EXPOSE GUERRE ISRAELO ARABE

essay B

INTRODUCTION Avant de débuter sur Pétude des différents conflits israélo- arabes, il faut tout d’abord resitué le contexte historique et géographique. La Palestine est un territoire situé entre l’Egypte au sud-ouest, la méditerranée à l’ouest, le Liban au nord et à la Jordanie à l’est. La Palestine est une ancienne colonie anglaise. La population est composée de juif et d’arabes.

En 1917, Lord Balfour proclame la création d’un « foyer national juif » mais celui- ci n’a pas été créé suite aux différents problèmes causés par la seconde guerre mondiale (exemple : génocide juif). Ceci entraine des combats entre les sionistes (juifs) et les britanniques. En novembre 1947, les nations unies proclament le plan de partage de la Palestine en de des guerres civiles e On va Sintéresser ? l’Israël et les pays ara puis on va résumer r 2 p g Ce partage entraîne erres qui opposent rre de 1948 à 1949 uez puis on va voir la guerre de 6 jours (1967).

Enfin, on va s’intéresser à étudier la guerre de Kippour (1973), la guerre de 1982 au Liban et la guerre de la bande gaza de (2014) LES MANIFESTATIONS DES DIFFERENTES CRISES DE 1948 A 2014 1- Guerre de 1948-1949 4 Mai 1948, Ben Gourions (président du conseil national juif) proclame l’indépendance de l’Etat Israélien (c’est la création de l’Etat israélien). Les Nations Unies acceptent l’indépendance qui est aussi reconnue par l’union soviétique et les Etats Unis. Suite ? cela, le Sv. ‘ipe to 15 Mai 1948, les états arabes voisins (Liban, Irak. Jordanie, Egyptien et la Syrie) attaquent le nouvel état indépendant.

Cette alliance (composée d’environ 46 000 hommes) affronte l’armée israélienne nommée Tsahal (environ 35 000 hommes). Ces différentes armées volent leur armée accroîtraient durant la guerre. Malgré une impressionnante armée déployée par les différents pays arabes et une supériorité sur l’organisation et sur les multiples opérations, Israël réussit à les mettre en échec. Cependant, c’est la Nakba catastrophe » en arabe désigne l’exil des palestiniens durant la guerre) pour les Palestiniens, car ceux- ci ont dû se réfugier dans les pays voisins (prêt d’un million).

La guerre se termine fin 1949 mais aucune paix n’est signée entre les pays arabes et l’Israël. Cette guerre entraîne de lourdes pertes humaines de chaque côté avec une modification territoriale de l’état Israélien. En effet, les territoires qui devaient constituer l’état palestinien sont annexés par les pays arabes voisins : la Cisjordanie est annexée par la Jordanie, la Bande de Gaza par l’Egypte et Jérusalem est divisée en deux. 2- Guerre de Suez 1956 En juin 1956, Israël aide la France et le Royaume-Uni contre l’Egypte qui vient de nationaliser le canal de Suez.

Israël récupère des territoires à PEgypte et refuse de les rendre sans que l’Egypte reconnaisse l’existence de l’état Israélien. Enfin, les États-Unis, l’URSS et l’ONU s’accordèrent sur le retrait israélien dans le Sinaï et le canal de suez. En échange, Israël obtint le maintien des casques bleus de l’ONU dans le Sinaï. Ainsi la frontière israélo- égyptienne connaît un moment de calme. 3- Guerre des 6 jours (1967) 20F 12 Ainsi la frontière israélo-égyptienne connaît un moment de calme.

En mai 1967, l’Egypte exige le départ des forces de maintien de l’ordre de l’ONU qui s’y trouvaient depuis 1957 et signe une alliance militaire avec la Jordanie. e 5 juin 1967, Israël déclenche des « attaques préventives » contre l’Egypte du Sud et la Jordanie. L’aviation israélienne survole la Méditerranée et détruisit toute la flotte Egyptienne. Cette guerre est marquée principalement par des attaques aériennes. La surprise de l’attaque israélienne entraîna une guerre très rapide. Après 6 jours de combats, l’Israél reprend le contrôle de la bande de Gaza, la Cisjordanie, le Sinal et le plateau du Golan. – Guerre de Kippour Après la guerre des six jours, la question se pose en Israël si l’on doit garder ou pas les territoires conquis, les avis sont souvent très partagés pour des raisons diplomatiques et militaires. Cest de cette façon que la partie Est de Jérusalem fut annexée au territoire, la ville sainte devint capitale d’Israël. En 1970, Nasser meurt, Sadate son successeur rompt pendant quelques temps les relations avec l’URSS et essaya de régler la situation avec Israél par l’intermédiaire de négociations.

Sadate présenta un projet de règlement négocié sur les territoires occupés, projet qui ne sera pas accepté par le gouvernement juif, sans même essayer d’arriver à un accord. C’est alors, qu’Israël aveuglé par son importante victoire, lors de la dernière guerre, oublie l’importance d’arriver à un accord de paix. Sadate décida de faire une nouvelle guerre contre Israël. Le 6 ctobre 1 973, à la surprise des israéliens, les chars égyptiens envahi 30F 12 guerre contre Israël.

Le 6 octobre 1973, à la surprise des israéliens, les chars égyptiens envahissent le Sinaï, qui à ce moment-là est sous le contrôle des juifs, puis la Syrie attaqua par le Nord. La guerre dure trois semaines, mais ce ne fut que jusqu’? la deuxième semaine qu’Israël commença à gagner du terrain. Cest alors que les pays arabes utilisèrent leur arme la plus redoutable : ils mirent un embargo sur le pétrole, envers les États- Unis, qui ne se lève que jusqu’à ce que les armées israéliennes ?vacuent les territoires occupés.

Cette stratégie économique frappe donc Israël, les États-Unis, mais surtout l’Europe qui était très dépendante de ce point de vue-là, et c’est donc le 22 Octobre que l’ONU vota le cessez-le-feu que doivent accepter les parties sous les pressions des puissances. Et ce fut seulement en 1977, que l’Égypte signa un accord de paix séparé avec Israël sous l’indignation du monde arabe, après une visite officielle de Sadate au pays juif. C’est à cause de cette guerre que l’économie du pays juif passe d’un état de prospérité à un état de crise grâce ? l’aide des Etats-Unis, cette économie ne s’étant pas effondrée davantage.

On peut dire que cette guerre fut la plus difficile qu’a subi le peuple juif. C’est après cette guerre qu’un certain équilibre entre les parties s’instaura puisqu’elle fut très dure pour les juifs et ils se rendirent compte que leur armée n’était pas invincible, comme ils l’avaient cru après la guerre des six jours. On peut aussi dire que ce fut la première guerre que les arabes menèrent dune façon plus intelligente par rapport aux autres, puisqu’ils utilisèrent leur arme pétrolière, ce que personne n’attendait.

Ils mont 4 2 rapport aux autres, puisqu’ils utilisèrent leur arme pétrolière, ce que personne n’attendait. Ils montrent aussi aux grandes puissances, qui prenaient les pays arabes pour des petits pays inoffensifs, qu’ils peuvent leur causer de grands problèmes et ainsi, ils récupérèrent une partie de leur territoire. 5- Invasion du Liban Ce pays à l’armée paralysée et au gouvernement sans pouvoir est encore une fois victime, en 1982, des tensions régionales. Les Israéliens veulent frapper vite et fort l’Organisation de Libération de la Palestine et l’armée syrienne au Liban. pération paix pour la Galilée débute le 6 juin et engage jusqu’? 100 000 soldats qui traversent les lignes tenues pour la FINUL. Dans le Chouf et la Beqaa, les troupes syriennes s’effondrent le 1 1 juin, avec des pertes énormes. ‘armée israélienne encercle les quartiers ouest de Beyrouth où sont retranchés le commandement et les combattants de l’OLP. Le siège est appuyé du 1er au 12 août, par d’intensifs bombardements aériens où demeurent 200 000 civils. Le 20, les USA obtiennent un accord de cesser le feu comportant l’évacuation de POLP sous la protection d’Américains, Français et

Italiens d’une force multinationale. Le départ vers divers pays arabes de près de 1 5 000 combattants palestiniens dont le matériel lourd est laissé à l’armée libanaise, le repli des syriens au nord de la Beqaa et la fermeture des bureaux de l’OLP constituent une victoire d’Israël au Liban. Plusieurs centaines de milliers de civils palestiniens restés sur place se trouvent brutalement privés de protection et d’encadrement. Au lendemain de Passassinat du président libanais Béchir Gemayel, le 16 septembre, I 2 Gemayel, le 1 6 septembre, l’armée israélienne investit Beyrouth.

Une négociation de paix s’ouvre à Naqoura, près de la frontière libano-israélienne. Elle aboutit, le 17 mai 1983, à un accord stipulant la fin de l’état de guerre et un retrait israélien conditionné par un retrait simultané des forces palestiniennes et syriennes. 6- La bande de gaza À la suite de l’enlèvement de trois adolescents israéliens le 12 juin 2014 et de la découverte de leurs corps, le 30 juin, Israël accuse le Hamas malgré l’absence de revendication de sa part, le cenaeau présumé de l’opération est arrêté le 11 juillet et aurait indiqué s’être assuré du soutien financier du Hamas.

Le 22 oût, un membre de bureau politique du Hamas, reconnait que cet enlèvement et les assassinats ont bien été commis par des membres du Hamas, « sans que la direction du mouvement en ait été avertie Le 23 septembre les deux membres du Hamas tenus responsables de l’enlèvement et de l’assassinat des trois adolescents qui étaient recherchés depuis par Israël sont abattus lors d’une fusillade avec des soldats à Hébron.

La guerre de gaza de 2014 est un conflit armé se déroulant durant les mois de juillet et d’août 2014, opposant l’État d’Israël à diverses forces paramilitaires palestiniennes dont le Hamas t le Jihad islamique. De même nature que la Guerre de Gaza de 2008-2009, elle se caractérise par des tirs aveugles de roquettes depuis la bande de Gaza vers Israël et par des raids et bombardements aériens suivis d’une offensive terrestre lancée le 18 juillet 2014.

L’objectif déclaré des Israéliens est de mettre fin aux tirs de roquettes du H 6 2 le 18 juillet 2014. L’objectif déclaré des Israéliens est de mettre fin aux tirs de roquettes du Hamas depuis la bande de Gaza et au réapprovisionnement du Hamas en armement, en s’en prenant à ses militants et en détruisant ses infrastructures, en articulier les dizaines de tunnels creusés sous la frontière entre la Bande de Gaza et Israël, les sites de lancement de roquettes et leurs unités de fabrication.

L’objectif des groupes paramilitaires palestiniens est de faire lever le blocus de la bande de Gaza en vigueur depuis2007, tout en inscrivant ces actions militaires dans un cadre plus général de ce qu’ils considèrent être une résistance face à l’État d’Israël dans le cadre du conflit israélo-palestinien.

Dans son rapport , l’ONG Amnesty International accuse Tsahal davoir délibérément visé des habitations civiles Les forces sraéliennes ont violé les lois de la guerre en menant une série d’attaques contre des habitations civiles, faisant preuve d’une froide indifférence face au carnage qui en résultait à la date du 29 juillet, soit au 21 e jour après le début de l’opération Bordure protectrice dans la bande de gaza le bilan des pertes humaines réalisé par l’Organisation des Nations unies s’élève à plus de 1 113 morts palestiniens dont 795 Civils et 230 enfants, 6 233 blessés ou mutilés dont 1 949 enfants et 1 660 femmes, 182 604 déplacés (soit de la population de Gaza). Côté israélien on éplore officiellement la mort de 3 civils et de 53 soldats. ? la date du 28 juillet 2014, 230 enfants palestiniens ont été tués par les bombardements israéliens depuis le début de l’opération, soit « plus de dix par jour » selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNI de l’opération, soit « plus de dix par Jour » selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), Pernille Ironside, la responsable UNICEF à Gaza, ajoutant, que « des enfants sont tués, blessés, mutilés, brûlés en plus d’être absolument terrifiés Au 2 août, si pour Israël 47 % des victimes sont des « terroristes Au 27e jour de l’opération « Bordure protectrice », la Bande de Gaza se trouve dans une situation de « désastre humanitaire sans précédent » [140] selon les responsables de l’ONU et des ONG présents sur place. Dans une large mesure, l’enclave palestinienne est privée de nourriture, d’eau, d’électricité et d’accès aux soins. Les conditions sanitaires sont désastreuses et les lieux de refuges totalement saturés.

Les derniers bilans de l’ONU indiquent que 50 000 maisons ont été entièrement détruites et 30 000 partiellement. Plusieurs centaines d’écoles et de crèches, soupçonnées d’abriter des armes du Hamas, l’unique centrale ?lectrique ainsi qu’une dizaine d’hôpitaux ont été bombardés. Après un mois de conflit, la bande de Gaza se trouve dans une situation de « désastre humanitaire sans précédent » selon les responsables de l’ONU et des ONG présents sur place. Dans une large mesure, l’enclave palestinienne est privée de nourriture, d’eau, d’électricité et d’accès au soin. Les conditions sanitaires sont désastreuses et les lieux de refuges totalement saturés.

Ainsi l’ONU indique qu’au début du mois d’aout 2014, IO 000 maisons ou appartements ont été entièrement détruits, soit ne population sans hébergement évaluée à 65 000 personnes L’unique centrale électrique a été détruite ce qui a causé l’arrêt du système de distribution d’eau, et une dizaine dhôpit B2 électrique a été détruite ce qui a causé l’arrêt du système de distribution d’eau, et une dizaine d’hôpitaux ont été endommagés . En tout, 97 installations de l’UNRWA et 142 écoles de l’ONU ont été endommagées. ll- CONSEQUENCES En 1949, Israël signe des accords de cessez-le-feu avec l’Égypte (le 24 février), le Liban (le 23 mars), la Transjordanie (le 3 avril) et la Syrie (le 20 juillet). L’Irak refuse par contre dentrer dans des négociations d’armistice 125. Les conséquences de la victoire israélienne sont multiples, tout ? la fois politiques, militaires, territoriales et démographiques. – Conséquences politiques Sur le plan politique, les États arabes ont été ébranlés par la défaite (AI Naqba, la catastrophe). La plupart des responsables politiques de la période seront assassines ou renversés dans les années qui suivront, sur fond de poussée du nationalisme arabe : assassinat du Premier ministre égyptien Nokrachy Pacha fin décembre 1948par un Frère musulman ; renversement n mars 1949 du président syrien Shukri al-Kuwatli par le coup d’État militaire de Husni al-Zaim ; assassinat d’Abdallah Ier de Jordanie par un Palestinien le 20 juillet 1951 ; coup d’État en Égypte le 23 juillet 1952126. En Israël, le Mapai (parti travailliste) était déjà le parti dominant au sein du Yichouv depuis 1931.

La victoire militaire conforte encore son prestige. Il restera au pouvoir pendant encore presque 30 ans, jusqu’à la victoire électorale du Likoud en 1977. 2- Conséquences militaires Sur le plan militaire, la Grande-Bretagne quitte la Palestine. Sa résence était une des raisons du soutien soviétique à Israël. Mise en cause pour son soutien ‘u é insuf des raisons du soutien soviétique à Israël. Mise en cause pour son soutien jugé insuffisant aux armées arabes, la Grande-Bretagne devra dans les années suivantes quitter les pays de la région où elle avait encore une présence militaire : Egypte, l’Irak et la Jordanie. Cest ce qui déclenchera notamment la crise de Suez127.

L’armée israélienne s’affirme de son côté comme une puissance militaire majeure de la région. 3- Conséquences territoriales Sur le plan territorial, le projet d’un État palestinien est bandonné. La bande de Gaza est administrée par l’Égypte. Israël annexe Jérusalem-ouest (en février 1 949) et 77 % de rancienne Palestine mandataire, soit 50 % de plus que ce qui était prévu par le plan de partage de l’ONU. La Transjordanie annexe quant à elle en 1950 Jérusalem-est et la Cisjordanie, et se rebaptise dans la foulée « Jordanie Les frontières issues des accords de cessez-le-feu seront par la suite connues sous le nom de « Ligne verte ».

Tant la partie arabe que la partie israélienne ont refusé de considérer les frontières issues du cessez-le-feu comme étant es frontières définitives : « Aucune disposition du présent accord ne préjugera en aucune manière des droits, revendications et positions des parties quant aux règlements territoriaux ultérieurs, du tracé des frontières ou des revendications de chacune des parties à ce sujet »128. Certains membres du gouvernement israélien proposeront de déclarer unilatéralement que les frontières de 1 949 étaient les frontières définitives d’Israël, mais d’autres, dont David Ben Gourion, s’y opposeront. Les termes de l’accord de cessez-le-feu avec la Transjordanie sont une des bases sur lesquelles Isra 0 2