Fiction Galle Cote

essay B

Louis ! Louis attend Je tien supplie Ses paroles étaient presque inaudible, son souffle était court et difficile. Le châtain, les larmes coulant était de dos, ne voulant pas supporter son regard suppliant. Debout sur cette marche, il regardait la ville s’étendre jusqu’à l’horizon. Les lumières formait une voix lacté que le mécheux admirait de son perchoir. En bas, une foule s’était déjà rassemblé, et les gyrophares des ambulances et de la police éclairait la rue de nuance bleu et rouge. Harry était la, debout derrière lui, attendant, le coeur battant, mélange entre horreur et douleur.

Louis tourna légèrement la tête vers le boucle, laissant apparaître ses larmes sur son profi droit. Il prit une long -Va t’en Harry … Je sa que or 1′ ‘adresser a lui. Ir ça . une autre larme gliss u:• – la un sanglot, puis to View repris sa position po genoux derrière lui, ami… Son amour bascul vers le vide. lui, s’effondra a lots, regardant son « Pourquoi en était il arrivé la ? Que c’est il passé pour arriver a ce drame ?!  » Se répétait il inlassablement. Mais l’un comme l’autre le savait. Ils se souvenaient de tout, dans leurs moindres détailles. Journal de Louis

Hier je pensais que tout était finis, que tout irait bien. Et me voila Swipe to View next page a écrire ce journal. On m’a souvent répété que dans la vie, rien ne se passait comme on le souhaitait, un en particulier. Je ne l’ai pas écouté, et me voici ici, aujourd’hui dans ce bureau froid et sombre, assis a ce bureau en chêne, a devoir écrire mes pensées. Je n’aime pas ça d’ailleurs, cette impression de se mettre a nu, de révéler tout ce qui devrait rester secret, j’ai l’impression d’être mis a nu. Pourtant, le médecin ne cesse de me répéter que c’est bon pour moi, et mes amis aussi, et, Lui aussi.

Alors c’est pour cette raison que je coopère, pour Lui. 16 septembre 2012 Cest ce jour la, que le drame est arrivé. J’étais seul, et malade. Mes parents avait un rendez vous Important qu’il ne pouvait pas repousser, et moi, comme toujours, je n’ai rien fais pour les retenir. Au final je n’avais rien de bien grave, un peu de fièvre et un petit rhume, mais eux semblaient plus préoccupé par mon état. Ils sont donc partit a se rendez vous, me faisant aurevoir depuis le jardin, et moi par la fenêtre, il m’avait promis de faire le plus vite possible, mais finalement, ils n’auraient pas dû être aussi ressé.

Cela faisait des heures qu’il attendait, assis sur son lit, regardant par cette même fenêtre depuis ce qui lui semblait être une éternité. Il regardait inlassablement la pluies tomber sur les feuilles encore verte du chênes, fièrement planté dans le jardin. « Une autre averse londonienne se disait il. II soupir 12 chênes, fièrement planté dans le jardin. « Une autre averse londonienne se disait il. Il soupira alors longuement, avant de s’allonger sur son lit, attrapant son téléphone au passage. « De Harry, A Louis : Tu viens chez moi ? Je suis seul, et j’ai des pizzas ! « 

Au bout dune dizaine de minutes, il entendit la sonnette retentir dans la maison le faisant sursauter. Il en déduit que c’étais Harry qui était venus directement. Il descendit alors, courant a moitié dans les escaliers un grand sourire au lèvres. Mais ce sourire disparue a grande vitesse lorsque la porte s’ouvrit sur un agents de la police municipale. II fit eu un mouvement de recul, impressionné et étonné, lui coupant un instant le souffle. Il se rattrapa a la poignée, et le regarda, le dévisageant en allant de ses cheveux grisonnant, a sa barbe naissante. -Ou-Oui ? articula t’il difficilement. -Louis Thomson ?

C’est Cest moi ? Qu-Que se passe t’il ? L’agent lui lança un regard a la fois désolé, et douloureux. Comment pouvait il annoncer a cet adolescent qu’il venait de tout perdre, que maintenant il se retrouvait seul. Que maintenant il n’avait plus personne a qui se rattacher. Il se racla la gorge, avant d’inspirer une grande bouffé d’air -Monsieur Je suis désolé, mais Vos parents sont sont mort. A cet instant, plus un bruit. Tout c’était arrêté autour du châtain, qui regardait maintenant le vide de ses yeux bleu. Il était perdu, troublé, et autour du châtain, qui regardait maintenant le vide de ses yeux leu.

II était perdu, troublé, et blessé. Mais il ne pouvait pas vraiment réaliser. Il ne comprenait pas encore le sens de ses mots. Le policier grimaça légèrement, voyant son expression, il se dit qu’il ne pouvait partir comme ça, il ne pouvait pas le laisser seul face a la cruauté que la vie venait de lui mettre sous le nez. -Petit, il y a quelqu’un avec toi ? Il secoua la tête négativement, trop perdu pour pouvoir laisser échapper un quelconque son. Il baissa la tête, repassant ses mots en boucles, « T’es parents sont mort.  » Il ne pouvait pas y croire, ce n’était tout simplement pas possible.

II entendit alors une voix familière le faisant lever la tête. -Louis qu’est ce que tu as fals comme conneries ? Dit il en riant Il vit ses bouclette et se sourire a fossettes, mais pour une fois sa remarque ne le fit pas rire, effaçant immédiatement la joie d’Harry, qui courut pour le prendre ses bras, lançant un regard interrogateur a l’agent qui répéta cette même phrase, mais qui eu cette fois un effet destructeur sur le plus vieux, qui s’effondra dans les bras du nouveau venus. -Ses parents sont mort Harry en resta muet, il n’y avait de toute façon rien a dire.

Il esserra alors l’étreinte qu’il avait sur son ami avant de faire signe au policier, le laissant s’éloigner de cette scène si tragique. Harry soutenait toujours le corps du châtain, chuchotant a son oreil 2 de cette scène si tragique. Harry soutenait toujours le corps du châtain, chuchotant a son oreille de se calmer, qu’il était la pour lui. Sans lui, je ne sais pas ce que j’aurais fais, et je ne tiens pas a le savoir. Mais grâce a lui, j’ai pus me contenir, tout en déversant ce mélange de haine et de douleur qui s’était répandu en moi en quelque minutes.

Notre soirée c’est résumé a pleurer, manger, ormir, pleurer, et Harry me consolait en pleurant a mes cotés. Au final, ce jour était fatiguant et éprouvant. 17 septembre 2012 Aujourd’hui, je me suis rendu compte de ce que l’agent m’avait annoncé hier. Je suis descendu dans la cuisine, seul, laissant Harry dormir a l’autre bout du grand lit. Nous avions pour habitude, de nous lever a notre rythme, mais le premier , devait commencer la préparation du déjeuner, et les autres aider jusqu’à ce que tout soit prêt.

Mais en arrivant dans la cuisine, elle était vide, et l’habituelle odeur de café noir, ou encore de pain grillé que ‘aimais tant était inexistante. Rien n’était prêt, et personne ne s’affairait dans la cuisine. La table en verre était nus, aucune confiture ne venait faire relief, pas même une seul tasse, ce qui jusqu’à aujou dihui, n’était jamais arrivé. Je m’assis alors a ma place, regardant autour de moi, et me mis a préparer le déjeuner, parlant a mes parents, comme s’ils étaient la, près de moi.

Comme si rien n’avait changé. Assis sur sa chaise, le jeune PAGF s OF s’ils étaient la, près de moi. Comme si rien n’avait changé. Assis sur sa chalse, le jeune homme regardait dans le vide, il ‘arrivait pas a réfléchir correctement. Sa conscience lui répétait que maintenant ce serait comme ça, mais une partie de lui, lui disait que ses parents allaient se levé. Il se leva alors d’un bond, un petit sourire au lèvres, sortant les trois mugs habituelle, ainsi qu’un autre pour Harry.

Il sortit ensuite trois couteaux, et deux cuillères qu’il disposa sur la table, auxquels il ajouta les confitures, le beurres, les céréales, et les assiettes. En se dirigeant vers le frigo pour prendre la pâte a pancake, il entendait la voix de sa mère, si calme et douce, lui rappelant le mauvais cuisinier qu’il st. Il sortit alors la poêle, et remplit sa tâche avec un succès dont il s’étonnait lui même. Sans quitter ce qui cuisait, il lança sur un ton joyeux, -Tu vois maman ! Je suis pas si nul que ça !

Il se mit a rire, mêlant celui de sa mère dont il avait le souvenir distinct, ce rire cristallin comme le siens, qui réchauffait la pièce a l’entente de ce son. Il aimait tellement ce rire. Une fois finis, il déposa l’assiette remplis sur la table en verre maintenant bien remplis, puis se dirigea vers le grille pain, qu’il mit en marche, -Papa va bientôt se lever tu penses ? demanda t’il curieux. Bien sûr, aucune réponse ne lui parvint, mais pour lui, sa mère lui avait répondue très distinctement. « Bien sur 6 2 réponse ne lui parvint, mais pour lui, sa mere lui avait répondue très distinctement. Bien sur ! II ne raterais pas un tel festin Un sourire angélique prit place sur ses lèvres, et en relevant la tête, il vit la cafetière, le faisant courir a l’autre bout du comptoir pour la mettre en route. Il laissa alors échapper un petit rire, -J’ai faillis oublier son café ! Tu imagine la tête qu’il aurait fait ! -Mais a qui tu parle ? La châtain eu un sursaut de surprise, lui faisant tourner la tête ers le bouclé, l’air pas réveiller, les boucles en bataille, se frottant les yeux, mais laissant apparaître une expression inquiète sur son visage. -Louis !

A qui tu parlais ?! S’impatienta Harry Le dit Louis ne savait pas quoi dire, la voix de sa mère avait disparue, et seul les ronronnement de la cafetière résonnait dans la pièce. Il tournait la tête, cherchant désespérément a se trouver une réponse, mais lui même n’en avait pas. Il baissa alors la tête, les yeux pleins de larmes cachant son visage de ses mains. -Ils sont partis n’est ce pas Je ne les reveraient jamais … c’est ça ? Harry se mordit la lèvre, mal a l’aise et profondément touché par l’état de son ami, qui était perdu dans ses émotions.

Il le prit alors dans ses bras, caressant son dos pour le soutenlr, pendant que l’autre laissait ses larmes glisser le long de ses joues, humidifiant le tee-shirt du bouclé. -Je serais la Louis, je ne t’abandonnerais pas ! Je se 7 2 joues, humidifiant le tee-shirt du bouclé. -Je serais la Louis, je ne t’abandonnerais pas ! Je serais la pour te soutenir quoi qu’il arrive, et s’il le faut je viendrais emménager ici pour que tu ne SOIS plus jamals seul, Il releva alors doucement a tête de son ami, plongeant son regard dans celui azur du plus vieux, Je te promets de ne jamais te lâcher.

La journée m’a parut si longue, et le temps si lent. Cest comme attendre tes cadeaux de Noël, le jour de pâque. Tu pourras attendre aussi longtemps que tu veux, tu n’auras rien. Pourtant, c’est ce que j’ai fais. Je me penchais a cette fenêtre, regardant la rue, espérant y voir la voiture de mes parents, s’engager dans cette longue allé. Harry tentait de m’occuper l’esprit, mals il n’y avait rien a faire, je ne pensais qu’a eux, je cherchais a comprendre, pourquoi eux, pourquoi ce jour la, pourquoi fallait l que moi je ne sois pas avec eux.

Et toute ses questions se répétait en boucles, me faisant partir en larme. Mon seul pilier maintenant, est cette tête bouclé et ses prunelle verte émeraude qui me surveille et me protège. Et si ma vie devait se résumer a 18 septembre 2012 Aujourd’hui, Harry est arriver vers dix heures ce matin, une valise a la main, et a décidé de s’installer avec moi, le temps que « J’aille mieux » comme il dit. Mais je vais bien. Je ne comprend pas cette inquiétude qu’il a envers moi. Biensur le décès de mes parents m’a complètement renversé,