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Dissert Philo Premium Sujet Puis-je faire confiance à mes sens ? Sens est un mot curieux qui est [… l employé dans deux sens opposés. D’une part il désigne en effet les organes qui président à l’appréhension immédiate. D’autre part. nous appelons sens la… synth se P compl Te Interruption par switch Pour réaliser des Interruptions par swltchs, 2 entrées sont dlspanlble en PD2, et PB2 qul référent respectivement aux Interruptions INTO, INTI et INT2. Ces Interruptions peuvent être configurées d.. Composition le PAG Question sur corpus Les trois textes mettent tous en scène la mort de l’héroine.
II y aura un texte de l’Abbé Prévost. auteur du Siècle des Lumlères, puis un texte de Chateaubriand. un auteur du romantique et enfin un texte de Raubert, un brevet histoire art guerre froide Prem lum Russians Sting La chanson Russians In Furope and America There’s a growing feeling or hysteria Conditioned respond all the threats In the rhetarital speeches the Soviets Russes Fn Furope et Amérique Ily a un sentiment croi,.. Chapitre I calcul des co ts Version perso Chapitre:l les différents types de coûts Plan : I. La comptabilité analytique 2. La notion de coût B. Le passage des charges de la CG aux charges de la CAE4.
La méthode des coûts complets 5. La méthode des coûts partiels Définition de la objectifs SIDA By coc0770 Oeapa,nq 17, 2015 7 pnw_s Sujet : Puis-je faire confiance à mes sens ? « Sens est un mot curieux qui est employé dans deux sens opposés. CYune part il désigne en effet les organes qui président à l’appréhension immédiate. D’autre part, nous appelons sens la signification d’une chose, son idée, ce qu’elle a d’universel. » Tel disait Hegel. Le mot « sens » qui vient du latin « sensus désigne la capacité que l’homme possède lui permettant de percevoir la réalité qui l’entoure.
Les sens constituent la fonction qui permet au corps de percevoir ce qui lui est extérieur. On les appelle communément les cinq sens qui son En effet, nul ne peut Néanmoins il est vrai nous doutons alors d question de savoir si S. wp next page , e goût et l’odorat. istent réellement. ous tromper et s poserons alors la s’il est possible que notre confiance soit guidée par nos sens. Les sens font partie intégrante de la nature humaine. C’est ainsi que la sensation du toucher par exemple est invariablement ressentie, perçue, et évaluée par un corps humain en bonne santé.
Ily a donc ici une notion de fiabilité et de constance qui mènent une certaine sérénité, une confiance et un équilibre de l’individu avec son environnement. La sensation du toucher est très probablement celle qui transmet le mess Swige to vie' » next page message sensoriel le plus fin et le plus rapide qui nous soit donné de posséder. Plus généralement, les cinq sens permettent la perception du monde extérieur et sont facteurs de liens entre l’intérieur et l’extérieur. Même si la perception ne suffit pas pour constituer une connaissance, elle en est l’acte préalable.
En effet, il s’agit du premier rapport entre l’homme et le monde sensible. Bien que a fiabilité des sens permette la perception de l’être humain ? l’instant présent, les sens permettent également de rappeler une mémoire vécue. Kant disait que malgré le fait que l’on ne puisse pas totalement se fier à ses sens et faire confiance à la perception uniquement, elle nous est tout autant indispensable. Sans nos sens, on ne peut avoir de sensation ni percevoir d’objet. Lorsqu’on mange une pomme par exemple, tous nos sens sont en activité.
Nous tenons la pomme dans notre main tout en l’admirant et en sentant son parfum fruité. Puis nous la croquons et goûtons à ce plaisir tout en entendant le bruit distinct du raquement. Grace à nos sens, nous pouvons mémoriser des sensations que l’on attribuait à l’objet qui est la pomme. Nous devons donc faire confiance à nos sens car ils permettent la mémoire et le souvenir ainsi que l’attribution de sensation à un objet particulier. On peut donc établir sur nos sens que, en leur faisant confiance, nous nous fions à eux pour retrouver des sensations vécues.
On développe ici les idées de Husserl et de Merleau-P 2 pour retrouver des sensations vécues. On développe ici les idées de Husserl et de Merleau-Ponty, pour qui l’existence des choses matérielles passe toujours pas les erceptions : « Il ne faut donc pas se demander si nous percevons vraiment un monde, il faut dire au contraire : le monde est cela que nous percevons Nous pouvons donc dire que les sens ont une certaine fiabilité concernant la mémoire, et le vécu. Par ailleurs, la perception devient un guide pratique, ce qui en fait l’obligation de s’y fier.
Nous sommes obligés de nous fier ? nos perceptions, car elles sont extrêmement utiles au quotidien : elles constituent un guide pratique. Par exemple, la douleur nous informe sur ce qui est bon ou mauvais pour le corps. Ainsi un mal de ventre préviendra directement un individu de la écessité de se soigner. Les perceptions servent donc à nous guider et à répondre à nos besoins vitaux. Même un rationaliste comme Descartes l’avoue : la perception sensible n’a pas de vérité théorique mais elle a une utilité pratique, puisqu’elle nous informe sur les choses.
On dit souvent que « les apparences sont trompeuses », car on risque souvent de faire des conclusions fausses si on accorde toute confiance à ses sens. En effet, les sens peuvent nous tromper et il vaut mieux se méfier de certaines perceptions. pour cette raison, certains philosophes préconisent de se détourner es sens et de considérer la raison comme unique source de vérité. Parce que les sens no 3 détourner des sens et de considérer la raison comme unique source de vérité. Parce que les sens nous trompent parfois, on peut en arriver à des perceptions fausses.
Ni les sens ni la raison ne sont susceptibles d’erreur, Aucune de ces facultés n’est fausse par elle-même. C’est dans le jugement que l’erreur est possible, par l’influence de la sensibilité sur la raison. par ailleurs, la perception désigne la fonction par laquelle un homme prend connaissance de son environnement au moyen de ses sens ainsi ue l’ensemble de son corps. Celle-ci peut nous amener à faire un mauvais jugement. C’est le cas par exemple de l’illusion d’optique. En effet, si l’on plonge un bâton dans l’eau, il va nous apparaitre brisé alors qu’en fait il sera toujours aussi droit qu’avant.
Cette illusion d’optique est manifeste des illusions auxquelles nos sens peuvent nous soumettre. Descartes montrera que ce n’est pas notre sensibilité qui est dans la vérité ou dans l’erreur mais le regard que l’on porte dessus. Se pose également le problème de l’existence de réalités non percevables par les sens. Kant montre que, si on se fie niquement aux perceptions, on risque d’avoir une image incomplète du monde, car ces choses seront alors exclues de la réalité et deviendront des fictions (les fantômes) ou de la métaphysique.
La perception, à la différence de la sensation, constitue déjà une interprétation. En ceci, elle n’est jamais objective. On le voit bien . certaines personnes 4 interprétation. En ceci, elle n’est jamais objective. On le voit bien certaines personnes trouveront beaucoup trop froide une eau que d’autres jugeront à leur goût Certains philosophes vont jusqu’à remettre en question l’existence du monde matériel, car les perceptions ne sont pas ignes de confiance. Cest le cas des sceptiques, comme Hume, qui affirme qu’il est impossible d’établir l’existence d’un monde distinct de nos perceptions.
Il remet même en doute sa propre existence car il n’en a pas d’autres preuves que des perceptions et cela ne lui sufft pas. Les rationalistes comme Descartes ou Platon contredisent les empiristes et préconisent de se méfier des perceptions. On ne peut se fier qu’à la raison pour établir des connaissances. Platon illustre ce commandement dans l’allégorie de la caverne, Dans l’obscurité d’une caverne, des hommes sont enchaînés epuis l’enfance, les yeux tournés vers la paroi du fond.
Dans leur dos, l’ouverture de la caverne avec un muret, derrière lequel passent des hommes portant sur leurs épaules toutes sortes d’objets. Les hommes enchaînés ne voient des passants, que leurs ombres projetées au fond de la caverne, et n’entendent de leur voix que le son déformé de l’écho de la caverne. L’un des captifs va être libéré, va sortir de la caverne et va d’abord être ébloui par la lumière… il se rendra compte finalement que ce qu’il percevait auparavant n’était pas la réalité. Il voudra retourner dans la caverne pour conv S