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Absentéisme : « Comportement volontaire et répétitif qui met en cause le fonctionnement normal de la classe, c’est un phénomène généralisé qui accompagne la démocratisation. On repère une tendance plus marquée dans les filières de relégation et dans les ZEP. » Toulemonde 3. (1998) Cabsentéisme des lycéens. Hachette « fait d’être fréquemment absent d’un lieu, notamment du lieu de travail, de ne pas participer à une activité, 2001 Acquérlr : « Devenir propriétair succession. r 151 Sni* to View » Le petit Larousse achat échange ou Arriver à avoir, obtenir grâce à un effort, à l’expérience, au temps. » Petit Larousse 2002. Activité : « Ce que met en jeu le sujet pour satisfaire aux exigences de la tâche » FAMOSE (1990) in DELIGNIERES D et DURET P (1999) Lexique thématique en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives, Lonrai : Sport + Enseignement « La tâche indique ce qui est à faire, l’activité ce qui se fait.

La notion de tâche véhicule avec elle l’idée de prescription, sinon déterminée » PARLEBAS P„ Lexique commenté en science de l’action motrice, Paris: INSEP Activité Physique : « Tout mouvement corporel produit par la contraction des muscles squelettiques et dont le résultat est une augmentation ubstantielle de la dépense d’énergie par rapport à la dépense de repos » BOUCHARD (1993) in MANIDI M. ] et DAFFLON-ARVANITOU l. 2000), Activité physique et santé, Paris : Masson « Ce terme s’est défini dans un « sens général en se référant ? l’ensemble du spectre des mouvements du corps que chaque personne accomplit dans sa vie quotidienne, ordonnés depuis les conditions de vie les plus normales, en passant par les activités physiques modérées intentionnelles, les exercices physiques structurés et répétitifs, Pexercice physique, les cours de condition physique et d’entrainement, jusqu’aux activités sportives ollectives, plus particulièrement les sports récréatifs et de loisirs. ? OMS (1997) in MANIDI M-J et DAFFLON-ARVANITOU I. (2000), Activité physique et santé, paris : Masson « elle est l’interaction entre l’individu et sa motricité. Elle peut être exercée à titre utilitaire et professionnel (ex : manutentionnaire, déménageur) mais également dans le cadre privé des loisirs (ex : baignade, sortie en vélo), les motivations sous-tendues pouvant être : le besoin d’affiliation, la forme physique, la recherche du vertige, la conquête d’une esthétique, la recherche d’une ascèse ans l’effort, un éventuel effet cathartique (défoulement). ? Paddick in FERRE J, PHILIPPE B, LEROUX p et SAROU B (1998), Dictionnaire des APS, Paris :Amphora pleine nature ou le reproduisant » Dossier d’accompagnement collège 1997. On peut dire que pratiquer des APPN scolalres c’est devoir réaliser un déplacement finalisé nécessitant un projet personnel dans un milieu plus ou moins complexe, varié et variable. Il faut prendre en compte l’incertitude, l’énergie, les risques et dangers, lire un milieu spécifique et décider un déplacement, le conduire, s’engager et être autonome.

Activité Physique et Sportive : « Les activités physiques et sportlves sont à la fois objets et moyens de l’éducation physique et sportive, toutefois celle- ci ne se confond pas avec les activités qu’elle enseigne. Les activités sportives, les activités physiques non institutionnalisées et les jeux traditionnels sont l’occasion pour chacun de viser le plus haut niveau d’habileté possible et d’enrichir ses capacités nécessaires aux conduites matrices et à leur développement. ? HEBRARD A. (1986), L’éducation physique et sportive, Paris : Revue EPS « es activités physiques et sportives sont un élément ondamental de l’éducation, de la culture et de la vie sociale. » « Elles constituent un facteur important d’équilibre, de santé et d’épanouissement. » « CEPS, discipline d’enseignement est responsable de la pratique et de l’apprentissage d’APS des éleves. » HEBRARD A. (1986), EPS, réflexions et perspectives. ? Ensemble des situations motrices dans lesquelles un sujet cherche à réaliser une (des) habilité(s) requérant l’expression de processus mécaniques, énergétiques et coordinatifs. » DICTIONNAIRE DES APS « Terme générique amalg ble des situations énergétiques et coordonnatifs. FERRE J, PHILIPPE B, LEROUX P et SAROU B (1998), Dictionnaire des APS, Paris : Amphora Activité sportive • « Ensemble des situations motrices d’affrontement codifié dont les formes compétitives sont institutionnalisées.

Elle fait apparaître trois dimensions fondamentales : une situation motrice, un affrontement codifié et une compétition institutionnalisée. » Adaptation : « Résultante de l’équilibre entre l’accommodation, par laquelle le sujet se transforme afin d’ajuster sa conduite aux caractéristiques nouvelles d’une situation (ex : Vimitation), et l’assimilation qui eprésente au contraire une modification imposée par le sujet au monde extérieur afin de radapter à ses propres structures. » PIAGET, in THILL E. THOMAS R. (2000), L’éducateur sportif, Paris : Vigot « Ensemble des modifications par lesquelles les être vivants se mettent en harmonie avec leur environnement pour trouver un équilibre interne. » Adresse : « Faculté d’exécuter, avec la plus grande efficacité possible, un mouvement intentionnel pour résoudre une tâche concrète. » PRADET (1989), in DELIGNIERES D. et DURET p. (1999), Lexique thématique en sciences et techniques des activités physique et portive, Paris : Vigot rite initiatique.

J, PHILIPPE B, LEROUX P et SAROU B (1 998), Dictionnaire des APS, Paris : Amphora « L’adolescence est une période difficile au cours de laquelle les organes sexuels de l’enfant vont commencer à fonctionner, entraînant des modifications physiques et psychologiques, qui peuvent être source de perturbation. » HOUDRET J-C (2002), Bien se soigner, Paris : Solar « âge qui suit la puberté et précède l’âge adulte. » Le Robert (1996) Aérobic : Gymnastique qui modèle le corps et oxygène les tissus par des mouvements rapides effectués en musique. PETIT ROBERT.

Aérobie : « Voie (ou filière) énergétique dans laquelle la dégradation des carburants (glucides, lipides) nécessaires à la resynthèse de l’ATP se déroule en présence d’02, transporté par le système cardio-vasculaire jusqu’aux muscles en activité. Dans le « moteur musculaire », la fourniture énergétique par cette voie n’est pas immédiate (délai de latence de quelques minutes) et sa puissance est limitée par le volume d’oxygène utilisé (V02max). Elle produit des déchets : eau + gaz carbonique (C02). La voie aérobic permet les efforts d’endurance (durée moyenne à longue, intensité forte ? modérée). ? J. FERRE, B. PHILIPPE, P. LEROUX. B. SANOLJ, Dictionnaire des APS, Paris : Amphora Affectivité : « Ensemble des affects, émotions et sentiments éprouvés par l’individu dans des situati ectivité renvoie ? comme l’ensemble des affects (états affectifs élémentaires de tonalités diverses), émotion et sentiments éprouvées par l’individu des situations variées, l’affectivité renvoie donc ? l’impact et au retentissement émotionnel provoqué chez le sujet par les relations qu’il entretient avec lui-même, autrui et le milieu. THOMAS R. , MISSOUM G. , RIVOLIER J. 1987), La psychologie du port de haut niveau, Paris : PIJF Agressivité : « Il ne fait guère de doute que l’agressivité est la plus intense de toutes les motivations premières et que la compétition accentue et intensifie, de par sa nature même, les tendances agressives. » ALDERMAN (1974), in THOMAS R. , MISSOUM G. , RIVOLIER J. (1987), La psychologie du sport de haut niveau, Paris : PUF «La tendance ou l’ensemble des tendances qui s’actualisent dans les conduites réelles ou fantastiques, celles-ci visant à nuire ? autrui, le détruire, le contraindre, l’humilier, etc. ? LAPLANCHE J. & PONTALISJ-B. (1968), in THOMAS R. MISSOUM G. , RIVOLIERJ. (1 987), La psychologie du sport de haut niveau, paris : PUF « L’agressivité consiste aussi à porter un stimulus nocif à l’autre, qu’il soit physique ou moral, actuel symbolique. » MISSOUN G. (1979), in THOMAS R. , MISSOUM G. , RIVOLIERJ. (1 987), La psychologie du sport de haut niveau, Paris : PUF Amateur : « se dit de celui qui pratique un sport de compétition par goût, sans en faire sa profession ni en tirer un profit pécuniaire. » PETIOT G. 1982), Le Robert des sports, paris : R0bert Amphétamines : et le sommeil) et provoquent une exaltation des activités otrices et psychiques, ce qui a pour effet de faciliter le travail physique et intellectuel. » DE MONDENARD J. p. (2000), DO, l’imposture des performances, Paris : Chiron Anabolisants « Substance à base d’hormone naturelle (la testostérone) ou de synthèse entrainant le développement musculaire, largement utilisées dans les disciplines de force (lancers, décathlon, haltérophilie, sports de combat).

Outre passimilation de protéines (gain de poids), les anabolisants permettent de supporter des charges d’entraînement plus intenses et plus nombreuses (d’où leur utilisation dans toutes les disciplines « physiques » : football, ki de fond, athlétisme… ). » « substance qui entraîne un accroissement du système musculaire. » « Substance à base d’hormones naturelles (testostérone) ou de synthèse entraînant le développement musculaire. » Angoisse : « sentiment né d’une impression de danger qui pourrait survenir et contre lequel on serait désarmé.

Elle naît du virtuel et s’accompagne de manifestations h iologiques (sueur, palpitations, tremblement eut être facteur anima : âme. « animateur, nom moderne donné au responsable conducteur de réunions ou de groupes qui emploie des méthodes actives ont l’essentiel consiste à remplacer l’information directe (du type présidentiel ou magistral) par ‘éveil et l’utilisation de l’énergie même du groupe. par là il est l’agent de fautoinformation du groupe. On dit aussi qu’il est catalyseur des énergies latentes et de la productivité du groupe. ? Muchielli R (1990), La conduite des réunions, ESF éditeur. Anticiper : prévoir, supposer ce qui va arriver et y adapter par avance sa conduite. petit Larousse 2002. Anxiété : « état affectif caractérisé par un sentiment d’inquiétude ou d’insécurité lié à des incertitudes. Elle présente deux versants : ‘un intellectuel (inquiétude, appréhension) appelé anxiété cognitive, l’autre physique, appelé somatlque, représentant le degré d’excitation corporelle. ? FERRE J, PHILIPPE B, LEROUX p et SAROU B (1998), Dictionnaire « Inquiétude pénible due souvent à l’attente. » D’ELME P. (1975), Médecine pour vous, Paris : Hachette Apartheid « Ségrégation systématique des popu ations de couleur, en Afrique du Sud. » Larousse / VUEF 2003 Apprentissage : REUCHLIN (1977) « Processus associé à Pexercice ou à l’expérience entraînant la modification permanente du comportement habile (mémoire : capacité à reproduire) »

ADAMS (1982) « Processus adaptatif à l’environnement » PAILLARD « Modification stable de la performance dans une situation ou une classe de situations sous l’effet de différents facteurs : dont la répétition et l’exercice, mais non liée à des facteurs structurels tels que la croissance ou la maturation. La caractéristique de cette évolution est que les performances s’améliorent : gain en rapidité, précision, puissance, économie.

Ces changements observables sont associés à des modifications sous-jacentes construction d’une procédure complexe par agrégation ou assimilation d’éléments simples, différentiation d’une rocédure globale initiale en deux ou plusieurs procédures plus spécialisées, changement dans les modalités de contrôles et enfin automatlsation» DURAND M « Toute appropriation de savoirs et compétences résulte d’une démarche de transformation des conceptions dont le principal acteur est l’apprenant » GIORDAN (1993), De l’usage des conceptions dans l’apprentissage « L’apprentissage est une modification adaptative systématique et relativement durable de la conduite lorsqu’un individu est mis de manière répétitive dans une situation épreuve. » DE MONTPELLIER G. , in THOMAS R. (1997), L’apprentissage oteur, paris : PLJF « Ily a apprentissage chaque fois ue le sujet est confronté à une tâche vis-à-vis de laquelle ution. » interaction avec le milieu et se traduisant par un accroissement de son répertoire. » RICHELLE M. , in THOMAS R. (1997), L’apprentissage moteur, Paris : PUF « L’apprentissage est une modification adaptative du comportement, suite à la répétition d’une épreuve. L’apprentissage augmente les possibilités de réponses à certaines situations.

Les modifications qu’il entraine ne sont pas dues à a maturation de Porganisme. L’apprentissage moteur concerne les habiletés motrices » THOMAS R. (2000), Sciences humaines appliquées au sport, Paris . « Apprendre, c’est toujours prendre de l’information dans son environnement en fonction d’un projet personnel » (Meirieu, 1987). (processus)« acte de perception, d’interaction et d’intégration d’un objet par un sujet. Acquisition de connaissances et développement d’habiletés, d’attitudes et de valeurs qui s’ajoutent à la structure cognitive d’une personne. processus qui permet l’évolution de la synthèse des savoirs, des habiletés, des attitudes et des valeurs d’une personne. produit) « contenu de ce qui est appris » LEGENDRE R (1993), Dictionnaire actuel de l’éducation. Montréal : Guérin. « l’apprentissage en EPS peut se définir comme l’acquisition de pouvoirs moteurs nouveaux, articulant Savoir-faire et Savoir sur le faire, et s’exprimant dans des « habiletés motrices » plus efficaces, parce que plus rapides et plus stables » (P. 121). AMADE-ESCOT (1989). Stratégies d’enseignement en EPS : contenus proposés, conception de l’apprentissage et perspectives de différenciation. ln BUI-XUAN G (textes réunis par). Méthodologie et didactique de l’éducation physique et sportive. paris : AFRAPS. PAGF ID 51