Disseration Le joujou du pauvre
Le joujou du pauvre est un poème en prose de Baudelaire, auteur du XIXème siècle, fondateur du symbolisme. Ce texte est un extrait du recueil de poème Le Spleen de Paris. C’est aussi un apologue : c’est une anecdote mettant en scène deux enfants, un pauvre et un riche, et un rat. Le riche oublie son jouet et est fasciné par le joujou du pauvre. En quoi ce poème constitue-t-il un apologue ? A la fin du 3ème para la pauvreté qui opère riche et le pauvre.
Mi en S. v. p next page regarde le riche. Chiasme à la ligne 15 (ligne 14) il ouvre sur scription de l’enfant auvre, de ce que étorique l’opposition. Sémantique entre l’enfant riche et le pauvre. à Péjoratif : enfant pauvre et son univers, « charbon et les orties » (ligne 14), cela représente la pauvreté et le sauvage, la liberté du pauvre. La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé.
Il relaie le point de vue de la condition sociale. Il fait de l’enfant pauvre quelque chose de plus. Ils sont tous deux innocents : « marmots » : familier (ligne S t o n page (ligne 16) « parias » : marginal donc péjoratif car rejeté par la société. Mais à la ligne 18, Baudelaire retourne la situation et fait de la laideur apparente quelque chose de beau avec à la ligne 19 : « une peinture idéale » compare avec le peintre, l’artiste, le connaisseur.
Célèbre la beauté de la laideur apparente (z Les Fleurs du Mal) car il compare à la ligne 18 et 19 « un œil impartial » à l’œil de l’artiste peintre qualifié de connaisseur (ligne 19) il est donc capable (ligne 20 et 21) de trouver l’enfant laid et pauvre, BEAU. A travers les mots « répugnante patine » (ligne 20), Baudelaire se moque des bourgeois, satire. Ligne 22 : On voit bien la position de l’auteur : il critique les bourgeois qui sont responsables du clivage social. Car si ils donnent au pauvre, ils perdraient de la richesse.
Séparant de monde : grande route (pauvre) / château (riche) En fait, le riche est fasciné par le pauvre et son jouet : adverbe « avidement « rare » et adjectif « inconnu Le lecteur n’identifie que tard ce qu’est ce jouet « Un rat vivant » ligne 27 et 28. Pour souligner la pauvreté du 2ème enfant l’auteur précise aux lignes 28/29 que ce rat a été tiré de la vie elle-même par les parents de l’enfan précise aux lignes 28/29 que ce rat a été tiré de la vie elle-même par les parents de renfant.
Le rat représente la misère, la maladie, la saleté. Au deux dernière lignes, on a une chute avec une morale implicite car malgré leurs différences sociales, les deux enfants sont égaux et sont aussi beaux l’un que l’autre. Cégalité entre les deux enfants est évoquée par les mots « fraternellement « égale », « blancheurs ». « égale » est mis en italique pour insister sur cette égalité. ‘expression pronominale « se riaient… » C’est un lien réciproque. Blancheur : pureté, innocence des deux enfants.
Le poème en prose Le Joujou du pauvre est basé sur une figure de rhétorique principale, l’antithèse entre l’enfant riche et le pauvre. Nous constatons que renfant riche est fasciné par le Jouet de l’enfant pauvre (le rat vivant), alors que le riche en possède un beaucoup plus beau. La différence sociale est symbolisée par des barreaux. Ce que montre la thèse de Baudelaire est en faveur d’une égalité sociale. Ce texte est un apologue car il contient une morale implicite infirmant que nous sommes tous égaux. 3