Fiche Erasme L Loge De La Folie

essay B

L’éloge de la folie – Érasme Introduction L’éloge de la folie a été écrit entre 1509 et 1511. On considère que c’est une des œuvres majeures de l’auteur Erasme, ou il présente de façon fictive et burlesque la folie des hommes. La deuxième moitié du XVIème siècle est une pér10de ensanglanté par les guerres de religion ainsi Erasme porte un regard humaniste sur cette religion vicière. Pour Erasme les hommes sont calculateurs ainsi il dénonce à travers cet extrait ces faux croyants et il pose une réflexion sur l’homme.

Il s’attaque articulièrement sur un ton satirique et polémique à leur comportement. Il critique la religion, la déviation et la superstition Sv. ige to qui en découle. On p comment Erasmeà L crs _ croyants et la religion partie la satire des fa analyserons la satire travers ces deux parties la tonalit Développement A) Une satire des faux croyants 1) Le marché aux pêchés blématique : dénonce t-il les faux d c dans une première econde partie nous us étudierons ? pol mique du texte.

Les faux-croyants évaluent la gravité de leur pêché en fonction e leur porte-monnaie : « Ils lui offrent un nouveau petit présent pour gagner ses faveurs » (1 16) champ lexical de l’argent : rachètent comme un contrat les pêchés, pour que les pêcheurs n’ont pas de poids s Swipe to nex: page sur leur conscience mais sur leur monnaie. (Donc) La religion n’est pas une activité spirituelle mais scientifique et mathématique : « calculant… ne table de mathématique (1 19 et 20) champ lexical des mathématiques : « mesurent, calculant, clepsydres » (horloge à eau fonctionnant sur le principe d’écoulement régulier de temps), « petites formules, table athématique Erasme met l’accent sur la bêtise humaine et l’incroyance de ces personnes. En effet, elles passent leur temps à calculer leur temps de purgatoire après leur mort : énumération avec gradation descendante : « calculant sans la moindre erreur siècles, années, mois, heures (1 19 et 20) = perte de temps inconsidéré des faux-croyants.

Sous forme de question rhétorique Erasme nous présente les hommes qui utilisent la religion comme outil (1 31 à 33). Les pers. tiennent compte d’un seul aspect de la religion : la rémission des pêchés. Toute fois Erasme montre Péchec : ils se bercent de pardons imaginaires (1 17 et 18) Le verbe bercer renvoi à l’idée de rêve. Donc ce n’est pas par l’argent que l’on peut racheter sa condulte.

On retrouve ici : champ lexical du charlatanisme avec : « magie, pieux imposteur, échec de la foi… » 2) La prétention de ses faux-croyants La prétention de ses faux-croyants reposes sur deux paradoxes : on s’attend à ce que les faux-croyants paient pour la rémission de leur pêché maintenant pour après leur mort, or il en est rien. Ils attendent de la religion une form PAG » OF d