elle s’appelait sarah
Une journaliste américaine, vivant à Paris dans les années 2000, Julia, prépare un article lié à la rafle du Vél’ d’Hiv’, et recherche les traces d’une petite fille juive déportée en 1942 lors de la rafle, Sarah. Alors qu’avec son mari et sa fille elle doit emménager dans un appartement du Marais, au 36 rue de Saintonge, Julia apprend que les grands-parents de son mari s’y sont installés fin-juillet 1942, et elle recherche qui habitait là auparavant. Elle se rend au mémorial de la Shoah et apprend qu’une famille vivait là, mais que si les parents ont été assassinés à Auschwitz,
S. v. p page leurs enfants Sarah e recherches vont l’am emmenée au camp d ex , a été recueillie par d l’emmènera à New Y ntionnés. Ses qui a été • le a pu s’enfuir et La quête de Julia ane. C’est l’adaptation du huitième roman de Tatiana de Rosnay, le premier qu’elle a écrit en anglaisl, dont la version originale (Sarah’s Key) s’est vendue à des centaines de milliers d’exemplaires en édition de poche aux États-Unis2. Les ventes totales dans le monde ont dépassé les deux millions d’exemplaires, a indiqué en décembre 2009 son éditeur français3,4.
Différences avec le roman[modifier I modifier le code] Dans to next page Dans le roman, Sarah meurt en 1972, respectant un jeu logique de temps de trente années entre les différentes intrigues du récit. Dans le film, il est dit que Sarah s’est suicidée en 1966, ce qui brise cette logique. Julia rencontre William Ransferd seule dans le film. Dans le roman, sa fille Zoé l’accompagne. De même, leur rencontre a lieu à Lucca dans le livre, et à Florence dans le film.
Il ne s’agit toutefois que d’un changement infime puisque ces deux villes se situent toutes les deux en Toscane. Dans le livre, quand les policiers emmènent Rachel, celle-ci est agonisante mais encore en vie. Dans le film, elle meurt avant d’être emmenée. Dans le roman, quand Sarah prend le train pour Pans avec Jules et Geneviève Dufaure, elle ruse pour échapper aux contrôles et entre seule dans le train. Dans le film, ils montent tous les trois en même temps. Les enfants du camp, dont Sarah, se font raser les cheveux par les policiers dans le livre, mais pas dans le film.
Dans le film, Julia écrit son article en 2006, expliquant qu’elle vait déjà couvert la commémoration de 2002, tandis que dans le roman l’article est écrit en 2002 et Julia n’avait Jamais entendu parler de la rafle du Vél’ d’Hiv . Tournage[modifier I modifier le code] Le tournage des scènes qui se déroulent au Vélodrome dhiver, en août 2009, a rassemblé 200 à 300 figurants en costume, selon Le Parisien9. Le Vél 2 d’hiver, en août 2009, a rassemblé 200 à 300 figurants en costume, selon Le Parisien9. Le Véli dlHiv’ a été reconstitué au vélodrome Jacques-Anquetil du bois de Vincennes.
Le camp de Beaune-la-Rolande a été reconstitué à Perdreauville (Yvelines). D’autres scènes devaient être tournées à Paris, et pour finir à New York 10. Le tournage s’est terminé fin 200911. Kristin Scott Thomas est pour ce tournage une des premières actrices assurées contre la grippe A12, assurance souscrite par la production auprès du courtier Hugo Rubin15, un des cinq grands spécialistes de l’assurance de tournage13. L’animateur et réalisateur Antoine de Maximy a tourné un making of du tournage14.
Tatiana de Rosnay, auteur du roman dont est tiré le film, fait n caméo : dans la scène où Julia annonce à son mari, dans un restaurant, qu’elle est enceinte, Tatiana de Rosnay se trouve à la table filmée derrière Kristin Scott Thomas. Un anachronisme est visible dans le film : la locomotive à vapeur que l’on aperçoit est une 141 R, un type de locomotives qui fut construit de 1945 à 1947 aux États-Unis, et envoyé en France pour pallier les difficultés de la reconstruction. Kristin Scott Thomas obtient, grâce à ce film, sa troisième nomination successive aux Césars, dans la catégorie Meilleure actrice pour les Césars 2011. 3