Disserte Philo
Nous avons souvent que l’on veux, de ne cesse confrontés à d travailler pour gagne Disserte Philo Premium gy GaélIe-Tétard anpeng II, 2015 3 pages « gtre libre, est-ce faire ce que je veux ? » Nelson Mandela, un homme qui a été longtemps emprisonné, et qui a continué coûte que coûte à se battre pour la liberté, a dit « être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser des ses chaînes , c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres » On a spontanément envie de répondre à la question « qu’est-ce qu’être libre ? ? par « faire ce que je veux c’est à dire de céder ? nos envies. Or, il nous semble impossible d’être libre selon ce raisonnement. Être libre, est-ce vraiment faire ce que l’on veux ? Sni* to vieu Swipe to page org ouvoir faire ce ous sommes sans cessités. Celles de ux, de s’intégrer, Nous ressentons ces contraintes comme des atteintes à notre liberté. Les normes et lois instaurées nous obligent d’agir dans un certain cadre.
On peut distinguer plusieurs contraintes : physique, même si je veux voler, ma condition humaine me l’interdit, sociale ; Si je veux manquer de respect à quelqu’un, mon action sera réprouvée, et nfin morale ; je veux être libre, mais ces contraintes me font perdre mon sentiment d’être libre. Ces contraintes qui nous sont imposées s’opposent donc à notre liberté d’agir. Ne possédant pas une liberté absolue, nous ne sommes pas libre de de faire ce que l’on veut. La liberté totale n’est qu’une illusion.
Nous voyons souvent la Liberté avec un grand L comme un idéal, un absolu dans lequel tout est permis. Ainsi, puisqu’il n’y a pas d’interdit, nous pourrions faire absolument ce que nous voulons. Or en pratique, personne ne possède cette liberté totale : un prisonnier, même ‘il est enfermé, peut se sentir libre. Un homme libre, de part les contraintes sociales qui pèsent sur lui, peut ne pas se sentir libre alors même que, socialement et physiquement, il n’est pas entravé.
Mais ces contraintes, même s’il elles sont ressenties comme hostiles à notre liberté, nous apportent une structure, qui, même si elle est rigide (loi, normes sociales), nous permettent de nous développer et même nous procurent un espace de liberté. Certes, la loi m’interdit d’agresser quelqu’un : mais grâce à cette loi je peux me promener librement sans crainte de me faire agresser.
Les normes sociales me prédestinent à passer mon bac, même si je ressens cette obligation comme pénible; mais l’éducation dispensée dans cet objectif me permet d’acquérir une culture qui pourra m’élever vers une liberté plus complète. Victor Hugo disait même « La liberté commence là où l’ignorance finit La thèse du déterminisme, énoncée par Spinoza, présume que nos volontés sont les résultats de notre parcours et de nos expériences passées. « Les hommes se croient libres pour la seule raison qu’ils sont conscients de leurs actions, et ignorants des causes par quoi elles sont dét