Cours sur la croissance
Le développement des échanges (7,5%) est stimulé par un système monétaire table (1 944, accords de breton odes) et la création du GÂTA en 1947, qui baisse les droits de douanes. La croissance est appuyée par une révolution des transports (autoroutes, avions, réseaux ferrés, navires géants etc.. ) B- De nouveaux secteurs d’activités elle croissance est facilitée par ‘essor de la production énergétique. La production d’électricité quadruple et les hydrocarbures sont à la base du développement (en 1974, le pétrole représente 40% de la consommation d’énergie mondiale).
L’automobile, la chimie, l’aérospatiale et le nucléaire, deviennent les secteurs moteurs. Le passage entre invention est production est de plus en plus rapide. Elle développement économique repose sur boy atomisaient I hobby 12, 2009 8 pages l’accroissement de la demande qui est liée a la reconstruction d’après g guerre et à l’augmentation du nombres de consommateurs et du niveau de vie. Les 30 glorieuses correspondent à une hausse de la natalité (baba-boom) et une baisse de la mortalité dans les PIED , soutenue en 1960 par l’explosion démographique des pays du tiers monde.
Le développement du crédit et de la publicité, augmente la demande. Alimentation croissante de l’état en OURS et dans les as communistes, le développement se fait grâce aux collectivisation. Les industries sont privilégiées au détriment des biens de consommations. Dans les pays d’économie libérable, l’intervention de l’état se renforce(nationalisation). Partout en Occident, les théories de cannes triomphent et l’état intervient pour réguler la croissance. Elles grandes entreprises se concentrent ( conglomérats), se multinationales, se rationalisent.
L’objectif n’est plus l’enrichissement de quelques uns, mais la puissance de l’entreprise. En 1970, aux U. S. A, les 550 plus grandes entreprise emploient 75% des salariés et réalisent 4/5 es bénéfices. AI- De nouveaux modes de vies A- De nouveaux cadres de vies et de travail moins de ruraux, davantage de citadins! Dans les PIED, la modernisation de l’agriculture entraîne une and « révolution agricole ». L’exode rural a provoqué le dépeuplement de certaine campagnes et favorisé la croissance urbaine. 75 à de la population vit dans les villes.
Les modes de vies urbains s’étendent et transforment les campagnes proches des villes (réorganisait Les modes de vies urbains s’étendent et transforment les campagnes proches des villes (réorganisation). Eu Plus d’ouvriers et de « cols blancs’ :Les ouvriers sont de lus en plus nombreux. Ils représentent 1/3 de la pope ôtions active des PIED. La parcellisation des taches et le travail à la chaîne s’étendent. Le chômage est faible et les ouvriers qualifiés ont un niveau de vie proche de celui des « cols blancs ». Ces derniers sont de plus en plus nombreux cause de la politique interventionniste de l’état.
Le travail des femmes commence à se démocratiser. B- L’âge d’or de la société de consommation è Les 30 glorieuses voient l’avènement de la « société de consommation ». Les « classes moyennes » constituent près des 2/3 de la population. Elles se caractérisent par un venu « moyen » (généralisation des prestations sociales), un niveau de formation « convenable » (mystification de l’enseignement) et un critère de comportement (mêmes centres d’intérêt et loisirs) è La hausse du niveau de vie se traduit par l’achat de biens de consommation nouveaux.
La répartition du budget familial entre les différents postes de dépenses se modifie (baisse de la part de l’alimentation, hausse des dépenses de santé et de loisirs). On note un recul des petits commerces faces à a grande distribution. C- Les limites de la croissance: è Malgré un niveau de vie généralement élevé dans les PIED, certaines catégories de la population restent l’écart de la croissance (petits paysans, petit certaines catégories de la population restent à l’écart de la croissance (petits paysans, petits commerçants, ouvriers des industries traditionnels, minorités raciales, travailleurs immigrés etc.. . La croissance est inégale suivant les régions. Les pays communistes ont de forts taux de croissance, sans pour autant connaître a prospérité. Eu En 1960, certains dénoncent une « société de gaspillage ». L’urbanisation pollue, détériore le tissu social traditionnel et crée des nuisances. Des mouvement écologistes haïssent. Il- Les chocs de la crise: A- Le ralentissement de l’activité économique è En 1973, la guerre du couper quadruple les prix du pétrole. La révolution en airain puis la guerre en arc en 1979 provoque un and choc pétrolier.
L’augmentation soudaine du prix du pétrole augmente les coût de production industriels et les coûts de transports. Des pans entiers de l’activité s’effondrent, surtout dans les secteurs traditionnels. Eu La stagnation: La hausse des prix est très forte entre 1973 et 1982, elle dépasse plusieurs fois les 10%. La conjonction d’une croissance lente (stagnation) et de ‘inflation, crée dans les années 1970 la « stagnation » è Depuis 1980, on compte plus de 30 millions de chômeurs dans les pays de l’CODE.
Le chômage est dû au faible niveau d’étude, au progrès technique (urbanisation, informatisation etc.. ) et à la concurrence des pays à bas salaires. De nombreux emplois créés sont précaires et peu rémunérés pour répondre au choc peut bas salaires. De nombreux emplois créés sont précaires et peu rémunérés pour répondre au choc pétrolier, les PIED développent de nouvelles sources d’énergie (nucléaire etc.. ). Le « contre ch. pétrolier » de 1 986, provoqué par l’excès de l’offre, tient les prix du baril bas pendant 15 ans.
Mais les chocs pétroliers ne constituent pas les causes profondes de la crise. Eu En raison de la libéralisation financière, des masses énormes de capitaux sont échangés et provoquent une spéculation internationale. Plusieurs crises monétaires éclatent (en européen en 1992 et 1993, en aise en 1997 etc.). En 1971, le président mixons dévalue le $ puis suspend sa convertibilité en or ce qui entraîne et la disparition de l’étalon or. Eu La crise pétrolière a rendu le tissu industriel fragile augmentation des coûts technologiques, politique de hauts salaires, fort prélèvements fiscaux etc.. . Dans les années 1 960 on note une baisse des profits des entreprises et la consommation s’est ralentie. Le système productif né de la deuxième révolution industrielle est à bout de souffle. AV- La reprise et ses incertitudes A- Des réponses à la crise La plupart des gouvernements tentent d’appliquer un politique de relance inspirée des principes de cannes, ceci à pour cause d’augmenter brutalement les déficits publiques et d’affaiblir les monnaies. Mais l’augmentation de la consommation ne favorise pas forcément les entreprises nationales (concurrence du jupon et de la ocre du Sud). Dans les forcément les entreprises nationales è Dans les années 1980, pour stimuler l’initiative et la compétitivité des entreprises, les gouvernements décident un désengagement de l’état (dérégleraient, privatisation, libéralisation des prix, allégement fiscaux etc.). C’est le cas de marâtre détacher en engrangèrent ou de ronfla regagna aux USA. B- Les nouveaux visages de la croissance è Une croissance instable et mal partagée. Dans tous les pays de l’CODE, l’inflation a été jugulée à partir de 1983. Mais la croissance est inégale selon les pays (lente en France et importante aux USA).
L’émergence de nouveaux pays industrialisés (« 4 dragons » dans les années 80, puis « 4 tigres » dans les années 90) augmente la concurrence. Mais la Triade demeure le centre de l’économie et des finances mondiales. Eu La reprise est fondée sur les secteurs de haute technologie. La « Emme révolution industrielle » donne naissance à l’informatique. Ce développement bouleverse les productions (électroménager, automobile, machines outils etc.) è La reprise s’effectue dans le cadre de la monopolisation. La production et les échanges sont de plus en plus dominés par les firmes multinationales.