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BADAMI AURORE PREMIERE BAC PRO VENTE DOSSIER D’ART APPLIQUES « L’habit de lumière » Les caractéristiques du style au XVIIIe Siècle Design d’objet OF p g Année scolaire 2013- Brise-Lames Sommaire Le thème : L’habit de lumière Historique et situation Talents de la tauromachie Caractéristique du style Iconographie e professionnel Page 1 à 2 Page 4 à 8 Page 9 page 10 à 14 Page à 16 Présentation d’un objet emblématique Page 17 à 19 Vocabulaire ressource Page 20 corrida espagnole d’après les études de la plupart des historiens contemporains. ? Le culte du taureau a existé dans les civilisations éditerranéennes et bien au-delà, sous des formes particulières à chacune de ces cultures. Il y eut parfois influences dans les pratiques, mais héritage, non. La corrida est d’autant plus espagnole qu’elle est l’œuvre lente d’un peuple et de ses gouvernants. ? L’origine romaine de la tauromachie est réfutée dès le XVIIIe siècle par un des premiers chroniqueurs Nicolés Fernandez de Moratin dans : Lettre historique sur l’origine et les progrès des fêtes tauromachiques en Espagne écrite à la demande du prince Pignatelli (1777). Après lui, d’autres historiens réfuteront ‘hypothèse de l’origine antique « Aucune trace, aucun document n’établit que l’Espagne ait hérité d’aucun peuple son spectacle national. et surtout de l’origine romaine: « l’apport des jeux romains aux courses espagnoles est vain. ? Grotte d’Altamira : aurochs, sangliers, du Prado del navaro cervidés, bison Du XIIe au XVe Grotte d’Albarracin : Abri La corrida moderne doit ses fondements aux jeux taurins organisés pour divertir la noblesse espagnole au Moyen Âge. Les nobles organisaient entre eux des chasses aux taureaux et des joutes équestres pendant lesquelles ils attaquaient le taureau ? ‘aide d’une lance. Il existe peu de chroniques fiables sur cette période mal connue de l’histoire de la corrida.

La bravoure du Cid Campeador face au taureau est célébrée non seulement par Paquiro dans la Tauromaquia completa et dans son « discours historico-apolo éti ue des fêtes taurines », mais aussi par d’autres chroniq que qui s’en font l’éc 20F 13 historico-apologétique des fêtes taurines », mais aussi par d’autres chroniqueurs de l’époque qui sien font l’écho et dont Paquiro affirme : « Tous conviennent que le célèbre chevalier Rodrigo Draz de Vivar, dit Le Cid Campeador fut le premier à avoir ombattu les taureaux à coup de lance du haut de son cheval. ? El Cid Campeador combattant un taureau à la Mort de l’alcade de Torrejôn, lance, gravure no 11 de La Tauromaqula de Goya. Madrid (1815). Gravure no 21 de La Tauromaquia de Goya. Plus tard, Charles Quint sera grand amateur de ce spectacle lorsqu’il se présente sous forme de joutes équestres, c’est-à-dire des « jeux de toros » avec une codification précise dont Ihabileté des cavaliers sera consignée dans de nombreux traités dès le XVIe siècle par des ecclésiastiques. On suppose que les Maures furent les premiers à utiliser des apes pour détourner le taureau, durant les attaques à la lance.

Les espagnols leur attribuent d’ailleurs une grande partie des origines de la corrida et reconnaissent leur avoir beaucoup emprunté. À côté des spectacles « nobles » des cavaliers, les divertissements populaires les plus courants en tauromachie étaient les capeas, fort dangereuses, nées spontanément des deux côtés des Pyrénées. Elles étaient l’ancêtre du toreo à pied. Elles se déroulaient sur les places de villages, où les arènes, délimitées par des barrières en bois, étaient censées protéger le public.

Les aureaux de combat que de petits éleveurs y produisaient étaient sans caste et avait parfois déjà été toréés, ce qui les rendait encore plus 30F 13 caste et avait parfois déjà été toréés, ce qui les rendait encore plus dangereux. On toréait parfois plusieurs bêtes en même temps. Il y avait de nombreux morts. La première à s’alarmer du danger que couraient les hommes dans de pareils jeux, aussi bien à cheval qu’à pied, fut la reine Isabelle la Catholique qui interdit les capeas de village ainsi que tout autre forme de course dans le but de protéger les êtres humains souvent tués.

Puis, elle les autorisa de nouveau lorsque les cornes des taureaux furent emboulées. Mais la plupart des rois catholiques se révélèrent impuissants à interdire ces jeux. L’interdiction fut assez rapidement contournée pendant des siècles et jusqu’en 1908 où on promulgua en Espagne une nouvelle loi dinterdiction des capeas, interdiction non suivie d’effet qui fut renouvelée par une loi en 1 931, puis par le règlement officiel espagnol en 1962. Mais dans les faits, il faut attendre les années 1970 pour que cette interdiction des capeas prenne effet.

Corrida-Capea de village par Eugenio Lucas Velézquez, 1860. XVIe et XVIIes Les cavaliers pratiquent un combat à l’aide de lances, (ancêtre de la corrida de rején et de la corrida portugaise), et dès le début du XVIe siècle, la tauromachie à cheval de la noblesse commence à se codifier. Les traités de tauromachie équestre abondent ? partir du XVIe siècle: Libro de la monteria de Gonzalo Angel de Molina (1582), Libro de la gineta de Espaha de Pedro Fernéndez de Andrade (1 599), Libro de ejercicios de la gineta de Bernardo de Vargas Machuca (1600).

Au XVIIe siècle ces jeux réservés ? la noblesse connaissent un grand essor, et les publications de raités continuent avec notamment (en 1643), la pub 4 3 connaissent un grand essor, et les publications de traités continuent avec notamment (en 1643), la publication du Traité d’équitation et diverses règles pour toréer (Ejercicios de la Gineta) d’un ecclésiastique Don Gregorio de Tapia y Salcedo. Dans le même temps la pratique du toreo à pied devient spectacle autonome selon les archives municipales de Séville. ? Les premiers et les plus anciens toreros à pied dont on ait des données documentaires proviennent dans leur immense majorité de l’abattoir sévillan. Ce sont les travailleurs du macelo (boucher)». Cest ainsi que naît la tauromachie à pied, ses techniques et ses figures. Au XVIe siècle on « courait » déj? le taureau dans les abattoirs et le public pouvait assister ? ces manifestations au grand dam des autorités qui tenaient ? interdire ces jeux taurins quotidiens. Le pape Pie V sien était déj? chargé rédigeant une bulle 1 566, « De salute gregis dominici b.

Malheureusement le pontife n’a pu la publier parce qu’elle aurait fait scandale, le roi Philippe II d’Espagne, ayant envoyé un ambassadeur au Vatican pour négocier. Le roi faisait valoir que menacer d’excommunication les fidèles qui se rendraient ux corridas revenait à excommunier presque toute la nation espagnole. D’autre papes se chargeront modifier le texte de Pie V. Grégoire XIII en supprime une partie, Sixte V rajoute des interdits, et Clément VIII modifie le texte en 1 596, en sorte qu’il n’interdit plus grand chose.

Philippe Il d’Espagne par Sofonisba Anguissola. Le peuple de matadors à pied, ceux qui courent les taureaux dans eries ou qui pratiquent les capeas, va bientôt intéresser les bouch la noblesse à cheval. Elle comme 3 qui pratiquent les capeas, va bientôt intéresser la noblesse ? cheval. Elle commence commence à utiliser ses valets pour istraire le taureau lorsque les cavaliers changent de cheval (fatigué ou blessé), ou pour les secourir en cas de chute. ? L’évolution provoqua aussi la multiplication de peéns, vêtus de livrées très étudiées lorsqu’ils étaient au service des grands seigneurs, et l’on assista à l’avènement d’une sorte de parade ostentatoire Y. Selon Jacques Carel de Sainte-Garde, il y aurait eu une corrida royale en 1665 à Madrid où certains seigneurs seraient apparus en Plaza avec une suite de cent laquais chacun. Mais ce sont les acteurs de combats athlétiques avec le taureau qui se pratiquent au nord de l’Espagne, et de l’autre ôté des Pyrénées, qui vont bientôt Jouer un rôle important.

Le Varilarguero fait son apparition. Dès lors, la course de taureaux, d’aristocratique qu’elle est, devient aussi populaire. Le principal acteur reste encore le cavalier, mais c’est désormais un varilarguero (« porteur de longue lance par opposition aux nobles dont la lance était en fait une sorte de javelot). Au lieu de poursuivre le taureau, ou de se faire poursuivre par celui-ci, il rattend de pied ferme pour l’arrêter avec sa lance, comme le font les picadors actuels.

Après le varilarguero, les piétons se livrent aux mêmes jeux que du emps de la « corrida aristocratique. » Lors de l’apparition du varilarguero, ancêtre du picador actuel, ces « piétons » auront également pour rôle d’éloigner le taureau du cheval et se serviront pour ce faire de capes ou de manteaux, ancêtres de la capote. XVIIIe siècle Si la noblesse abandonne l’arène en Espagne, au Portugal, il n’en n’est pas 6 3 capote. Si la noblesse abandonne l’arène en Espagne, au Portugal, il n’en n’est pas de même : la course « aristocratique » continue d’exister.

Toutefois, après la mort du comte d’Arcos en 1 762, lors d’une course de taureaux, la mise à mort du taureau cesse ‘être pratiquée. Cette forme de tauromachie existe encore de nos jours. Elle porte le nom de Corrida portugaise. Cest à cette époque-là que la tauromachie portugaise prend ses distances avec la tauromachie espagnole. Dans les premières années du XVIIIe siècle, le 15 août 1752 à Ronda, Francisco Romero, à la fin d’une course, demande l’autorisation de tuer lui-même le taureau.

Après l’avoir fait charger deux ou trois fois un leurre fait de toile, Francisco Romero estoque le taureau à l’aide de son épée à recibir. Par la suite, il recommence dans d’autres arènes et devient un véritable rofessionnel. Francisco Romero est généralement considéré comme « l’inventeur » de la corrida moderne. Il semble que cette mise à mort du taureau par estocade ait été pratiquée bien avant lui, notamment par des employés des abattoirs sévillans, qui auraient transformé leur métier de tueurs de taureaux en le mettant en scène pour un public toujours plus nombreux.

En tous cas, si Francisco Romero n’est pas « l’inventeur » de la corrida moderne, il est un des premiers matadors à avoir perfectionné cet art. Une expression courante veut qu’au XVIIIe siècle « le peuple nvahit l’arène » ainsi qu’on le voit sur les représentations peintes des capeas, des corridas, et plus particulièrement dans une des planches des Taureaux de Bordeaux de Goya. Les matadors (en majorité à pied) se plaignent d’être débordés par une foule pe resp Goya.

Les matadors (en majorité à pied) se plaignent d’être débordés par une foule peu respectueuse et la plupart des chroniques font état d’une foule anarchique, sanguinaire, d’une « racaille » qui essaie de berner l’alguazil afin d’aller jouer du couteau sur le taureau. Les cavaliers professionnels, désorientés e semblent pouvoir se débarrasser de « ces pauvres honteux. » Francisco de Goya reconnaît lui-même avoir fait partie de ces voyous à son époque de « sacripant ».

Le divertissement espagnols planche extraite des Taureaux de Bordeaux par Goya 1824-1825 À la suite de Francisco Romero, beaucoup de ses compatriotes se font aussi matadores de toros, notamment son petit-fils Pedro Romero, « Costillares » et « Pepe Hilla Ce dernier sera, en 1796, l’auteur de « La tauromaquia, o el arte de torear de pie y a caballo » La tauromachie, ou l’art de toréer à pied et à cheval premier traité de tauromachie. ?? Costillares » XIXe siècle e début du XIXe siècle connaît une période morose en Espagne avec une pénurie de talents après la mort de Pepe Hillo et celle de Costillares. Mais aussi à cause de la Real Cedula (décret royal) édicté par Charles IV qui interdit les fêtes de taureaux. Il y a toutefois quelques dérogations pour les spectacles destinés aux œuvres de charité, et surtout, de 1808 à 1813, le pays étant gouverné par le frère de Bonaparte qui appréciait la corrida, la loi devient impuissante à interdire les courses.

Cette période est celle des toreros aux allures provocatrices que ‘on a nommés toreros « des bas-fonds » buveurs, bagarreurs, voyous, se livrant à toutes les excentricités en dehors de l’arène. Parmi les toreros convenable B3 se livrant à toutes les excentricités en dehors de l’arène. Parmi les toreros convenables, il y aura quelques grandes figures Rigores, El Sombrerero, Rafael Pérez de Guzmân qui tiendront le devant de la scène jusqu’à l’arrivée de Francisco Montes Reina « Paquiro » que Prosper Mérimée surnomme le « Napoléon » de la tauromachie » et qui impose sa conception de la corrida.

Paquiro Tout au long de cette période, les courses de taureaux telles u’elles se pratiquent en Espagne, prennent leur essor dans certaines colonies d’Amérique latine, et surtout au Mexique, où elles ont été implantées dès le XVIe siècle. La première course de taureaux à Mexico, ordonnée par Hernan Cortés a eu lieu le 13 août 1 529, jour de la Saint-Hippolyte et anniversaire de la reddition de Tenochtitlén (nom aztèque de Mexico) avec des taureaux importés d’Espagne.

De nos jours, elles se pratiquent au Mexique, au Pérou, en Colombie, au Venezuela, en Équateur, en Bolivie, au Panama, au Costa Rica. En Argentine elles ont fait ‘objet de lois d’interdictions à partir de 1822, qui n’ont pris effet qu’en 1954, de même au Chili de 1823 à 1874, en Uruguay depuis 1890, à Cuba depuis 1900, et au Brésil depuis 1924. Des courses de taureaux existent également en France, en Aquitaine, ainsi qu’en Provence et en Languedoc aux alentours de la Camargue.

Toutefois, la « corrida formelle » n’existe pas, on pratique seulement des jeux qui ne se terminent pas systématiquement par la mise à mort du taureau. Quelques photos des « Talents » de la tauromachie.. Juan Belmonte XXe Siècle Rafael Gonzales Machaquito XXe Siècle Juanita Cruz XXe Siècle Gonzales Machaqulto XXe Siècle Sébastien XXIe Siècle L’architecture au XVIIIe Siècle . Juan Bautista XXIe Siècle Le palais du Belvédère est un grand palais baroque construit au XVIIIe siècle.

Son nom lui vient de la structure de son parc qui comprend une partie surélevée. La propriété Kouskovo, Moscou Symbole de classicisme en Russie e design d’objet : COMMODE MAZARINE DEPOQUE REGENCE PAR THOMAS HACHE (1664-1747) Assiette en faïence de Rouen, vers 1725 La mode au XVIIIe : Homme Costume d’homme d’époque Bottines d’homme La mode au XVIIIe Siècle : Femme Costume femme Soutien-gorge d’époque Coiffures Chaussures femmes 0 3