Explication d’un texte de Freud
Explication de texte – Freud Les hommes sont cruels les uns envers les autres, commettent des atrocités Individuelles ou collectives et sont capables de guerres, ce qui permet à Freud de remettre en question la bonté naturelle de l’homme qu’évoque Jean-Jacques Rousseau. La violence humaine est-elle forgée culturellement, socialement et historiquement ? Selon Freud, cette violence est innée (« cette hostilité primaire ») et est un instinct naturel de l’homme (« données instinctives »).
Elle ne serait donc pas une conséquence de notr inconsciente présent de traiter quatre part Freud réfute la thèse verrons ensuite les dl OF4 -p next page d’une partie iviser cet extrait afin re nous montre que nt sa position. Nous ssivité qui sun,’iennent chez Ihomme ainsi que les conditions qui poussent cette agressivité à s’exprimer. Enfin nous analyserons les conséquences de cette violence sur les sociétés.
Rousseau énonce une thèse qui serait que l’homme est un être naturellement bon, ce que Freud contredit dès la première ligne de cet extrait en écrivant « l’homme n’est point cet être débonnaire » signifiant donc que la grande bonté ou tendance ? e montrer secourable à autrui ne serait pas le meilleur adjectif pour qualifier l’homme. « Dont on dit qu’il se défend quand on l’attaque » montre que Freud, malgré le fait qu’il pense que l’agressivité est primaire c Sv. ipe to chez l’homme, admet tout de même qu’un facteur déclencheur fait surgir cette agressivité. Il dit que lion doit ajouter aux instincts de l’homme, l’agressivité, ce qui contredit Rousseau pour qui les instincts primaires de Ihomme sont bons. Selon Freud, les individus sont non seulement des aides envers leur prochain mais plus particulièrement et plus nécessairement une tentation pour es autres. Effectivement une tentation peut entraîner la jalousie d’un individu ou le rendre désireux de ce qu’il n’a pas mais que son prochain aurait.
Un individu alors jaloux ou désireux peut exprimer ce sentiment, ce mécontentement de ne pas avoir ce qu’il veut, par la violence. On peut donc dire que Freud perçoit l’homme comme ayant une agressivité instinctive et présente naturellement mais qui est de plus accentuée par le fait de vivre en société. L’agressivité est présente de différentes manières dans notre monde, Freud en évoque certaines par la suite dans cet extrait.
On retrouve ici le besoin vital de l’homme lorsque Freud énonce « l’homme est tenté de satisfaire son besoin d’agression aux dépens de son prochain implicitement on admet un besoin dagression ancré en Ihomme qui fait ressortir une part d’égoïsme chez ce dernier. Lhomme privilégie la satisfaction de ce besoin au bien-être de son prochain. Chaque besoin de l’homme est différent; certains se servent des autres sans dédomagement quel qu’il soit, ce qui revient à de l’esclavage dans notre société. D’autres ressentent un besoin sexuel qui les poussent à abuser d’un individu. De plus, l’homme 2