Conception ethique de l’objet
Dissertation m’amour Selon vous la conception éthique de l’objet est-elle possible dans une société régie sur une logique de surconsommation ? ntroduction : L’objet est une entité définie dans un espace à 3 dimension, soit naturel, soit fabriqué par l’homme, qui a une fonction précise, désignable par un nom, c’est à dire qu’il doit pouvoir être perceptible par l’homme. De ce fait les objets sont destinés à être utilisé ou consommé par l’homme. La conception d’objet éthique a donc pour but d’indiqué comment les être humain doivent se Sui # to page comporter, agir et êtr Nous pouvons donc objets est possible d
Dans un premier tem p g eux qui les entoures. ception éthique des nsommation. blets éthiques est possible dans une société de surconsommation. En effet, dans les sociétés actuelles, beaucoup de personne consacrent une partie de leur temps libre «à faire les magasins » pour avoir des produits de consommation. Les hommes s’intéressent plus à l’électronique et l’automobile, les femmes plus aux vêtements, aux produits de beauté et aux bijoux. Ceci donne donc l’image d’une société d’abondance.
Cependant il existe plusieurs conceptions de l’objet : une conception matérielle qui consiste à acquérir des bjets que l’on peut toucher et u une conception immatérielle qui consiste à s’intéresser à des faits de sociétés ou aux croyances ou encore aux problèmes de famille. Mais la plus visible dans la société d’aujourd’hui est la conception de l’objet matérielle qui est mis en valeur dans la société de consommation surtout par la publicité. Celle-ci pousse alors les êtres humains à prendre plaisir d’acheter.
Mais aussi plaisir de ce montré avec l’attrait captivant de la nouveauté : comme par exemple le dernier cri en matière de téléphone portable ou encore d’ordinateur. C’est donc plaisir de consommé our épater, plaisir de jouer avec des images et de ressembler à cette jeunesse d’aujourd’hui et qui ce contrefiche éperdument de toute question sérieuse. La conception de l’objet éthique ce présente alors comme l’éloge frénétique de progrès qui nous lance perpétuellement en avant. Tout changement est vu comme progrès, il faut donc changer pour tout changer. Le changement amplifie alors la consommation.
Mais l’objet éthique peut entrainer une grande surconsommation. Le terme consommé est couramment associé avec des images : celle d’une société d’abondance, avec son accumulation ludique e toutes sortes d’objets. La conception dobjet éthique a donc pour but d’attirer un certain plaisir et nécessite une consommation souvent mémorable. Car celle-ci dans certain cas peut entraîner une surconsommation de la part de l’être humain car qui dit consommation 2 certain cas peut entrainer une surconsommation de la part de l’être humain car qui dit consommation dit dépense.
L’homme ne sait donc pas gérer son désir. Jean Baudrillard écrit : « Il n’y a pas de limites à la consommation. Si elle était ce pour quoi on la prend naiVement : une absorption, une dévoration, on devrait arriver à une saturation. Si elle était relative à l’ordre des besoins, on devrait s’acheminer vers une satisfaction. Or nous savons qu’il n’en est rien : on veut consommer de plus en plus. Cette compulsion de consommation n’est pas due à quelque fatalité psychologique ni à une simple contrainte de prestige.
Si la consommation semble irrépressible, c’est justement qu’elle est une pratique idéaliste totale qui n’a plus rien à voir avec la satisfaction de besoins ni avec le prince de réalité. C’est qu’elle est dynamisée par le projet toujours déçu et sous-entendu dans l’objet. Le projet immédiatisé dans le signe transfère sa ynamique existentielle à la possession systématique et indéfinie d’objet de consommation. Celle-ci ne peut dès lors que se dépasser, ou se réitérer continuellement pour rester ce qu’elle est : une raison de vivre.
Le projet même de vivre, morcelé, déçu, signifié, se repend et s’abolit dans les objets successifs. » (Le système des objets, 1968). Cela ne fait que confirmer le fait que l’objet matériel relève du désir et donc du signe de consommation qui pousse à ne plus se poser 3 l’objet matériel relève du désir et donc du signe de consommation qui pousse à ne plus se poser de limite et consommer à perte. Le problème de la consommation est qu’elle lie l’immatériel au matériel car maintenant certains objets immatériels ont besoin d’objets matériels pour exister.
La société de consommation tend donc à donner un accès au monde avec les seuls objets achetés dans les commerces, alors qu’il existe d’autres accès, plus efficace que l’homme connaissait avant l’apparition de ces multiples objets. De fait, sans valorisation immatérielle, les objets n’ont que leur valeur utilitaire, valeur essentielle mais ne justifie ni l’attachement, ni le désir, ni l’enthousiasme. Cela montre donc que la conception éthique de ‘objet dans la société de consommation à des limites.