La lecture est-elle un moyen de s’évader ou de critiquer la société ?

essay A+

Thèse 1 : La lecture est un moyen de nous reconnaitre en un personnage, de ne faire qu’un avec lui. Ici le personnage du Docteur Simon nous touche car il est saisi d’un amour impossible pour Eléa. Cela est d’autant plus émouvant car il le sait et l’exprime à travers ses lettres présentes tout le long du roman. Je le savais. Je regardais tes lèvres. Je les ai vues trembler damour au passage de son nom.

Alors j’ai voulu te séparer de lui, tout de suite, brutalement, que tu saches que c’était fini, depuis le fond des temps, qu’il ne restait rien de lui, pas même un grain de oussière quelque part mille fois emporté par les marées et les Swipetaviewn htp g vents, plus rien de lui Thèse 2 : C’est absur un moyen pour Barja notamment a travers d us rien de rien… cteur Simon est ici é du Xxème siècle, singularité que nous avons pour employer certains mots qui en réalité définissent notre monde. Amour.

Ce mot, que la Traductrice utilise parce qu’elle ne trouve pas l’équival l’équivalent du vôtre, n’existe pas dans votre langue. Depuis que je t’ai vue vivre auprès de Paikan, j’ai compris que c’était un mot insuffisant. Nous disons « je l’aime », nous le disons de la femme, mais aussi du fruit que nous mangeons, de la cravate que nous avons choisie, et la femme le dit de son rouge à lèvres. Elle dit de son amant est à moi ». Tu dis le contraire suis à Paikan » et Paikan dit suis à Elea ». Tu es lui, tu es une partie de lui-même.

De plus, la traductrice, ici, est robotisée, et à chaque fois qu’Eléa prononce un mot qui semble avoir un sens fort elle n’arrive pas ? le traduire dans les langues universelles. thèse 1 :Je ne suis pas d’accord avec vous sur ce point. Par ailleurs, Les livres nous permettent de nous évader dans d’autres mondes avec leurs qualités et leurs défauts. par exemple, au début, l’économie de Gontawa semble parfaite, il n’y a ni pauvre ni riche et personne ne souffre de famine. Cependant la guerre ressort beaucoup dans ce roman car Barjavel -selon moi- ne cherche pas à établir une utopie. hèse 2 :L’auteur établit ici un parallèle entre Gontawa et Enisoraï et l’URSS et les éta 2 :L’auteur établit ici un parallèle entre Gontawa et EnisoraÎ et l’URSS et les états unis. Barjavel insiste bien sur le fait que leur monde fût détruit à cause de la guerre, et notons que cette œuvre à été écrite lors de la guerre froide • il y a des tentions palpables entre l’URSS et les E. U que Barjavel fait ressortir dans La Nuit des Temps. Thèse 1 : je ne partage pas vos opinions. De surcroît, Pour mol le livre est un moyen de rêver de ce que l’on ne pourra jamais avoir… ar exemple, Les objets que possède Eléa sont fantastiques et irréels mais il y a en nous une lueur d’espoir qu’ils existeront un jour. Son cercle d’or permet de retourner dans son passé, de revivre ses souvenirs de partager ses émotions.. mais dites moi qui n’en rêverai pas ? Seulement la conception de cette machine est impossible car elle est surnaturelle. Thèse 2 : Vous parlez de ces objets inexistants avec envie mais la critique élaborée par Barjavel sur les objets que l’être humain à déjà créé ne semble pas vous perturbé plus que cela.

Je m’explique : en effet, nous suivons pendant tout le livre la famille Vignont, qui en même temps que le reste du monde apprend les suivons pendant tout le livre la famille Vignont, qui en même temps que le reste du monde apprend les nouvelles concernant l’affaire des deux corps retrouvés en Antarctique. Informée grâce à la télévision, elle transforme tous les renseignements apportés, comme si cet objet les rendait encore plus Ignares qu’avant. Par exemple lorsqu’un journaliste interview des passants sur les Champs-Élysées : « vous savez où c’est le pôle Sud ? vous aimeriez y aller ? ? «Ben non, il y fait bien trop froid » la mère Vignont commenta : «Ce qu’ils sont bêtes de poser des questions pareilles ! Sans compter qu’il doit pas y faire chaud.. » Enfin, pour moi, La Nuit des Temps est un reflet de la société dans laquelle nous vivons. Les Gonda possèdent une clé qui leur permettent tout : de se nourrir, d’avoir des biens, une identité. Les «sans-clé» sont résignés à vivre dans la pauvrete, reculés, écartés de toute vie sociale. Cela n’est pas sans faire penser aux sans-papier de notre monde qui comme eux n’ont aucun bien et sont condamnés à vivre au dépend des autres. 4