fiche theatre
sy rattachent. Et, Sil toujours vertueux et enquête. *Du dramaturge Mar raffine sur le sentime fiche theatre Premium gy jadehewe7 anpenq 21, 201 S 4 pages FICHE THEATRE *Né à Paris en 1 688, et mort en 1763, Pierre Carlet de Chamblain de Marlvaux fut à la fois romancier, moraliste et auteur comique. Il travailla pour la Comédie italienne où il donna d’abord des pièces satiriques. Son vrai début date de « Arlequin poli par l’amour » (1720), suivi bientôt de ses chefs-d’œuvre : la Surprise de l’amour (1722), les Fausses confidences (1737), l’épreuve (1740).
Il peint les troubles de l’amour naissant dans des cœurs timides, ombrageux au fiers. Il distingue toutes les nuances délicates qui Swipe to nex: page or 4 Sni* to View ns de cet amour précision de son age, style où l’on ur, de galanterie. *Au XVIII, les grands auteurs sont Rousseau, Montesquieu, Beaumarchais, ou encore Diderot. *Le genre de la tragédie a pour beaucoup disparu au XXème, en effet la tragédie est désormais devenu depuis longtemps un passé mort, ce gisement d’inspiration désormais épuisé ne peut plus produire que des oeuvres « poussiéreuses et dévitalisées », le héâtre des années 1940 en est une preuve. Les valets dans la tradition comique viennent à l’origine du modèle latin mais éga également de la tradition italienne avec la commedia delll arte et son personne le plus connu, Arlequin. Ce sont les comédies du XVIII qui libèrent la parole du valet : celui ci dit désormais ce qu’il pense et d’abord de ces maitres. Cest rarement à leur avantage. De Marivaux à Beaumarchais, la satire va même en s’approfondissant. La satire individuelle s’élargit aux dimensions d’une satire sociale et, presque, de classe.
La critique reste pourtant de portée limiter. *L’inégalité sociale a une place très importante dans le théâtre sociale et philosophique, en effet dans la plus part des pièces du XVIII les relations maitres/valets sont souvent présentes et représentatives de ces inégalités sociales. Beaucoup d’auteurs en feront le sujet principal de leurs oeuvres. Marlvaux, par exemple, étudie ces relations et met en place un retournement de situation et des rôles afin de porter une critique, et d’amener une morale. L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert influencent les auteurs u XVIII avec des grandes idées sur la société ; les hommes sont libres et égaux en droit, chaque homme doit pouvoir choisir sa croyance, ou encore que les pouvoirs doivent être séparés et non réunis dans les mains d’un seul homme. *Dans ce théâtre l’image du déséquilibre qui est véhiculé est celle des inégalités des relations entre maitres et valets. Tout d’abord les a PAG » OF d est véhiculé est celle des inégalités des relations entre maîtres et valets.
Tout d’abord les auteurs montre les inégalités des liens en les déséquilibrant afin de faire passer un message. Il s’agit ‘un déséquilibres sociale, des rôles, qui est fortement critiqué et remis en cause. *Dans la pièce de Marivaux « Line des esclaves » le déséquilibre est encore plus fort. Ici, le dramaturge met en place un retournement de situation en inversant les rôles ; le valet devient le maître et le maitre devient le valet.
C’est donc un question sociale très forte qui est mise en scene, elle amène une critique et une réflexion sur les rangs sociaux dans la société. * Au début du théâtre la mise en scène est très réduite : pas d’acte, pas de décor, des masques, rôles feminins tenus par des ommes, ce n’est que au 17ème que la salle se compose d’un parterre avec le public debout ainsi que l’orchestre, les loges, le poulailler et les baignoires pour les personnes qui ne devraient pas se montrer au théâtre (religieux, veufs, veuves encore en deuil, prostituées .
Sur scène, des places sont occupées par des nobles. Au 18ème on devient plus attentif à la mise en scène : décors plus nombreux, costumes plus recherchés, la diction se veut plus naturelle. Enfin au 19ème les mises en scènes deviennent somptueuses, riches en objets, en décors, costumes, éclairages. Certai