Dissert Philo Criton

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Dissertation philo : Etre juste n’est ce qu’au obéir aux lois ? Introduction . Nous avons tous des droits et des devoirs . La morale nous dicte ce que nous devons faire , le droit définit ce que nous somme permis de faire . La justice est une des vertu principale de la vertu morale . Elle est à la fois une vert respect de l’égalité e équitable et d’un lib droit ne s’emboîtent qui concerne les acti or 10 tat Snipe to -ustice désigne le nt d’un arbitrage morale et le sement en ce nisation de la collectivité .

La loi peut dans certain contextes peut paraître injuste . Dans la mesure où la loi est considéré comme une règle bligatoire établie par une autorité souveraine , lorsque des criminels parvient à échapper à une condamnation grâce aux lois , la loi est respectée mais notre sens de la justice et de la moralité n’y trouve pas son compte . La justice prend alors deux formes de droits : le droit naturel , et le droit posltif. Elle est donc à la fois un principe morale et un pouvoir judiciaire .

Il existe alors deux types de justices , la justice dite légale et la justice Swipe to nex: page justice légitime . A travers ces deux constats se forme un paradoxe nous amenant à nous demander comment définir ce ui est juste ? Si ce n’est en définissant ce qui est bon sur le plan moral et ce qui est bon sur le plan légal ? Et le développement suivra ce plan . Pour cela nous nous appuierons sur le dialogue du philosophe Grec Platon: Criton écrit vers 377 mettant en scène dans une prison la derrière discussion de Socrate avec son ami d’enfance Criton , avant d’être exécuté .

Ce dernier tente de le convaincre de s’échapper de sa prison ou l’attend la mort mais Socrate refuse car pour lui cela reviendrait à violer la loi ,vertu propre au fondement de son existence l- La plan légal a) le droit positif Le terme justice vient du latin « jus » qui signifie : droit . Droit vient du latin « directum » qui signifie « aligné » . Ainsi l’étymologie latine définie la justice comme le respect des règles imposé par le droit . Pour être considéré comme « juste » il faut suivre et obéir au lois dicté par la justice , le pourvoir et l’Etat .

Emerge de ce constat un concept le droit dlt de « droit positif » qui consiste à ensemble de règles , de lois coutumes , données et existant réellement à l’intérieur d’une société . Ce droit permet et promet alors une société pacifiqueRestreignant donc une artie de la liberté de l’homme , délimitant la légalité des ses activités . Comme le démontre l’argument et 10 l’homme , délimitant la légalité des ses activités . Comme le démontre l’argument et la position de Socrate ; face ? la proposition d’évasion de Criton ; qui est de refuser de s’échapper car cela reviendrait à enfreindre la loi .

Dans la mesure où cette acte serait considéré comme une injustice puisque selon lui « il ne faut en aucune façon commettre l’injustice » . Même si Criton considère son exécution comme une injustice , Socrate maintient alors : « il ne faut en aucune façon répondre ? l’injustice par l’injustice » . Ce fondement souligne alors que dans la collectivité l’injustice n’a en acune façon sa place . Le droit positif issu de la justice crée alors une forme d’éthique social politique et moral . De plus , si Criton s’oppose à son argumentation en employant celle du point du vue du « grand nombre » .

Pour lui montré que les avis et sur tout les jugement sur son évasion peuvent différés , et ainsi réussir à le faire changer d’avis . Socrate reste fidèle ? ses fondements et à celui dicté la justice lui rétorque « Je suis un homme, vois tu à ne donner son assentiment à aucune ègle de conduite qui , quand j’y applique mon raisonnement , ne soit révélée être à moi le meilleure . Or, les règles que j’ai jusqu’ici mises en avant je ne puis les jeter par- dessus bord sous prétexte qu’il m’st arrivé quelque chose d’imprévu .

ET ces règles qu’aujourd’hui je vénère et je respecte , ce sont exactement ce d’imprévu . ET ces règles qu’aujourd’hui je vénère et je respecte , ce sont exactement celles dont l’autorité s’imposait à moi auparavant . » Ici Socrate , prône le concept vertu qui consiste pour les grecs et chez Platon a « un ensemble de dispositions concurant à une vie bonne , au premier rang esquelles sont la sagesse , le courage , la tempérance et la justice » . Puis que pour Socrate et ainsi pour le reste des indivis nous somme juste à partir du moment ou nous suivons nos règles personnelles préalablement établit .

Mais cette réponse désigne également que son choix et son libre arbitre sont toute fois influencé par ce qui est considéré comme légale par la société et la justice . b) la légalité Il ne peut avoir de justice sans légalité , ni de droits sans règles , ainsi la légalité du latin lex : loi » au sens premier se défini comme : « la conformité aux lois établis, au droit positif Mais en hilosophie et notamment chez Kant cela désigne : « la simple conformité extérieur à la loi morale , par opposition à la moralité qui implique l’intention d’agir par respect pour la loi morale » .

Contrairement , à Criton qui en fait prône la loi moral plus tôt que la la légalité en elle même , Socrate souhaite lui prouver que pour que son acte soir considéré comme juste il faut que ce dernier rentre dans la légalité décrété par la justice Athénienne Dans ce dialogue la personnification des Lois montrent 0 légalité décrété par la justice Athénienne . Dans ce dialogue la personnification des Lois montrent que son évasion portera préjudice à la légalité et donc la cité .

En effet , il réslde un déséquilibre de droit entre Socrate et Les lois comme elles le souligne à travers l’exemple du père et du fils ; pour représenté Socrate et la cité : « Quoi , tu serais égal en droit ? ton père et à ton maître , si par hasard tu en avais un , et cela te permettrait de lui faire subir ce qu’il t’aurait fait subir en retour , de lui rendre injure pour injure , coup par coup » . A travers cette comparaison Les lois mettent en évidence que si Socrate ‘échappe les Lois auront le droit de rendre à Socrate se qu’il aura enfreint .

Socrate affirme alors qu’il ne faut pas « rendre le mal par le mal » car cela reviendrait à dissoudre la société , ainsi tous les principes et fondements décrétés par la justice . Et si il n’y a plus de justice , il n’y a plus de lois , ni de règle , de code à suivre et cela reviendrait à un chaos total chez les hommes . Cest pour quoi Socrate maintient sa postions face à Criton et à son idée d’ évasion car cela ne rentrerai pas dans les codes de la légalité et son acte serait qualifié d’injustice( ou d’illégal? ) .

Dans la mesure ou celui qui commet l’injustice entre dans « un processus de dévalorisation » de soi , comme le soutient Socrate « commettre l’injustice n’est en aucune façon avantageux ou convena PAGF s 0 le soutient Socrate « commettre l’injustice n’est en aucune façon avantageux ou convenable » . Toujours en prônant le point de vu « grand nombre » Socrate démontre que pour juger ce qui est juste ou injuste il est nécessaire qu’un « expert » en juge par lui même,ainsi ceux sont les Lois qui sont expertent dans le domaine de la justice et de l’injustice , elles prôneront toujours la légalité .

C’est un opinion qui doit être pris en considération pour déterminer la légalité et la justice de l’acte de Socrate . Anisi pour qu’un acte soit juger de juste il faut qu’il soit considéré comme légal par les lois . Etre juste implique la légalité , et d’obéir aux lois qui constituent cette légalité . Transition : Si la justice , le droit et la légallté exige donc d’obéir ? des règles en décrétées eu sein d’une communauté . Alors d’ou vient le droit si ce n’est de la moral qui l’inspire et influence ?

Il – Le plan moral a) le droit naturel Il existe deux types de justices : la première provenant du roit positif et la seconde des règles morales , appelé : droit naturel . Ce droit est un : « ensemble de règles considérées comme appartenant à l’homme du fait de sa nature et ce indépendamment de toute législation de tout droit positif » . ll correspond aux limites morales que l’individu s’assigne à lui même par son discernement et sa conscience .

Ceci se retrouve en la personne de Criton pour qui , l’évasion de Socrate est un act 6 0 conscience . Ceci se retrouve en la personne de Criton pour qui , l’évasion de Socrate est un acte juste et moral . Son argumentation pour influencer Socrate repose sur trois points ssentiels : la peine que sa mort lul causera , la discréditlon de sa réputation mais aussi le fait que son refus ne serait pas considéré comme conforme à la justice , car en refusant de s’échapper il renonce à sa liberté, à sa vie .

Criton incarne alors l’opinion du grand nombre qui considère , d’abord que le droit naturel provient du fait que l’homme juge si une action est moral ou juste en fonction de sa concordance avec la nature de l’homme . Cest sur ce droit que devrait reposer l’ensemble lois et règlements que dicte la société permettant de juger si un acte est juste ou non , comme le suggère Platon

Le personnage de Criton prône de manière idéaliste ce qui est bon sur le plan moral pour Socrate et son entourage en démontrant que la loi et la légalité devrait s’appuyer essentiellement sur le jugement ce qui est injuste ou juste moralement pour les hommes , en proposant à Socrate de s’enfuir , car il considere de son point de vue moral que sa sentence n’est pas juste et qu’il est en droit de s ‘échapper . De son point de vue de Socrate , son refus se présenterai comme illégal et honteux er scandaleux : « Pour ma part, je ressens(… de la honte à la pensée qu’on impute à une certaine lâcheté de notre ar la conduite de de toute raffaire 7 0 la pensée qu’on impute à une certaine lâcheté de notre par la conduite de de toute l’affaire ,ta comparution devant le tribunal Ainsi être juste alors que tu pouvais ne pas y comparaitre « du point de vu de Criton et du « grand nombre » serait d’obéir , certes au Lois , mais aux lois morale en opposition avec la légalité et les lois décrétés par la justice b) la légitimité Si la légalité est la conformité à la loi , celle-ci n’est pas nécessairement légitime , c’est-à dire juste : ainsi respecter une loi injuste , c’est être injuste .

La morale se rapporte aux moeurs qui sont les habitudes d’un groupe et qui renvoie chacun ? conscience personnelle et à sa responsabllité . Il alors questlon de égitimité . que . L’expression usuelle « égitime défense » en est un bonne exemple car il est question de ne pas rendre légale la violence car aucune violence n’est légale . Cependant , dans certains cas la violence peut être toléré lors que la sécurité d’autrui est menacé . Est alors légal un acte conforme qui obéit à une loi moral ou un principe de justice présent dans la conscience individuelle et collective . L’évasion de Socrate serait lors considéré comme un acte légitime puisqu’il repose sur une loi moral propre chez Criton mais aussi au grand nombre .

Ce qui est légale n’est pas toujours légitime . La vrai justice ne peut donc se réduire au seul respect des droits positifs . A compléter Ill – Synthèse 0 justice ne peut donc se réduire au seul respect des droits positifs . A compléter Ill – Synthèse des grand points qui fondent la justice a) moral et devoir Traduit en grec moral «êthos » signifie éthique , par éthique on entend les valeurs qui constitue l’ensemble d’une vie d’un individu . L’éthique se distingue alors de la morale . La moral st perçu par le grand nombre un ensemble de règles ou de codes extérieurs aux quels nous devons obéir comme une sorte d’adhésion aux valeurs que prône une société .

Cependant la moral n’est pas seulement l’obéissance à des dictons venu de l’extérieur , mais plus tôt le fait d’agir moralement , c’est à dire par devoir morale comme le soutient implicitement Criton . Cela sous entend alors que la justice et le droit ont pour fondement la morale et les institutions . Mais l’homme qui ? des responsabilités , comme Socrate , ne doit-il pas réfléchir avant de prendre une décision au bien ou au mal qu’il pourrait roduire ? Etre moral ,est-ce agir par devoir ou dans un esprit de bienfaisance ? b) légitimité et légalité Dans les point de vues opposés de Criton et Socrate quand à l’acte de l’évasion , on comprend alors que à la fois nous respectons les lois , la justice et le droit comme étant objectif , mais à la fois , nous sommes en droit de nous demander si ces lois sont légitimes .

Dans la mesure ou la justice et le droit , la légalité et la légitimité ne sont pas absolus mais rel PAGF 10 mesure ou la justice et le droit , la légalité et la légitimité ne sont pas absolus mais relatifs . Mais , alors que se passerait-il si nous venions à prendre conscience que ni le droit ni la justice est objectif ? Conclusion : En conclusion , roeuvre philosophique de Platon montre que nous ne pouvons pas considérés la justice de manière manichéenne car il faut avant tous définir ce qui est bon sur le plan moral et légale pour définir et considéré ce qui est juste tout en prenant compte de la relativité qui oppose le droit positif au droit naturel comprenant une distinction importante entre ce qui es légal et légitime .

Désigner si être juste n’est ce qu’obéir aux lois impliquent que ces nuances ne peuvent se faire ans réflexion moral , et principes qui dictent ainsi les lois de l’Etat souverain , les codes à suivre en société et qui permettent le jugement de qui est juste ou non . La délibération de ce qui es juste ne peut seulement s’appliquer au cas de la condamnation à mort de Socrate et à la tentative d’ évasion de ce dernier par Criton ; même si il est universelle ; puis que cela dépend de à quels lois , la loi moral ou la loi de l’Etat , nous obéissons et déterminons alors ce qui est juste . Obéir aux 1015 ne constitue qu’une partie de la justice , elle permet de crée ordre sociale . ( nuuuuuuul