performance[l ]. La flexibilité des rémunérations permet de faire varier travers la rémunération des salariés, le coût de la masse salariale de l’entreprise. Elle est conçue comme un moyen de répercuter sur les salaires les évolutions de chiffres d’affaire et de coûts de revient de l’entreprise en fonction des mouvements conjoncturels
extériorisation Pour une entreprise, l’extériorisation consiste à acheter des sous-traitants plutôt que de les produire elle-même, les composants ou les services correspondant à certaines activités appréciées comme peu rentables, généralement en dehors de son coureur de métier. Pourquoi une telle recherche de flexibilité ? Du fait des nouvelles conditions de l’économie macroscopique. Durant la période des Trente Glorieuses, le climat économique était favorable l’emploi. On avait donc un important besoin de main d’ouvre, une réglementation stricte et une concurrence internationale limitée.
Le marché du travail était donc rigide (CADI en quasi exclusivité). Depuis plus de trente ans, le climat social et économique est devenu plus incertain est devenu plus incertain dans les pays occidentaux (récession, crise industrielle, augmentation du chômage). Une concurrence internationale accrue et une réglementation plus souple jouent en faveur de la flexibilité du marché du travail. Du fait des revendications des employeurs. Ceux-ci réclament toujours plus de souplesse car ils considèrent que la rigidité est un obstacle à l’embauche.
Ils veulent alléger toutes les contraintes du marché du travail contraintes financières, administratives, juridiques). C’est une remise en cause du cadre institutionnel d’utilisation du travail. Ils promettent d’ embaucher plus à condition d’une dérégleraient. Du fait de l’échec constaté des politiques kinesthésie sur le problème de l’emploi. Les années 1970 sont marquées par les politiques kinesthésie de relance par la demande aux états-Unis, en France. Le partage de la valeur ajoutée (VA) est alors favorable aux salariés dans le but de favoriser la demande, consommation et en théorie la production.
Mais cela ne favorise pas beaucoup la aération d’emplois. Les années 1980 marquent l’essor des politiques libérales : la loi de l’offre et de la demande sur le marché du travail. Conséquences sociales La flexibilité peut amener les entreprises à embaucher ou à licencier (flexibilité quantitative externe). La flexibilité des effectifs peut aussi être obtenu en proposant des contrats de travail limités dans le temps, ou révocables facilement. La recherche de flexibilité quantitative interne peut parfois inciter les entreprises à proposer des contrats avec un faible revenu fixe, et une part variable importante.