Ecriture d’invention UTOPIE
A votre tour, dans un texte de fiction, présentez un univers utopique en vous appuyant sur les caractéristiques du genre, et à travers lequel vous ferez implicitement la critique de notre monde. Je ne savais pas comment j’étais arrivé là mais ce que je savais, c’est que j’y étais. J’étais en train de marcher dans la foret et suis tombée dans un trou et me voilà ici ! Je me trouvais en plein milieu d’une grande avenue bordée d’arbres. Le sol était fait d’une matière extrêmement lisse que je ne réussissais pas à reconnaître.
Des véhicules aux formes ?tranges, planaient ? avec sûreté sur cette déplaçaient égaleme sur larges que la voie pri de moyens de transp OF4 I, et se croisaient rsonnes se mons aussl ent toutes sortes doublés par des cyclistes, qui eux croisaient des cavaliers, d’autres utilisaient des machines qui leur permettaient de planer à quelques centimètres du sol . C’était un spectacle étonnant de voir tout ce monde s’entrecroiser sans jamais se heurter. J’interpellais fun de ces passants pour lui demander où je me trouvais.
L’homme, voyant mon étonnement et devinant mon ignorance, me demanda de ma ShAipe to Wew next page marcher avec lui. Puis commença à m’expliquer le fonctionnement de cette ville. En ce monde faut bien l’appeler ainsi parce que ce n’était pas le mien, personne n’était obligé de travailler pour vivre. Des machines remplissaient toutes les tâches embarrassantes. Les métiers qui ne pouvaient pas être exercés par des machines étaient occupés à tour de rôle par toute la population.
Le système était tellement efficace qu’un individu n’avait pas à travailler plus d’un an au cours de sa vie et que personne ne refusait de rendre e service, bien qu’il ne soit pas obligatoire. ‘argent n’existait pas dans cette société. Les industries tournaient à plein régime pour produire ce que tout le monde avait besoin et chacun se servait selon sa nécessité. Il n’y avait aucun abus, vol ou autre escroquerie car tout le monde avait accès au nécessaire autant qu’au superflu.
Il n’y avait d’ailleurs pas de police ni de lois écrites mais une éducation suffisante qui inculquait aux enfants le respect de l’autre. Cette éducation était en grande partie assurée par les parents qui, n’ayant pas ? travailler, pouvaient apprendre la vie à leurs enfants. L’école n’existait donc pas et l’éducation était individuelle Tout en marchant, nous croisâmes un groupe d’enfants qui jouaient dans un jardin. Mon guide me fit remarquer, quand 2 nous croisâmes un groupe d’enfants qui Jouaient dans un jardin.
Mon guide me fit remarquer, quand je lui demandais comment ces enfants s’étaient connus sans école, que les nombreux parcs, les nombreuses activités ludiques ou sportives de cette société, permettaient aussi facilement d’avoir des amis. Notre discussion e poursuivit, mon étonnement l’amusait et il semblait heureux de me présenter sa ville. Pour ma part, j’étais curieuse d’en savoir plus sur une société si parfaite. Nous en vînmes à parler de politique. Fonctionnaient-ils sous une démocratie?
Les décisions importantes n’étaient pas prises à la majorité, contrairement à ce que je pensais. On ne prenait les décisions qu’à Funanimité : on raisonnait, on discutait, on exposait, on argumentait jusqu’à ce que l’ensemble de la population soit convaincu. Toutes les décisions étaient ainsi prises. Ce système olitique aurait pu être désastreux mais il n’en était rien car personne ne cultivait la mauvaise foi, n’ayant aucun intérêt au privilège qui n’existait pas, et chacun, par son éducation, était ouvert au débat et capable de reconnaître ses torts.
Lorsque deux personnes débattaient d’une idée, elles n’essayaient pas de rassembler la majorité en dénigrant les idées adverses mais elles cherchaient réellement à convaincre fautre plutôt qu’à le battre. L’homme c 3 adverses mais elles cherchaient réellement à convaincre l’autre plutôt qu’à le battre. L’homme continua à me parler ainsi pendant plusieurs heures, tant il y avait à dire sur cette ville. II m’expliqua que la technologie automatisée permettait à chacun d’avoir des maisons confortables, des transports sûrs, rapides et qui ne polluaient pas, des loisirs vastes .
C’est pourquoi cette société était si cultivée, si philosophe, si humaine. Il me montra comment la technique et la recherche, non pas du profit mais du bien public, avaient permis d’éradiquer quasiment toutes les maladies. Il me démontra comment les gens, grâce à leur énorme temps libre, ouvraient eurs esprit en se consacrant aux sports et aux arts : il me fit découvrir les surprenantes beautés de sa VIIIe.
Alors que nous discutions encore et encore, et que je Pécoutais Je me tournais vers mon nouvel ami, mais il n’était plus là, lui non plus. Je me retrouvais en plein milieu d’une grande avenue bordée de poubelles. Cette fois, le sol n’était qu’en goudron sale et puant. Une voiture, sortant de nulle part, manqua de m’écraser : je m’écartais sous une cascade d’insultes. Je n’eus pas besoin de demander à quiconque où j’étais. Cette fois, je le savais très bien ! 4