Explication De Texte
Explication de texte : « Pas de culture sans sacrifices » ; Sigmund FREUD Le texte que nous allons étudier est « Pas de culture sans sacrifices » de Sigmund FREUD. Le texte est séparé en trois parties ; la première étant la définition de la culture, qui est une valeur objective, la seconde est le disfonctionnement de la culture et enfin la question de comment améliorer notre vie en société. Nous allons commencer par la définition de la culture. Dans la première phrase, il s’agit pour Freud d’offrir une Swipe to nex: page analyse de la notion rôle dans l’existence mal or 3 que la culture est las le
Sni* to View et ensuite que l’on n veut arriver à s’enten re comprendre son pour commencer l’homme de ranimal ubjectivement si l’on seconde phrase, Freud s’exprime sur deux autres caracteristiques, la satisfaction des besoins et le fait de pouvoir vivre en communauté, avec les autres. Pour cela, il faut des connaissances, de l’habilité technique (i. e. du travail) et une organisation sociale ; où l’on nous donne une éducation comme l’école, l’église ou les institutions. Vivre ensemble doit être utile, enrichissant et intéressant pour l’homme. n des points important pour Freud est le partage. Dans la troisième phrase, on comprend que ces deux objectifs sont liés, donc l’un influence I l’autre. Il nous faut nous organiser pour que les deux se réalisent. En effet, si on partage mal les richesses, on ne peut pas vivre ensemble. Le premier objectif est notre intérêt, notre plaisir, le second est de nous utiliser les uns les autres, d’allier nos forces en respectant autrui et le dernier le rapport d’hostilité. Freud dit « chaque individu est ennemi de la culture en effet, on est tous ennemi car on ne pense qu’à satisfaire nos besoins.
La culture est comme l’homme, elle n’ est pas parfaite. Effectivement, le disfonctionnement de la culture est bien présent. Pour vivre ensemble, il faut faire des sacrifices, se faire violence à soi-même. Dans la cinquième phrase, Freud nous explique qu’il y a un rapport de force ; chacun à ses propres intérêts et chacun fait des sacrifices. Les lois et les prisons sont l? pour nous protéger des actions nuisibles. Il faut qu’un rapport de force prenne le dessus mais il faut qu’il dure et qu’il soit financé. Les intérêts peuvent aller aussi loin que la destruction des biens.
Dans la sixième phrase, on apprend qu’on peut tout détruire et ue la culture humaine est très fragile. Dans la phrase suivante, il nous dit que si la société humaine doit surmonter des tensions, on a l’impression qu’il s’agit uniquement d’avoir et de gérer le pouvoir. Mais comment peut-on améliorer notre vie en société ? Les dlfficultés ne viennent pas de la culture, elles viennent de l’homme. Effectivement, si l’on peut définir les défauts viennent pas de la culture, elles viennent de l’homme. Effectivement, si l’on peut définir les défauts de notre société alors on peut les corriger.
Dans la dernière phrase, Freud utilise n ton suspicieux ; il y a de la négativité parce que la société fonctionne mal et il est mitigé quand il dit qu’il y a eu des réussites dans le passé. Dans nos sociétes, nous avons assez de confort pour dire que la culture a fait des réussites. Le progrès technique suppose que l’on peut bien travailler et donc bien vivre ensemble. Nous pouvons conclure qu’au final, l’homme a largement les moyens de corriger et transformer la vie en société. Dans ce texte, Freud montre que la culture dans ces objectifs est la chose la plus universel et nécessaire pour l’existence humaine.
Cependant, on constate que la réalisation des objectifs est plus difficile qu’il n’apparait, au premier regard, on a l’impression que les cultures humaines ne peuvent pas remplir leurs objectifs. On constate aussi que les disfonctionnement peuvent nous amener à rejeter la culture. Toutefois, ces disfonctionnement sont dû à l’homme lui-même. Faut-il renoncer à la culture ? Enfin, quel que soit les disfonctionnements et les difficultés, l’homme est capable de corriger et transformer la mauvalse organisation de notre société et de lul faire jouer un rôle positif dans l’existence humaine.