Croissance verte
Cet article essaie de nous présenter quelques principes en faveur de ses concepts. Une présentation succincte de l’auteur, il est économiste au Conseil général de l’environnement et du développement durable. Il publiera notamment le 23 mars prochain un livre «Pour une raison écologique», dans lequel il fait un plaidoyer en faveur d’un raisonnement économique écologique. Son article s’articule en 4 parties: L’ampleur des contradictions entre l’économie et l’écologie. La croissance verte est-elle une solution.
Les principes d’économie écologique. Premier boy infailliblement I empâta 23, 2011 14 pages A la recherche de la bonne définition de la «vie bonne». Dans un premier temps, je vais résumer l’article Dans un second temps, je développerai l’aspect critique de mon article. Important de connaître le contexte actuel, tous les indicateurs sur l’environnement sont au rouge comme par exemple changements climatiques, l’augmentation des déchets et même le déclin de la boiterais.
AI y a par exemple un affrontement sur le taux d’occupation des sols: la croissance a besoin chaque année d’augmenter son espace dans le but d’urbaniser et en même dans la diversité à besoin d’espace vert pour survivre. Si on prend l’exemple des déchets par habitant durant 1 an cela représente 536 kg, il y a encore 70 % des déchets municipaux restent orientés vers la mise en décharge ou l’incinération. Après avoir fait cet amère constat on va se pencher à savoir si la croissance verte est une solution.
L’innovation technologique apparaît comme la principale réponse. Si on prend le cas de la France on a identifié un certain nombre de secteurs industriels clefs : énergies renouvelables (opiomanes, baccalauréats, éolienne, pathologique, thermie, énergies marines), efficacité énergétique des bâtiments, opiomanes matériaux, recyclage des déchets haute valeur ajoutée. Ses progrès seraient doubles ils permettent de « découpler » la croissance économique et les atteintes l’environnement, grâce à une utilisation plus efficace de l’énergie.
AI ne faut pas oublier l’écart entre les innovations réalisées ou prévisibles. Il y a un paramètre qui mesure l’écart entre le rythme actuel du « découpage » et les objectifs compatibles avec un développement vraiment durable. L’indicateur le plus fiable mesure la « productivité es ressors développement vraiment durable. L’indicateur le plus fiable mesure la « productivité des ressources », (c’est-à-dire le rapport entre la richesse produite et les quantités de ressources naturelles consommées (en héros par kilo)).
Les résultats de cet indicateur montre une progression de 20 % de 1990 à 2007, même si ses résultats sont encourageants ils sont encore très insuffisant, pour diminuer notre empreinte écologique. Et même si on se place sur la scène internationale, le constat est assez négatif d’après le rapport du gouvernement Britannique, la conclusion est « a vérité est qu’il n’existe pour l’instant aucun scénario crédible, socialement juste et cliquètement soutenable d’accroissement des revenus pour un monde peuplé de neuf milliards d’êtres humains.
Dans ce contexte, les assertions simplistes selon lesquelles la propension du capitalisme à l’efficacité peut permettre de stabiliser le climat et nous protéger des pénuries, sont lourdes de désillusions ». Nous allons maintenant aborder les principes d’économie écologique, il n’est pas si aisé de trouver une économie qui soit respectueuse de l’environner-ment. On sait que la entraînée est de satisfaire l’économie.
L’écologie nous rappelle que si on ne respecte pas notre environnement, nous en sommes absolument tributaires, comme le définit bien une écologiste américaine : « jusqu’, nous avons vécu grâce aux plantes vertes, et nous leur devons à la fois notre existence et notre style de vie. Prenez conscience du fait que chaque chose que nous consommons, de la vie. Prenez conscience du fait que chaque chose que nous consommons, de la carotte au steak, est produite par des plantes qui transforment les rayons du soleil en énergie.
Nos voitures, nos ordinateurs, tout cela repose également Ur la pythonisses, car les combustibles fossiles que nous utilisons sont seulement les restes compressés de plantes et d’animaux dont les corps ont grandi sous le soleil. ». On ne doit surtout pas oublier de prendre en compte les lois qui s’imposent à tous les costumes. D’après l’analyse de bernera PRÊTER on peut déduire les grands principes fonctionnels pour maintenir l’équilibre stable entre l’environnement et la boiterais, les plus importants sont’ Privilégier les ressources renouvelables, nous sommes obliger de nous y soumettre de manière durable.
Respecter les ressources rares et ne les utiliser que de ânerie parcimonieuse en se concentrant sur les besoins fondamentaux. Comme le font déjà les animaux et les plantes leur but étant en priorité de répondre au coût le plus bas à leurs besoins de croissance et de reproduction. AI en va de même pour une économie durable on doit répondre aux besoins fondamentaux des êtres humains, notre erreur est de confondre la production de marchandises et la réponse aux besoins.
La crise écologique remet au centre des préoccupations vitales. La problématique du développement durable est de minimiser l’utilisation des ressources pour réduire les éteintes à l’environnement. Réutiliser, réparer, recycler. AI faut réduire au minimum la production des déchet l’environnement. Production des déchets finaux non biodégradables. On doit renoncer au tout jetable et prendre en compte les contraintes de recyclages à chaque conception de produit.
Utiliser en priorité les ressources locales, dans le but premier est de réduire les dépenses d’énergie liées au transport. Maintenir la diversité, en opposition à la standardisation et la spécialisation. Tenir compte des interdépendances et favoriser la coopération, le but ici est d’optimiser ‘usage des ressources. Après avoir énumérer ses grands principes, l’auteur essaie de définir au mieux «la vie bonne». Il nous rappelle que la transformation de l’économie n’est pas uniquement technique.
AI doit y avoir une vrai transformation régionalisations et sociales dans notre manière de percevoir si on prend l’exemple de la voiture électrique, il est difficile de changer les mentalités ou encore l’auto- partage bien évidemment çà ne sera pas à lui seule la résolution du problème de l’énergie mais le but ici est d’optimiser ses déplacements. L’auteur nous montre l’importance de la combinaison entre l’innovation coniques et l’importance de nos évolutions de penser et nos changements y compris dans nos modes de vie, c’est l la clef du développement durable.
Il faut s’émanciper « du fétichisme de la marchandise ». Il souligne un point important il y a une métamorphose de la propriété, qui mutualiste un certains nombre d’équipements (exemple la loi dopa), on a une demande crois un certains nombre d’équipements (exemple la loi dopa), on a une demande croissante en bien immatériels qui ne nécessite pas de devenir l’exclusivité de propriété à un individu.
AI est donc important de transformer « l’home économique égoïste et à courte vue en copropriétaire responsable soucieux de la préservation du patrimoine commun Les hommes ne renonceront pas facilement leurs biens superficiels et à la croissance marchande, mais si les catastrophes naturelles nous menacent. On voit l’effort fait sur ce sujet aujourd’hui on prend en compte le bien-être à travers par exemple l’ID qui essaie de suggérer au mieux la « vie bonne », et plus uniquement la croissance, hélas il n’est pas de même pour les pouvoirs institués.
Cet article nous fait prendre conscience que tout le monde une part de responsabilité et on ne peut pas uniquement compter sur les innovations, l’écologie n’est pas uniquement un terme à la mode, les nombreux rapports nous rappellent un amère constat: la nécessité d’agir rapidement, l’épuisement des ressources et un changeant de la boiterais et climatique aura des répercussions négatives sur notre bien-être l’important est d’agir progressivement avant que ce soit trop tard, en changent d’ores et déjà nos modes de vie et nos mentalités.
coauteur est impliqué sur ce sujet et il développe aux mieux ses informations pour faire prendre conscience de ‘importance de la croissance verte. Je vais maintenant développer ma seconde partie qui est mon analyse critique de cet article. Je vais pour cela d’abord abord développer ma seconde partie qui est mon analyse critique de cet article.
Je vais pour cela d’abord aborder la forme du texte et ses qualités pour ensuite aborder le contenu, et ensuite je confronterai l’article tout d’abord à mes autres lectures puis je développerai deux politiques le canadianisme vert puis l’coutumière, pour enfin terminer sur une touche d’optimisme grâce à deux pays (norvégien et allemande) qui rendent en compte ses nouvelles contraintes. L’intérêt de cet article est double il y a une écriture fluide et clair, c’est très agréable de le lire, en plus il appuie chaque propos avec des exemples et on peut donc mieux comprendre chaque élément.
Au niveau de son contenu, l’auteur suit une logique chronologique car il pose le contexte, la situation actuelle, et ensuite il donne les principes qu’ils peuvent être compatible entre l’économie et l’écologie. Malheureusement le constat n’est pas optimiste et il nous fait prendre conscience de nos exterminaient négatives sur l’environnement. Je pense qu’en soit cette article ne nous apprend rien de nouveaux, ces préceptes nous les connaissons déjà, mais notre erreur est de ne pas les respecter et les appliquer.
D’après mes différentes lectures sur ce sujet, la plupart de ces scénarios reposent sur deux idées forces de l’écho- écologie. La première est la chasse au gaspillage, autrement dit une prise de conscience du fait que la façon dont sont aujourd’hui organisées la production et la distribution de biens repose sur de très profondes rationalistes écologiques: de rationalistes écologiques: depuis la priorité à l’automobile individuelle jusqu’ a généralisation de l’agriculture d’exportation en passant par le non recyclage de vastes quantités de matières.
La seconde est l’idée que ces gaspillages sont entretenus voire créé par les régulations marchandes aujourd’hui dominantes et les signaux prix qui les caractérisent. Dans cette perspective d’efficacité, notre économie est une économie productivité et peu économe bisexuelle ne prend en compte aucun des effets de long terme des activités humaines et de leurs coûts en termes de destruction de la nature et de l’environnement. Ce qui n parfaite adéquation avec le point de vue de l’auteur même son étude est bien évidemment beaucoup plus approfondie.
Je voulais compléter mon article avec le «canadianisme vert», dans le livre écho-économe (économie-écologique) écrit par Lester Bron il propose une stratégie économique qui prend en compte des contraintes écologiques dont les deux piliers relèvent de l’intervention financière publique: le premier passe par l’introduction des écoutées intelligentes et la second passe par les subventions pour les activités en faveur du développement durable.
Ici l’objectif est triple lier la défense de l’emploi, la éducation des inégalités mais aussi prendre en compte la nature, voir les matériaux de production et les activités humaines et voir leurs répercussions sur la nature. Ces déplacements sont un élément d’importance de la nouvelle donne «écho-écologique». La nature. Nouvelle donne «écho-écologique».
Malgré leurs limites, tant de la gauche et du socialisme qui critique le capitalisme que la mouvance écologique qui ont tout intérêt à les prendre à sérieux pour aborder les vrais enjeux, comme par exemple la dénonciation de ses deux partis sur le projet de taxe carbone ils l’ont présenté comme «anti- accole» alors qu’au contraire il s’agit de faire un outil liant la redistribution et les changement dans nos façons de produire, pour avoir le moins d’exterminaient négatives .
Au final, l’argument que nous défendons se déclinent autour de trois priorités: reconnaître une «valeur» et non un prix la nature; redistribuer et réduire les inégalités tant celles sous-jactance à la crise écologique que celles induites par les mesures ‘imaginés pour y remédier; réalisées et ressaisisse l’économie pour démocratiser les choix. Pour moi le canadianisme vert ne va pas assez loin dans ses rincées et dans ses démarches pour créer une réelle transformation, son implication n’est peut-être pas assez ambitieuse.