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DGC Premium INTRODUCTION Les aliments sont la plus grande partie des sources énergétiques de l’homme. D’une part ils assurent la nutrition et d’autre part la fonctionne renouvellement des cellules très indispensables au maintien de Mintzberg’ Ce livre est la traduction française d’un Incontournable du management, The Structurlng of Organlzatlons d’Elenry Mlntlberg, dont le succès continu atteste la qualité. ette analyse fouillée et novatrice des structures de l’entreprise Intèg„. cours TD DROIT CIVIL Mémoire de fin d’études Mémoire de fln d’études Pour l’obtention du titre

Dlngénleur d’Etat de l’EHTP Allère Génie Informatique Conception et réalisation d’une solution décisionnelle Transport pour la direction Supply Chain Réalisé Management MSC Prem lum Management CAS Msc l, 1). Les râles du manager d’après Peter Drucker sant : Définir les missions Fixer les abjet:lifs Analyser et organiser le travail – Informer et écouter ses employés – Fvaluer les résultats – Former ses Bio Alain Fournier Enfance et éducation : Alain FOURNIER est né le 3 octobre 1886, il est le fils d’instituteurs.

Alain suit des études puis entre au lycée Voltaire à Paris où il cumule les prix. En 1901 il entre en seconde au lycée de Brest pour tenter l’Éc.. Le Gargantua – Rabelais 1- Apports minimaux Les besoins nutritionnels minimaux correspondent à la quantité de nutriments permettant de maintenir certaines fonctions prioritaires, éventuellement aux dépends d’autres fonctions ou des réserves. Si ces besoins minimaux ne sont pas couverts, la probabilité d’apparition de signes cliniques de carence est très élevée, à court ou moyen terme.

Les apports nutritionnels, elle s’appuie sur la définition du besoin nutritionnel moyen, mesuré sur un groupe d’individus, auquel sont ajoutés 2 écarts types eprésentant le plus souvent chacun de la moyenne, marge de sécurité statistique pour prendre en compte la variabilité interindividuelle et permettre de couvrir les besoins de la plus grande partie de la population, soit des individus. Cela suppose que la distribution des valeurs des besoins dans cette population relativement homogène suive la loi normale (moyenne — médiane). – Les Besoins spécifiques Les besoins nutritionnels sont très dépendants de l’âge et de l’état physiologique de l’individu. Chez une femme enceinte, la croissance du fœtus commande naturellement une augmentation es apports alimentaires. Les besoins énergétiques augmentent au cours du deuxième et du troisième trimestres de la grossesse pour atteindre 350 kcal. Cette augmentation concerne tous les nutriments, surtout le fer, dont la carence est signalée chez 30 % des femmes enceintes dans les pays développés, et 60 % dans les pays en voie de développement.

Dans le cas de grossesses gémellaires, une alimentation pa 0 gémellaires, une alimentation particulièrement riche est recommandée. Les besoins alimentaires sont encore augmentés au cours de l’allaitement, la ration supplémentaire étant estimée ? 550 kcal’]. Les besoins quotidiens du nourrisson sont de plus de 1 IO kcal/kg au cours de la première année, période de croissance importante. Les besoins en protéines et en acides aminés essentiels, directement liés à l’augmentation de la masse corporelle, sont proportionnellement plus importants que ceux d’un adulte.

De plus, les nouveau-nés, dont le système de thermorégulation ne fonctionne pas encore parfaitement, connaissent parfois des dépenses énergétiques non négligeables. Par sa richesse, le lait maternel permet un développement normal de l’enfant jusqu’? 6 mois. Enfin, les besoins hydriques du bébé sont plutôt élevés, jusqu’à 120 ml/kg/j. Les besoins des enfants sont très différents de l’un à l’autre, de 1 400 à 2 200 kcal jusqu’à 9 ans. Mais, d’une manière générale, la croissance comme les multiples activités ludiques ou sportives demandent une alimentation adaptée à ces dépenses énergétiques.

Les besoins, calculés proportionnellement au poids, sont en général plus importants qu’à tous les autres stades de la vie. Ils passent à 2 600 kcal pour les garçons de 10 à 12 ans et ? 2 400 pour les filles du même âge. L’alimentation doit être variée t enrichie en vitamine D dans les pays faiblement ensoleillés. La croissance des adolescents est moins importante que celle des enfants, ce qui retentit sur leurs besoins alimentaires : les garçons, qui d’une façon générale des enfants, ce qui retentit sur leurs besoins alimentaires : les garçons, qui d’une façon générale se « dépensent » plus, demandent 2 900 kcal.

Mais cette période de la vie peut être marquée par des problèmes d’ordre psychologique aux conséquences néfastes sur l’alimentation (boulimie, anorexie, malnutrition des personnes âgées est souvent un problème réel. En effet, à ce stade de la vie, plusieurs facteurs concourent à diminuer la ration alimentaire journalière. Des difficultés de mastication liées à la perte de dents limitent la consommation de certains aliments comme la viande. Vivant souvent seules, les personnes âgées ne sont guère incitées à prendre des repas réguliers et équilibrés.

La diminution importante des revenus a des conséquences sur la qualité et la quantité des aliments achetés ll- La classification des aliments Les aliments sont répartis en cinq ou six groupes, selon leur valeur nutritionnelle ou leur composition chimique, leur caractère péritif et leur valeur économique et culturelle. * Le premier groupe e premier groupe comprend les aliments riches en protéines tels que la viande, le poisson, les œufs et les légumes secs. La viande compte en moyenne 20 % de protéines riches en acides aminés indispensables.

Sa teneur en lipides est très variable. Les viandes maigres (cheval, gibier) en contiennent moins de 5 %, tandis que les viandes grasses (porc, Oie) peuvent en contenir de 20 à 30 En revanche, les glucides sont pratiquement absents de ces aliments, ou on ne trouve pratiquement que des vitamines du groupe 3. L’œuf est très riche en fer et en vitamine A. Les poissons contien 4 0 que des vitamines du groupe B. L’œuf est très riche en fer et en vitamine A. Les poissons contiennent moins de lipides (entre 1 et 20 mais leur taux d’acides gras polyinsaturés bénéfiques est plus élevé.

Les vitamines A et C sont concentrées dans le foie, tandis que la vitamine D est répartie dans la chair. Les crustacés ont une composition voisine, avec une teneur en lipides plus faible. Les légumes secs contiennent très peu d’eau et de lipides, alors que leur teneur en glucides est importante. * Le deuxième groupe Les aliments du deuxième groupe comprennent le lait et les produits laitiers. Ils sont riches en protéines, en vitamines (A, B et D), en calcium, et le lactose est la principale source de glucides.

Ce sont des aliments presque complets, seulement déficitaires en fer et en vitamine C. La proportion en lipides est d’environ 80 % pour le beurre. Le taux moyen de protéines dans le lait est de 3,5 % contre 2 à 8 % pour les lipides, selon l’origine animale. Les yaourts ou les fromages (frais, fermentés ou cuits) sont fabriqués à partir du lait, mais au cours de la préparation une partie des itamines et des sels minéraux est perdue. Leur teneur en lipides est extrêmement variable (de 0 à plus de 75 % de la matière sèche) et dépend autant du procédé de fabrication que du lait utilisé. Le troisième groupe Le troisième groupe comprend les graisses (lipides), sources caloriques les plus condensées. Elles améliorent l’onctuosité des aliments et saturent l’appétit assez longtemps. Bon marché, le beurre excepté, elles posent des problèmes de digestibilité ; c’est pourquoi elles font partie des préoccupati excepté, elles posent des problèmes de digestibilité ; c’est ourquoi elles font partie des préoccupations médicales actuelles, notamment pour les personnes souffrant d’un taux de cholestérol trop élevé.

Les huiles et les graisses végétales et animales sont pratiquement dépourvues de glucides ou de protéines (environ 1 gt), et les sels minéraux n’y sont souvent qu’à l’état de traces. La proportion en lipides pour les huiles végétales peut atteindre 99,9 * Le quatrième groupe Dans le quatrième groupe, on trouve les aliments riches en glucides : les céréales et leurs dérivés (pain, biscuits, farine, pâtes alimentaires, etc. ). Les glucides se présentent essentiellement sous forme d’amidon (de 65 à 70 %) et très peu sous forme libre.

Les céréales contiennent assez peu d’eau (14 % au maximum). Les protéines céréalières (de 6 à 12 %) ne sont pas d’une excellente valeur biologique, car elles ne contiennent pas toujours l’ensemble des acides aminés essentiels. Les lipides, contenus dans le germe, sont en faible quantité (3 Enfin, la majeure partie des sels minéraux est composée de calcium, de potassium, de phosphates et de magnésium, mais la présence dacide phytique dans la cuticule de certaines céréales bloque ‘absorption du calcium et du fer. Les cinquième et sixième groupes On regroupe en général les aliments des cinquième et sixième groupes, qui comprennent les fruits et les légumes crus et cuits. Ces aliments, d’origines botaniques très diverses, ont en commun d’être très riches en eau, en sels minéraux et en vitamines (surtout en vitamine C). Les lipides sont généralement faiblement représentés, 6 0 vitamines (surtout en vitamine C). Les lipides sont généralement faiblement représentés, sauf dans les fruits oléagineux (noix et amandes), et les protéines, bien que de bonne valeur biologique, e sont représentées qu’à 1 ou 2 %.

Ill- LES FACTEURS DE VARIABILITES DES BESOINS NUTRITIONNELS DE L’HOMME a) Les Protides es protéines alimentaires sont les seules molécules organiques qui apportent à l’organisme l’azote dont il a besoin pour fabriquer ses propres protéines et ses acides nucléiques. Aspects quantitatifs Les protéines de l’organisme sont renouvelées en permanence, une partie d’entre elles est recyclée, l’autre partie est éliminée dans les urines sous forme d’urée.

Les apports alimentaires en protéines doivent compenser les pertes quotidiennes en azote qui sont de l’ordre de 5 à 7 g/j. Ils sont estimés à lg/kg/j soit, pour un adulte sédentaire, 70 à 80 g/j pour un homme et 50 à 60 g/j pour une femme. En cas d’apports alimentaires en protéines insuffisants, comme c’est souvent le cas en Afrique noire et dans le sous-continent indien, une maladie par carence se développe : le kwashiorkor, souvent associée au marasme lié à une insuffisance énergétique globale.

Le kwashiorkor se traduit par un amaigrissement général, des lésions cutanées, des œdèmes des membres inférieurs et des troubles digestifs (diarrhées) ; il est responsable chez l’enfant de raves retards dans le développement et la croissance. Le bilan d’azote, utilisé en clinique, est le rapport existant entre les apports protéiques exprimés en azot d’azote, utilisé en clinique, est le rapport existant entre les apports protéiques exprimés en azote (une protéine renferme en moyenne 16 % d’azote) et les pertes en azote.

Aspects qualitatifs Chez l’Homme, sur les Vingt acides aminés entrant dans la constitution des protéines, huit ne peuvent pas être synthétisés par l’organisme et doivent obligatoirement être apportés par l’alimentation. Ce sont les acides aminés essentiels indispensables) : isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane et valine. Les protéines d’origine végétale n’ont pas la même valeur biologique que celles d’origine animale.

Elles ne possèdent pas les mêmes teneurs en acides aminés essentiels. Ainsi, le mais n’a pas la même valeur nutritionnelle que l’œuf : en effet, la zéine, protéine extraite du mais, ne contient ni lysine, ni tryptophane, alors que les protéines de l’œuf renferment tous les acides aminés essentiels. Cest pourquoi les apports alimentaires en protéines doivent comporter, à parts égales, des protéines ‘origine animale et des protéines d’origine végétale. ) Les Lipides Outre leur rôle dans la couverture énergétique de l’organisme, les lipides interviennent dans la constitution des membranes cellulaires, la transmission nerveuse, la production d’hormones et ils constituent une source essentielle de vitamines liposolubles (vitamines A D et E). L’alimentation apporte en proportions variables des lipides renfermant trois catégories d’acides gras des acides gras polyinsaturés (acides linoléique, linolénique, arachidonique) contenus essentiellement dans les huiles B0