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Page de présentation : Prénom : Thomas Nom : Bousquet Classe : 3ème2 Année : 2014/2015 Dossier Histoire des Arts : Education Musicale Sommaire: 1) Le domaine histor a) Les attentats du 1 b) Politique de Geor c) La guerre en Irak 2) Domaine musical : 7 p g a) Biographie d ‘Arvo part b) Courte analyse du Cantus in memory of Benjamin Britten 3) Domaine artistique • a) Biographie de Mounir Fatmi. ) Manhattan, installation n03, Mounir Fatmi. 1) Le domaine historique : a) Les attentats du 11 septembre 2001 Les attentats du 11 septembre 2001 (communément appelés 11 – uatrième avion, volant en direction de Washington, s’écrase en rase campagne à Shanksville, en Pennsylvanie, après que des passagers et membres d’équipage ont essayé d’en reprendre le contrôle.
Le Pentagone a été réparé en un an et ont étalent construis six nouvelles tours, dont le One World Trade Center qui est la plus haute des États-Unis, un mémorial installé sur l’emplacement des tours jumelles, un musée consacré aux attentats. Une nouvelle gare est en cours de construction. La Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis a été créée en 2002 pour expliquer comment es attentats ont pu se produire et pour éviter que cela ne se reproduise.
Dans son rapport publié fin août 2004, elle établit la responsabilité du réseau Al-Qaïda, en affirmant que les dix-neuf terroristes auteurs de ces attentats-suicides en étaient membres et que le commanditaire en était Oussama ben Laden, qui les a revendiqués à plusieurs reprises Khalid Cheikh Mohammed a été désigné comme le principal organisateur de ces attaques et a reconnu les faits lors des interrogatoires préliminaires à son procès.
Certains contestent les explications couramment admises oncernant ces attentats et qualifies les attentats de théories du complot qui sont considérées pour certains comme des théories « révisionnistes voire « négationnistes d’attentats. Le 1 7 octobre 2001 les attentats ont été qualifié de crimes contre l’humanité par Mary Robinson, chargée du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme.
Les événements du 11 septembre ont été vécus presque en temps réel par des centaines de millions de téléspectateurs ? travers le monde et ont provo l,’ en temps réel par des centaines de millions de téléspectateurs ? travers le monde et ont provoqué un choc psychologique considérable, les images de l’avion heurtant la deuxième tour du World Trade Center ainsi que celles de l’effondrement complet en quelques secondes des deux tours du WTC ayant été diffusées en direct.
Le gouvernement fédéral des États-Unis et celui de nombreux autres pays ont réagi en renforçant leur législation antiterroriste. L’administration américaine a ensuite lancé une « guerre contre le terrorisme notamment en Afghanistan dès octobre 2001 , dont le régime taliban favorable à Al-Qaida était soupçonné d’héberger Ben Laden, et en Irak en mars 2003, dont le régime baasiste a été désigné par l’administration américaine comme un soutien du terrorisme international et un détenteur d’armes de destruction massive.
Avec leur charge (partielle) en carburant estimée à quarante-six mille litres chacun, les avions, (deux Boeing 757 et deux Boeing 767) ont été utilisés comme bombes incendiaires volantes. Des quatre avions détournés, seul le Vol 93 ne put atteindre sa cible, s’étant écrasé en Pennsylvanie alors qu’il se dirigeait vers la capitale. Ily avait 19 pirates de l’air
Quelques passagers et membres d’équipage ont pu passer des appels téléphoniques, principalement du vol IJA93, mentionnant la présence de pirates de l’air armés de couteaux à lame rétractable (Box cutter en anglais), qu’ils ont utilisés pour menacer ou tuer du personnel navigant et des passagers lors de la prise de contrôle de l’avion. Un témoin rapporte aussi l’utilisation d’un produit chimique de type gaz lacrymogène utilisé dans le vol American 11 pour tenir les passage American 11 pour tenir les passagers à l’écart de la première classe.
La Commission nationale sur les attaques terroristes ontre les États-Unis a pu établir que deux des pirates de l’air avalent récemment acheté des couteaux multifonction Leatherman. Des menaces de bombe ont été faites sur trois des avions (sauf sur l’American 77) Trajet du vol AAI 1 (décollage de Boston Logan) Trajet du vol LJAI 75 (décollage de Boston Logan) Trajet du vol AA77 (décollage de Washington du vol UA93 (décollage de Newark Dulles) Liberty) b) Politique de Georges Bush.
Trajet George Walker Bush, né le 6 juillet 1946 à New Haven,(États-Unis), fils de George H. W. Bush et de sa femme, Barbara Pierce, c’est e 43e président des États-Unis, du 20 janvier 2001 au 20 janvier 2009. « l’administration Bush a poursuivi la politique étrangère la plus inepte, la plus arrogante et la plus idéologique dans rhistoire moderne (Discours au Conseil des Relations Etrangères le 3 décembre 2003) La politique étrangère de l’équipe Bush est certainement l’une des plus «idéologiques» de l’histoire des Etats-Unis.
Elles s’appuie sur un événement fondateur (le 1 1 septembre) constitutif d’une doctrine claire (la lutte contre toute forme de terrorisme et de menaces) Cette doctrine est mise en œuvre à travers une argumentation rès « wilsonienne se référant à la mission des Etats- 4 OF l,’ mise en œuvre à travers une argumentation très « wilsonienne se référant à la mission des Etats-Unis qui est de rendre le monde meilleur.
Bush déclare la guerre à l’Irak car Bush pense que les rakiens forme une sorte de soutien du terrorisme international et un détenteur d’armes de destruction massive. La politique étrangère de Bush fait preuve d’arrogance. En effet, John Kerry, démocrate dans la lignée de Bill Clinton, condamne l’attitude de l’équipe Bush après une formation d’une coalition internationale contre le terrorisme.
Ils interviennent en Irak contre l’avis général de l’opinion internationale, appliquant la formule : « multilatéraliste si possible, unilatéraliste quand nécessaire ‘équipe Bush a ainsi l’ « arrogance » de profiter pleinement du statut de grande pu•ssance des Etats-Unis, qui leur permet de refuser les accords internationaux et de faire cavalier seul (refus de faire appliquer le Protocole de Kyoto de 1997, refus de reconnaître la Cour Internationale de Justice, Ainsi, appliquant une idéologie forte, l’administration Bush ne constitue pas réellement une rupture dans la pratique de olitique étrangère américaine.
Au regard de l’Histoire, les Etats- Unis ont toujours associé de manière traditionnelle la moralité à la puissance. Cadministration Bush marque seulement l’application d’une nouvelle idéologie, « néo-conservatrice qui allie la moralité « wilsonienne », aux moyens réalistes de Roosevelt. ? pour la première fois, le wilsonisme serait réaliste puisqu’il ne s’affirmerait plus par l’intermédiaire d’une organisation internationale impuissante ou suspecte, mais par celui d’un empire irrésistible et bienveillant internationale Impuissante ou suspecte, mais par celui d’un mpire irrésistible et bienveillant » En revanche, la pratique très unilatéraliste (l’unilatéralisme consiste à ne prendre en compte qu’une seule position dans une situation. de la politique étrangère de l’administration Bush et son mépris des institutions et des règles internationales marque un tournant dans l’attitude des Etats-Unis depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, alors que c’est ce même pays qui avait présidé à la naissance de ces institutions mondiales. La deuxième guerre d’Irak a été menée sous l’impulsion des États-Unis. Après avoir lancé une offensive en Afghanistan, lieu ù Ben Laden se serait réfugié, et suspectant des liens entre le régime irakien et les terroristes d’al-Qaida, George W.
Bush charge Donald Rumsfeld et Tommy Franks de constituer un plan d’attaque contre l’Irak. C’est le plan d’opération 1003V, qui est une « évolution » du plan de guerre de la première guerre du Golfe. Les raisons invoquées officiellement étaient principalement . la « lutte contre le terrorisme l’Irak étant présenté comme un État soutenant al-Qaida, responsable entre autres de l’attentat contre le navire militaire USS Cole, des attentats contre plusieurs mbassades des États-Unis en Afrique et des attentats du 1 1 septembre 2001.
Ces accusations ont depuis été démontrées comme non fondées, y compris par le sénat américain, Saddam Hussein considérant l’extrémisme islamiste comme une menace pour son régime. l’élimination des armes de destruction massive (ADM) qu’était censé détenir l’Irak. La possession de missiles longue portée et leur prolifération 6 OF l,’ qu’était censé détenir l’Irak. La possession de missiles longue portée et leur prolifération sont démontrées depuis les années 1990. En septembre 2014, on révéla qu’il s’agit de plus de 5 000 munitions chimiques qui ont été trouvées.
Mais L’Irak Survey Group chargé par le gouvernement américain de trouver ces armes déclara en septembre 2004 qu’il n’y avait plus aucune production d’arme chimique depuis 1991, ni aucun programme en cours en vue d’en obtenir de nouvelles, et les seules armes trouvé (500 munitions) ont été alors collectées dans tout les pays abandonnées ou oubliées et dans un état dégradé, datant de la guerre Iran-lrak. l’arrestation de Saddam Hussein, l’instauration d’une démocratie t la pacification de la région par un effet d’exemple. Mais ces éléments sont contestés par de nombreux analystes, journalistes et responsables politiques.
Les éléments avancés par les États- Unis pour étayer leurs affirmations sur la présence en Irak d’armes de destruction massive, la poursuite de recherches visant à fabriquer de telles armes ou encore l’existence de liens entre l’Irak et le terrorisme ne provoquent guère plus de controverses, surtout après la publication du memorandum de Downing Street- De plus, certains éléments provoquent des interrogations sur les otivations réelles de l’intervention, comme : – les liens entre les néo-conservateurs au pouvoir à Washington et des entreprises d’exploitation pétrolière, notamment le Groupe Carlyle, Enron, Halliburton Energy Services (qu’a présidé Dick Cheney) et Unocal – les liens entre les néo-conservateurs au pouvoir de Washington et des entreprises sous-traitantes de l’armée (dont Hall néo-conservateurs au pouvoir de Washington et des entreprises sous-traitantes de l’armée (dont Halliburton) ; – la décision de l’Irak de ne plus faire valoir son pétrole contre des devises en dollars, mais en euros. On peut donc distinguer deux sortes d’objectifs, les objectifs, énoncés lors des discours des représentants de la Maison- Blanche et relatés dans la presse, et l’avis de la doctrine qui s’exprime par des objectifs/enjeux officieux.
La guerre d’Irak, parfois connue sous le nom de troisième guerre du Golfe, a commencé le 20 mars 2003 avec l’invasion de l’Irak (dite « Opération libération de l’Irak ») par la coalition menée par les États-Unis contre le Parti Baas de Saddam Hussein. L’invasion a conduit à la défaite rapide de l’armée irakienne, à la capture t l’exécution de Saddam Hussein et à la mise en place d’un nouveau gouvernement. Cette guerre est à ce jour l’unique mise en œuvre du concept de guerre préventive développé par l’administration Bush pour parer à la menace des armes de destruction massive dont cette dernière affirmait à tort détenir la preuve dans un rapport présenté au conseil de sécurité de l’ONU le 12 septembre 2002.
Le président George W. Bush a officiellement déclaré l’achèvement des combats le 1er mai 2003, sous la bannière Mission accomplie. Toutefois, la violence contre les forces de a coalition a rapidement conduit à une guerre asymétrique impliquant plusieurs groupes d’insurgés, des milices, des membres d’Al-Qaida, l’armée américaine et les forces du nouveau gouvernement irakien. a) Biographie d’Arvo part Arvo part, né le 11 septembre 1935 à Paide, en Estonie, est un compos compositeur estonien de musique contemporaine vivant à Tallinn. Il est souvent associé au mouvement de musique minimaliste qui s’est formé à partir des années 1960.
Ses parents divorcent alors qu’il n’a que trois ans et sa mère l’emmène vivre chez son nouveau compagnon à Rakvere, au ord-est de l’Estonie. Là, entre sept et huit ans, il suit des cours de musique après l’école et apprend les bases du piano et de la théorie musicale. À la maison, il ne dispose que d’un Vieux piano à queue dont seuls les registres extrêmes peuvent être joués convenablement ; cela le pousse à l’expérimentation et à inventer ses propres œuvres. Adolescent, il écoute toutes sortes de musiques à la radio finlandaise mais il est plus particulièrement intéressé par la musique symphonique. On raconte même qu’il tournait en rond sur la place de la ville alors que les concerts symphoniques y ?taient diffusés via des haut-parleurs.
Bien que le piano soit son instrument de prédilection et qu’il en joue parfois en concert comme accompagnateur, il pratique aussi le hautbois dans l’orchestre de son école, les percussions dans un groupe de danse et chante dans le chœur de son école. Progressivement, il passe des improvisations au clavier à des compositions plus formelles qu’il commence à noter vers quatorze ou quinze ans. Vers ses 17 ans, il présente Meloodia, pièce pour piano qu’il compose pour un concours de jeunes artistes. Sa pièce est remarquée mais, sans doute à cause d’un manque évident de acines ou d’influences estoniennes, il ne remporte aucun prix. part se rappelle qu’elle était dans le style de Rachmaninov mais q estoniennes, il ne remporte aucun prix. Pért se rappelle qu’elle était dans le style de Rachmaninov mais qu’elle n’avait rien de personnel.
Arvo Pàrt entre en 1954 à l’École secondaire de musique de Tallinn et compte parmi ses professeurs Harri Otsa. Il y étudie la théorie musicale, la composition, le piano, la littérature musicale, l’analyse et la musique populaire. Cet apprentissage est interrompu après quelques mois seulement par le service ilitaire obligatoire au cours duquel il joue de la caisse claire et du hautbois dans la fanfare. Ces deux années sont vécues comme un souffrance et il contracte un maladie rénale qui compromettra sa santé pendant plus de dix ans. II retourne à l’École secondaire de musique de Tallinn pour l’année académique 1956-57 avec Veljo Tormis pour professeur et assimile facilement toute idée nouvelle (dont le dodécaphonisme).
Il fait déjà preuve d’un talent évident et naturel pour la composition ; un de ses compagnons d’étude, Ave Hirvesoo, déclare même qu’il « semblait secouer sa manche et des notes en tombaient Il entre au conservatoire de Tallinn à l’automne 1957 où il étudie avec Heino Eller. Les programmes obligatoires comportant également l’économie politique, Ihistoire du Parti communiste et la « science de l’athéisme Parallèlement, il trouve un emploi d’ingénieur du son à la radio estonienne, poste qu’il occupe de 1958 à 1967. En 1962, l’une de ses compositions écrite pour chœur d’enfants et orchestre, Notre jardin (1959), le fait connaître dans toute l’Union soviétique et lui permet de remporter le Premier Prix des jeunes compositeurs de l’URSS. À cette époque il est quelque temps directeur musical du 0 7