La Culture Arabe

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La culture arabe Travail réalisé par : Sara Ammor 3071 /G2 Wahabi l- Définition de la culture Selon l’Unesco, la cul considérée comme l’ matériels, intellectuel ou un groupe social. les modes de vie, les or 1 1 s large, est nctifs, spirituels et risent une société Ls et les lettres, l’être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. Définition d’un arabe selon Shaikh ul-lslâm Ibn Taymiyyah A l’origine le mot « Arabe » était un nom désignant trois types de gens : 1. Ceux dont la langue était l’Arabe 2. Ceux qui étaient enfants d’Arabes 3.

Ceux qui vlvaient sur les terres des Arabes qui correspondent ? la péninsule arabique, à partir de la mer Qulzum , la mer de Basra et de l’extrême limite du Yémen jusqu’à l’entrée du Shâm. Donc le Yémen est inclus dans leur terre mais pas al-Shâm. C’était la terre des Arabes, au temps de l’éveil et de la propagation des Arabes, et avant cela. Lorsque l’Islam est apparu et s’est répandu jusqu’aux grandes villes, les Arabes sont restés vivre dans ces terres, de l’extrême orient à l’extrême occident, et des côtes du Shâm et de l’Arménie. onnaissaient aucune autre langue. Ou les gens qui connaissaient ‘Arabe et celui qui était « fabriqué » et qui s’était introduit dans la langue Arabe. C’est le cas de la majorité des gens du Shâm, l’Irak, l’Egypte, l’Andalousie Les lieux où les non-arabes étaient nombreux ou en majorité comme les terres des Turcs, Khurasan , l’Arménie, l’Azerbaijan et d’autres pays semblables. Ces endroits se divisent en deux : ceux qui étaient Arabes depuis le début et ceux qui étaient Arabes par résidence, et ceux qui ne sont pas Arabes.

Ainsi, les origines se divisent en trois catégories . Les gens qui ont un lignage d’arabes et qui ont conservé la langue t le lieu d’orlgine arabes. Ou qui ont gardé la langue mals pas le lieu d’origine, ou le lieu d’origine mais pas la langue arabe. Les gens qui sont d’une descendance arabe à l’origine, en fait ils sont des Bâni Hâshim mais leur langue et leur lieu de résidence sont devenus non-arabes, ou l’un des deux [est devenu arabe]. Les gens qui ne connaissent pas leurs origines et qui ne savent pas s’ils ont une lignée Arabe ou non.

La majorité des gens aujourd’hui sont dans ce cas, sans se soucier du fait qu’ils étaient Arabes par la langue et la résidence, ou non-arabes dans l’un des eux [cas]. Donc dans ces deux groupes de gens, il y a ceux qui étaient profondément marqués par l’arabe, ceux qui ont été plus influencés par la langue non arabe, et ceux qui sont concernés par les deux cas, que ce soit par coutume ou tradition. Donc si l’arabe doit se diviser selon l’origine, la langue PAG » 1 coutume ou tradition.

Donc si l’arabe doit se diviser selon l’origine, la langue, et la résidence, alors les règles sont différentes selon les cas, surtout en ce qui concerne le lignage et la langue. Ce qui fut mentionné jusqu’ici au sujet de l’interdiction d’imiter es non-arabes était très important aux débuts de flslam, pour les tous les premiers hommes (les Sahabah). Puisque tout ce qui était le plus proche de leur guidée est préférable, et tout ce qu s’en éloignait est contradictoire, que l’opposant de cette guidée aujourd’hui soit un Arabe de par sa lignée ou par la langue.

Et c’est ce qui nous est connu des Salaf. « Al-Hâfidh Abu Tahir as-Silafi, dans  » Les vertus des Arabes rapporte de Abu Shihâb al-Hannât, de Jâbir bin Mûsa, de Abu Jafar Muhammad bin ‘Ali bin al-Hasan ibn ‘Ali qui dit : « Quiconque naît dans l’Islam, est un Arabe. C’est ce qui est rapporté par Abu Ja’far. Ceci, car celui qui est né dans Vlslam, est né dans un milieu arabe et s’est familiarisé avec leur langue. » Définition d’un arabe selon les textes akkadiens et hébraïques Les plus anciennes informations sur les Arabes proviennent des textes akkadiens (assyro-babyloniens) et hébraïques. ? partir du ixe siècle avant notre ère, ils situent dans le désert syro- mésopotamien et le nord-ouest de l’Arabe une population dénommée en akkadien Aribi, Arubu, Urbu, en hébreu ‘Arab (‘Arbï, « un Arabe L’examen des noms propres des membres de ce euple mentionnés par les textes akkadiens montre que leur langue était effectivement l’arabe. Ils devaient déj? PAGF30F11 mentionnés par les textes akkadiens montre que leur langue était effectivement l’arabe. Ils devaient déjà se nommer eux-mêmes ‘Arab.

Le mot – ou une forme qui en est dérivée – s’est spécialisé, à certaines époques et dans certains usages, pour désigner seulement ceux des habitants de l’Arabie qui menaient une vie nomade, les Bédouins selon un autre terme indigène. Nous savons que des populations menant un genre de vie semblable occupaient, avant cette époque, le désert syrien et a péninsule du Sinaï. Mais nous ignorons absolument si ces populations étaient de langue arabe. L’étymologie du mot ‘Arab est obscure.

On a supposé qu’il dérivait du mot ‘Arabah qui, en hébreu, déslgne le désert et particulièrement la dépression désertique au sud de la mer Morte. Le terme, appliqué d’abord aux Arabes de cette région, se serait étendu ensuite à tous les éléments qui leur étaient apparentés, suivant un processus fréquent pour les noms de peuples. Ce n’est qu’une hypothèse. Nous ignorons aussi jusqu’à quelle limite vers le sud s’étendait, ux diverses phases de l’histoire du Ier millénaire avant J. -C. la population arabe. Mais, en tout cas, dans la région méridionale de l’Arabie (Yémen, Hadramaout actuels), on parlait des dialectes d’une autre langue, que nous appelons sudarabique, apparentée, mais distincte. Les habitants de cette région considéraient les Arabes (‘rb dans leurs inscriptions) comme un peuple étranger, et réciproquement. Territoire géographique du monde arabe selon Jean-Paul gord Etendu sur 13. 5 millions de km2, l’espa PAGFd0F11 géographique du monde arabe selon Jean-Paul Bard Etendu sur 13. illions de km2, l’espace du monde arabe couvre 10% de la superficie mondiale, mais s’il est vaste il n’en reste pas moins peu peuplé : guère plus de ZOOM d’habitants en 1990, moins de 3% de la popu ation mondiale. Cet espace, étiré en longitude sur plus de 8000 km, s’étend de rocéan Atlantique ? l’océan Indien d’ouest en est, de la mer Méditerranée au Sahel du nord au sud. A cheval sur la terre africaine et la terre d’Asie, le monde arabe comprend aujourd’hui 20 Etats depuis l’unification des deux Yémen. Ces 20 Etats sont regroupés pas les géographes en espaces régionaux parmi lesquels d’ouest en est en note :

Trois ensembles au Nord du continent africain : le « Grand Maghreb » (Maurltanie, Maroc, Algérie, Tunisie et Libye), la vallée du Nil (Egypte et Soudan) et la Corne de l’Afrique (Djibouti et Somalie). Deux autres ensembles situés à l’Ouest du continent asiatique : la péninsule arabique (Arabie Saoudite, Yémen, Sultanat d’Oman et les pays du Golfe : Emirats arabes unis, Qatar, Bahreïn et Kowëlt) et les pays du Croissant fertile (Irak, Syrie, Liban, Jordanie et Palestine). Ces espaces sont eux-mêmes réduits à deux ensembles opposant le Maghreb à l’ouest et le Machrek à l’est.

Les espaces de l’islam selon Jean-Paul Bord . Même restreint au monde arabe, qui constitue la partie centrale du monde musulman, l’islam ne correspond pas seulement à une aire culturelle, maiis aussi a un ensemble géographique dans la mesure où, depuis ses origines, il se caractérise par s 1 maiis aussi a un ensemble géographique dans la mesure où, depuis ses origines, il se caractérise par une liaison particulièrement étroite entre le théologique et le politique (liaison symbolisée pendant des siècles par l’institution du Califat, supprimée en 1924). Mais l’islam ne domine pas de façon omogène cet espace.

A la distinction sunnite-chiite s’ajoutent les particularités de nombreux groupes chrétiens. Cette diversité, riches de ses différences, permet d’opposer confessionnellement deux ensembles : un Maghreb homogène, ? un Machrek très hétérogène. Un Maghreb plus homogène : De la Mauritanie à la Libye, les musulmans règnent presque sans partage et leur pourcentage reste très fort dans chaque pays ( supérieur à 98%). Ce sont les sunnites de tendance malékite qui sont presque exclusivement représentés , à l’exception de petits groupes kharijites (ibadites) au Mzab en Algérie, à Djerba en

Tunisie ou dans le djebel Nefousa en Libye Un Machrek plus hétérogène : Dans cet ensemble plus vaste, des sous-ensembles s’organisent, structurés autour de deux états dominants : l’Arabie Saoudite et l’Egypte. La première, patrie du Prophète, Etat gardien des lieus saints (Médine, La Mecque), lieu de pèlerinage pour tout musulman. Elle est dominée par les sunnites et par l’école rigoriste hanbalite. La seconde reste le centre religieux et l’intellectuel de l’islam, envoyant des professeurs jusqu’en Indonésie et en Afrique noire, et formant des étudiants.

Pays arabe où la communauté musulmane est de loin la plus mportante (90% de musu 6 1 étudiants. Pays arabe où la communauté musulmane est de loin la plus importante (90% de musulmans soit plus de 50 millions), l’Egypte abrite aussi la plus forte minorité chrétienne, en valeur jouent un rôle non négligeable dans les milieux intellectuels. Autour de ces deux espaces, des sous ensembles. Les Etats plus orientaux, proches de l’Iran, siège du chiisme, subissent son influence ; elle se fait sentir au Koweit, au Qatar, au Yémen, à Bahrein et surtout en Irak.

A Oman, c’est une autre tendance de l’islam qui exerce largement son autorité : l’ibadisme, forme tténuée du kharijisme, politiquement différent de celui de l’Iran. Les chiites sont profondément implantés au Liban, où cependant les chretiens sont combreux : de la population totale. En Syrie, les chrétiens sont un peu moins d’un milliers de fidèles, soit environ 8 à10% de la population ; et dans les territoires occupésen Jordanie, 4% de la population totale. L’Irak en revanche présente une communauté chrétienne réduite.

Enfin, le dernier sous-ensemble est celui du pays du Sud (Soudan, Somalie, Djibouti), où la communauté musulmane sunnite règne amplement en Somalie et à Djibouti, mais demeure circonscrite u Nors du Soudan. Dans le sud négro-africain, les chrétiens et les anmistes sont larrgement majoritaires. L’unité linguistique selon Jean-Paul Bord: Bien que l’arabe soit la langue officielle des 20 Etats appartenant à la Ligue arabe, d’autres lanqueset dialectes sont pratiqués. Les langues ber PAGF70F11 Etats appartenant à la Ligue arabe, d’autres lanqueset dialectes sont pratiqués.

Les langues berbères sont parlées par près de 40% de la population au Maroc et environ 20% en Algérie. En Mauritanie, si les Berbères sont peu nombreux. les dialectes noirs non arabes, parlés le long du fleuve Sénégal, représentent au inimum des dialectes. En Irak, le kurde est parlé par près de 25% de la population. Dans les pays du Sud la langue arabe est minoritaire. Langue dominante à l’intérieur de la grande famille afro-asiatique, l’arabe déborde largement hors des pays de la Ligue arabe, sur les pays sahéliens au Sud : Tchad et Mali.

Au nord-est, elle est bloquée par les grandes ffamilles altaiques et indo-européenne (kurde et persan), dans les régions secouées par de nombreux et violents conflits « héréditaires ll- La définition de la culture selon Geert Hofstede: Son approche de la culture est basée sur la définition donnée par ‘anthropologue américain Kluckhohn « la culture est la manière de penser, de sentir et de réagir d’un groupe humain, surtout acquise et transmise par des symboles, et qui représente son identité spécifique: elle inclut les objets concrets produits par le groupe.

Le cœur de la culture est constitué d’idées traditionnelles et des valeurs qui lul sont attachées Il définit cinq facteurs de différenciation culturelle • La distance hiérarchique : désigne l’acceptation de l’inégalité de pouvoir par celui qui y est soumis. • Le contrôle de l’incertitude : désigne le degré de tolérance qu’une culture peut ac B1