Cote d’azur
Au lieux de se retrouver face au schéma classique que nous connaissons bien, à savoir ‘ensemble des spectateurs assis face a une scène ou se déroulera la pièce nous nous retrouvons autour d’un ensemble de palissades de bois a travers les quelles il est difficile d’apercevoir quoi que se soit. Néanmoins les regards curieux des spectateurs tente avant même l’ouverture de la pièce de capter une image, un instant de se qui se passe derrière ces planches de bois en glissant difficilement son regard a travers les quelques troues parsemer à divers endroit sur la palissade.
Le spectateur se place dé lors en position de voyeurisme, il cherche a tout ris à découvrir swaps toi vie nixe page Cote d’azur premier boy imposée H0fi6pq 23, 2009 | 5 pages ce qui se cache derrière cette barrière. Puis la palissade s’ouvre, à certains endroits seulement, forçant ainsi certains spectateurs à changer d’endroit pour pouvoir voir la pièce. Afin de possédé le meilleur point de vu possible le spectateur change régulièrement de place pour ne pas manqué une miette de se qui se passe sur scène.
Pour motiver ce comportement et l’accentuer le metteur en scène fait bouger es panneaux, fermant certain alors que ‘autre s’ouvre. Pourtant se qui se déroule sous nos yeux n’est en rien censé être attrayant. Au contraire nous voyons se dérouler en parallèle plusieurs actions de nature violentes et malsaines. Mais personne ne peut détacher son regard de se qui se passe. Il est donc par son propre comportement et celui du reste du public mis face a une réalité : la fascination de l’homme par la violence.
L’homme ne peut s’empêcher de porter un intérêt particulier à la vie privé d’autrui, à adopter un comportement voyeurisme vis vis de ce qu’il l’entoure. Cet état malsain explique d’ailleurs l’engouement aujourd’hui connu pour la presse peuple ou encore pour la télé réalité. Ainsi ne serait-ce que par la réaction du publique à a pièce, est dénonce un vice de la société. La mise en scène: que par la réaction du publique à la pièce, est dénonce un vice de la société. La mise en scène de cote d’azur fait preuve d’une grande originalité.
Comme nous l’avons su à travers une interview du metteur en scène celui est poussé par une volonté de faire autre chose, de sortir des sentiers battu, de changer le tertre, et de « sortir du théâtre bourgeois ». Ce qui peut paraître le plus étrange dans cette ?ouvre au delà de la façon dont elle implique le spectateur c’est l’absence total de parole. Dans ces conditions (pas de texte, pas de réelle histoire) il en devient difficile de définir l’?ouvre de théâtral. Il ne s’agit pas non plus de la catégorisé de mime mais nous pourrions l’approché à du cinéma notamment par la variété des angles de vues.
L’absence de paroles permet a chaque spectateur de se créé son spectacle par différentes interprétations. La pièce se déroule dans un décor très élaboré, une multitude d’éléments sont présents sur la scène: la plus grosse partie du décor est un bar dans un état délabré, mais sont aussi présents beaucoup d’autres éléments, aussi improbable qu’inimaginable, ainsi sont cote à cote un tank et une baignoire. Ce lieu atypique permet une forte création. Le sol e ainsi sont cote à cote un tank et une baignoire. Ce lieu atypique permet une forte création. Le sol est recouvert d’environs 5 cm d’eau.
Cet élément est fortement intéressant, il donne de l’amplitude à certaines actions, comme une chute par le biais du bruit ou des éclaboussures mais il entretient aussi l’image de délabrement du lieux de vie des protagonistes car l’?ouvre n’est autre qu’un reflet de leur quotidien. A partir de l’ouverture de la palissade sous nos yeux divers faits et actes commencent à s’enchaîner. Ainsi nous aurons à voir certaines images chocs : un couple homosexuel poussant un berceau dans lequel un homme entre en tapant des pieds, un amant frappé à sang par le mari rompe, un couple enchaîne au mur et menacer par un tank, et bien d’autre…