PHILO T

essay A+

Philosophie ; devoir maison Nous allons voir dans un premier temps la notion de liberté et dans un second temps la notion de faire ce que l’on veut. A partir de ces ébauches, nous allons répondre de façon ordonnée à une question intéressante « Etre libre est-ce faire ce que l’on veut ? » Rappelons ce que sig autonome dans la vi inconnue qui nous p manière. Nous pouv or 5 i,c’e façon d’être ne force extérieur telle ou telle au libre arbitre.

On dispose donc d’une volont . D’apr s Kant puisque nous avons un corps nous avons des besoins qu’on cherche à satisfaire nous ommes donc guidé par la recherche de son intérêt. En outre ce grand philosophe dit, qu’être libre c’est agir pour devoir et non plus réagir en fonction de son intérêt personnel. Nous sommes libres quand notre volonté se soumet à nos désirs.

De plus, celui ou celle qui ne peut pas disposer librement de sa vie privée n’est donc pas libre, prenons un exemple concret, dans certains pays du monde, ce sont les parents qui choisissent le futur époux de leur fille. L’homme véritablement libre est celui qui pénètre ses désirs d’intelligence, qui se connaît lui-même Socrate), qui est maitre de sa volonté (Descartes), qui s’est délivré de l’égoiÈme, de l’aveuglement, de la violence et de la peur, qui ch cherche à réaliser son désir fondamental.

Si la liberté, c’est pouvoir faire tout ce dont j’ai envie, alors je ne suis libre que quand je peux faire tout ce que je peux faire, et c’est pourquoi l’obéissance à autre chose qu’à notre propre volonté nous apparaît toujours comme un obstacle : l’essence des lois et des règles, c’est justement de m’interdire de faire ce que j’ai pourtant la possibilité de faire. « Je fais ce que je veux ! ? Oui certes, mais est-ce moi, qui veux ce que je veux ?

Suis-je libre, autrement dit, de décider de mes envies, de mes appétits, de mes désirs ? Est-ce moi qui les choisis, ou devrait-ont plutôt dire qu’ils s’imposent à moi au point parfois de me mener là où je ne voudrais pas aller, et même là où je n’irais pas si ma volonté était moins affaiblie, si j’étais davantage maître de moi-même ? Être libre, c’est faire ce que l’on veut dans les limites imposées par les lois et la raison. une volonté libre n’est pas une volonté qui s’affranchirait de toute barrière.

Une volonté est libre lorsque qu’elle est autonome, c’est-à-dire lorsque qu’elle obéit aux lois qu’elle s’est elle-même prescrite par le biais de la raison, et non lorsqu’elle reste l’esclave des désirs, c’est-à-dire des passions. L’expérience la plus quotidienne nous Indique que l’homme est toujours soumis à des contraintes externes (physiques ou sociales) et internes (instincts, habitudes, passions). Nous sommes fait pour faire des choix et chaque choix est u internes (instincts, habitudes, passions).

Nous sommes fait pour faire des choix et chaque choix est une iberté tant que nous ignorerons quelle sont absolument les mellleures nous auront des choix. Tout le monde semble perdu dans la différence qu’il y a entre faire ce que l’on veut et faire comme tout le monde. Les deux ne sont pas opposés, elles n’ont aucun rapport. On peut copier les autres sans réfléchir, ne pas copier les autres sans réfléchir, faire ce qu’on veut, en faisant comme les autres, faire ce qu’on veut, en faisant différemment des autres. Ce qu’il faut c’est être sincère et original mais pas nécessairement différent. ?tre libre dépendrait donc de la liberté des autres. En effet, notre liberté dépend de notre société. La déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen, écrite en 1789, exprime le fait que notre liberté s’arrête où commence celle des autres, il est interdit de commettre un acte qui serait nuisible à autrui. C’est ce que les autorités de notre société se chargent de faire respecter, par le biais de l’application de lois. II parait donc évident que les lois définies par l’État limitent notre liberté pour préserver celle des autres. La liberté peut également dépendre de notre connaissance. ?? l’inverse, ne serait-il pas absurde d’affirmer libre celui qul n’obtiendrait jamais ce qu’il désire, quoi qu’il désire par ailleurs ? Or, il arrive parfois que ce qui nous plait spontanément ne coïncide pas avec ce ailleurs ? Or, il arrive parfois que ce qui nous plait spontanément ne coincide pas avec ce qui est bon pour nous. Etre libre nécessite donc une maitrise de soi, de ses désirs. Etre libre Slgniflerait alors obéir a sa raison et non obéir à ses désirs. A bon entendeur il est toujours mieux d’agir de manière réfléchis et décent plutôt que d’agir maladroitement.

Nous ne disposons alors pas d’une véritable liberté mais de puissances ponctuelles et éphémères. En règle général on agit pour nous, mais quand chacun fait ce qu’il lui semble convenable et bien, nous faisons se qui déplait à d’autres. La liberté ne doit pas être soumise par autrui. Faire ce qui nous plait c’est agir en fonction de son plaisir, mais le plaisir n’est qu’une satisfaction des désirs. Somme nous réellement libre quand on cherche à combler nos désirs ? Disons que, le désir est une prédisposition vers un objet que l’on onsidère comme source de satisfaction.

Par exemple, nous ne choisissons pas de tomber amoureux. C’est bien plutôt le plaisir amoureux qui nous attrape, nous étreint sans que nous puissions nous en défaire. Céder à ses désirs c’est donc finalement obéir à une tendance que nous n’avons pas choisie. Toutefois la liberté suppose le choix. Admettons que ‘homme étalt immortel, si jamals nous ne devions mourir ? Pouvoir saisir ce que c’est qu’être libre aurait alors, encore une quelconque importance? Faut-il en déduire que, être libre, ou s’éprouver comme tel, c’es PAGF