D Pend Il De Nous D Tre Heureux
Tous les hommes cherchent à être heureux et la recherche du bonheur est devenue l’une de leur principale préoccupation. Être heureux est un état moral et peut être interprété de plusieurs façons. Cela peut se manifester par le bonheur, le bien-être ou la satisfaction, qui est plus ou moins durable. Le plaisir quant à lui est un phénomène éphémère. Le fait d être heureux provoque toujours une certaine forme de bonheur.
Bien que le bonheur reste un co le plus haut, c’est-à-dire le s bonheur signifie « ce qui tombe bien » hommes, donc il p g ci représente le bien iquement, le rôlé par les peut y avoir une part de chance dans le bonheur. En effet, l’homme est impuissant face aux hasards de la vie. La santé, l’amour semblent être des domaines qu’il ne pourra pas toujours maîtriser. Or, celui-ci peut décider de son état d’esprit par rapport à ces événements. Dans ce cas, il aura le contrôle sur son bonheur. Dépend-il de nous d’être heureux ?
Peut-on faire son bonheur soi-même ? Avons-nous une part de responsabilité dans le fait dêtre heureux ? Sommes-nous condamner à subir les autres ? Comment désirs. Ensuite, nous montrerons que le bonheur dépend des onditions extérieures et que l’homme ne peut l’atteindre que par le hasard. Et pour terminer, nous verrons comment l’homme se situe dans recherche du bonheur. Il est impossible d’être heureux et d’atteindre l’homéostasie sans vouloir. Cest la thèse d’Épictète. « Je suis maître de ma pensée et de mes états mentaux h.
Il n’y a que les conditions extérieures qui ne dépendent pas de moi. Ce qui nous procure du bonheur sont les choses qui de nous. C’est pour cela que les éléments extérieurs qui nous arrivent ne doivent pas prendre le dessus sur nous. Lhomme peut tout à fait ccepter le fait qu’il pleuve durant plusieurs jours, sans être déranger par cela. Tout dépendra de son état d’esprit. Pour les Stoïciens, le plaisir ne peut pas atteindre un équilibre parfait : il faut devenir indifférent aux extérieures.
On croit que les obstacles au bonheur sont extérieurs, mais en réalité, ils sont plutôt intérieurs. Si nous vivons des situations que nous n’avons pas choisies, nous sommes cependant toujours libres de décider ce que nous en faisons. L’homme reste libre d’essayer de les transformer et d’agir sur la réalité sans se contenter de la subir. Llhomme doit se détacher des conditions extérieures ureux. Il ne dépend que 2 l’homme de changer de vision des choses. pour Alain, le fait d’être heureux dépend de la propre volonté de l’homme. ?tre pessimiste est la voix la plus simple, il suffit de se laisser aller. Si on s’en tient à cela, on a toutes les raisons pour y être. Or, il ne tient que de notre volonté d’être optimiste. Les hommes ont souvent tendance à attendre le bonheur. Celui-ci à faire. Le seul vrai bonheur est celui que nous faisons. Un durable ne s’obtient que si l’individu agit de manière volontaire. De ce fait, l en découle que le fait d’être optimiste facilitera la tâche pour bonheur soit durable. L’homme à l’état naturel trouvait son bonheur dans la nature.
Cependant, il dépend de lui de vivre en société. Kant définit cela comme un besoin dont l’homme ne peut se passer. Chomme raisonnable veut vivre avec ses semblables, cela représente un besoin affectif. Il accepte donc de s’intégrer socialement, sans cela, il ne pourrait pas se sentir heureux. On peut relier cela avec une citation de Brillat Savarin qui montre que plasir de l’homme pour se trouver avec autrui grâce au fait de partager un epas entre amis. Pour être heureux, l’homme va chercher à combler ses désirs.
II dépendra donc que de lui de laisser libre cours à tous ses désirs. Cependant, les canaliser lui rocurera de la frustration. Se connaitre est fondame heureux, cela va 3 Se connaître est fondamental pour être heureux, cela va permettre de canaliser nos désirs. Car avoir des ambitions « inappropriées » ? ce dont on est capable peut devenir source de souffrance. pour Spinoza, certaines modifications provenant de l’extérieur peuvent nous toucher de l’intérieur et augmenter ou diminuer notre puissance. Ce qui augmente notre puissance a un impact positif sur ce que nous sommes.
En revanche, tout ce qui diminue notre puissance tendrait ? avoir un impact négatif. Or, si on se tient à la thèse stoïcienne de Spinoza, il faut sans hésiter s’en tenir qu’aux aspects positifs. Or, contrairement à ce qu’on avait démontré précédemment, il semblerait que chercher le bonheur ne suffise pas à le trouver. C’est le bonheur qui nous trouve et non pas nous qui le trouvons. e bonheur est un concept indéterminé. Lhomme est incapable de savoir ce qui le rend heureux avec une entière certitude. Aucun homme e sait ce qu’il cherche quand il cherche le bonheur.
Le bonheur est un idéal, une utopie provenant de l’imagination et non de la raison de l’homme. apparait comme lié au hasard et est devenu un besoin obsessionnel. Être heureux est le fait de ne manquer de rien. Cela apparaît invraisemblable et impossible à atteindre. Lorsqu’on satisfait nos désirs, on obtient du plaisir. Cependant cela est ponctuel et ne suffit pas ? constituer 4 ponctuel et ne suffit pas à constituer un bonheur durable et ne permet pas d’atteindre le souverain bien. Là aussi, il ne dépend pas de nous d’être heureux.
Pour Freud, le bonheur relève de l’inconscient. Les désirs ne suffisent pas à combler cela, on n’en a aucune maîtrise. Si on considère cela pour vrai, alors il n’est pas en notre pouvoir d’être heureux. Vouloir faire dépendre de nous le fait d’être heureux peut avoir des conséquences contraires à ce qui était espéré, allant à l’encontre de notre raison et de notre volonté. Si pour être heureux, on ne peut compter sur notre raison, alors cela relève-t-il de la chance ? Si on prend l’étymologie de « bonheur il en ressort le fait qu’il soit lié au hasard, à la chance.
Bonheur signifie ? bonne fortune », d’où l’expression « contre bonne fortune, bon cœur Personne ne choisit la famille ou le milieu social où il naît. Certaines situations semblent plus favorables que d’autres pour devenir heureux. Il semblerait que naître dans une famille et un milieu social aisés est plus propice au bonheur de l’individu. Donc, il s’avérerait vrai que le bonheur et la chance soient en lien. De ce fait, on peut considérer que l’homme heureux ne le serait jamais que par la chance. Pour Aristote, le bonheur se trouve essentiellement dans la vertu, dans l’exercice de certaine ne semble donc pas S