Comparaison tableaux oedipe et le sphinx
Le titre semble donc être inexact. En effet, le personnage La sphinx étant un monstre femelle avec un corps de lion, des ailes et une queue de dragon. Elle fut envoyée à tabes par aéra (femme de uses) pour punir le roi liais, comme nous avons pu le voir lors de notre étude intégrale : La machine Infernale. Installée sur un rocher au sommet du mont piochions, elle posait une énigme à tous ceux qui croisaient son chemin. Celle-ci, est en position légèrement surélevée par rapport à ?Dieppe : sa tête est plus en hauteur, ce qui l’oblige à la baisser pour regarder ?Dieppe.
Nous pouvons observer que sa pupille foncée se détache sur le blanc de l’?il, son nez rectiligne lui-aussi donne sur une bouche aux lèvres également foncées. Elle est une créature hybride. En effet, elle tient d’une femme, par sa chevelure retenue par un bandeau, ressemblant à un diadème, ainsi que par un sein fortement apparent. La courbe de ce sein se prolonge par l’arrondi de son ventre, ressemblant à un poitrail. Son corps, que l’on ne voit pas entièrement, se prolonge vers la gauche, comme celui d’un quadrupède.
Elle possède des pattes avec des griffes, telle ne lionne, dont l’une repose sur une roche et l’autre s’avance vers ?Dieppe. D’un animal elle a aussi la longue queue dont on voit l’extrémité venir toucher sa patte droite antérieure. Nous pouvons ajouter qu’elle a des ailes. Autant d’attributs qui font d’elle une chimère. Enfin, le troisième et dernier personnage représenté dans ce ta qui font d’elle une chimère. Ce tableau, en bas à droite, est un homme avec des gestes expressifs : bras et jambes écartés. AI est nu à l’exception d’une étoffe rouge qui semble gonflée par le vent.
Il est barbu, a des cheveux noirs et on discerne des côtes, grâce son mouvement de torsion. AI regarde les deux personnages qui sont devant lui, le Sphinx et ?Dieppe. En bas de l’image on distingue un pied, des côtes d’un squelette et un crâne qui mettent en avant le mystère du tableau. Bu) Structure du tableau Tout d’abord nous pouvons observer le jeu des lignes de force qui se rejoignent au niveau du genou d’dépit, le monde est alors comme immobilisé. La tête, le coude et le tibia d’?Dieppe sont alignés sur un axe vertical.
Au contraire, la cuisse et le rocher sur lequel se dresse le sphinx forment un axe horizontal. Les lances, forment deux diagonales raillées qui, elles aussi, se rencontrent avec les deux autres lignes au niveau du genou. Le corps d’?Dieppe est alors mis en avant. Cette structure, un peu raide, est atténuée par l’arrondi que forment la courbe du dos, la rondeur du sein et celle du ventre. Enfin, l’arrondi de ces dernières créée un contraste avec l’entassement des roches. L’étude des corps est soignée. L’anatomie d’?Dieppe est mise en valeur par sa taille qui prend une importante place dans ce tableau d’ingérés. ) Formes, couleurs et luminosité Nous observons aussi un j dans ce tableau d’ingérés. Nous observons aussi un jeu de couleurs important. La lumière qui éclaire les deux protagonistes les détache fortement du fond sombre dont on ne distingue pas les reliefs. Ce tableau est donc assez inquiétant par son côté sombre, on imagine la sphinx plus qu’on ne la distingue vraiment. La sensualité que’ se dégage des corps dorés est mis en valeur par le rouge de l’étoffe posée autour de l’épaule caractérisée par de nombreux plis.
Ce rouge se retrouve sur l’homme au second plan, mais il y est moins vif et enveloppe un corps plus brun, le contraste est donc moins important. Plus haut on voit un tas de pierres, de racailles, dont la couleur vive s’oppose au fond du tableau qui montre une paroi. Nous sommes donc sans doute en présence d’une sorte de grotte. De) Sens du mythe Pour peindre dépit, ingérés s’est fortement inspiré du formidable tableau de encollais Poussin « Les bergers d’arcade » (1640). On constate toujours la même maîtrise des « nus » et des « mouvements » de la part de ingérés.
Cet artiste a une grande culture classique. Il a choisi ici de peindre une scène mythologique relative au mythe d’?Dieppe car dans la hiérarchie des genres picturaux, la peinture historique ou mythologique occupe le premier rang ; viennent ensuite le paysage et, tout en bas de l’échelle, la nature morte. Ici, ?Dieppe est représenté comme un beau jeune homme athlétique en pleine réflexion placé en pleine ?Dieppe est représenté comme un beau jeune homme athlétique en pleine réflexion placé en pleine lumière.
Le sphinx, d’allure féminine, est tapi dans l’ombre, il représente les forces obscures. Ces deux choix ont une signification relativement simple : l’homme est du côté de la lumière, donc de la raison, tandis que la femme est du côté sombre. Cependant, ce corps humain ne respecte ni la vérité anatomique, le corps d’?Dieppe est « bancal », ni la beauté idéale, il n’ a pas cette fiction d’une vérité autonome et on reproche à ingérés la physionomie pas suffisamment idéaliste d’?Dieppe. Le peintre préfère sa propre logique pour sa beauté.
Ce n’est d’ailleurs pas un modèle de héros antique qui est utilisé mais un jeune homme italien venu poser dans l’atelier d’ingérés ; dans cette ouvre ingérés créé donc une sorte de nouvel idéal. Gustative morceau Gustative morceau (1826-1898) ?Dieppe et le Sphinx, 1864 Huile sur toile – 206 x 105 cm née rock, métropolitain muséum L’interprétation du mythe grec par morceau est sans doute influencée par l’ouvre précédente, d’ingérés mais demeure très différente au niveau de la position et de l’attitude d’?Dieppe.
Nous pouvons voir, ?Dieppe égarement décentré vers la attitude dominante avec son bras gauche replié vers le haut tenant vigoureusement une grande lance dans sa main. Ces un jeune homme, au corps légèrement musclé et nu, mise à part une bande d’étoffe verte. ?Dieppe est immobile et appuyé sur sa jambe droite. Sa jambe gauche est égarement pliée afin de maintenir sa position et sa débilité. AI répond donc à l’agression du Sphinx par un geste de défi et une posture d’affrontement. Ses cheveux sont châtains clairs et plutôt longs, son nez rectiligne et il ne porte pas de barbe.
Son bras droit n’est pas visible. Sa tête est légèrement inclinée vers la créature qui lui fait face et qu’il regarde avec assurance. Nous pouvons également observer la présence du Sphinx qui s’agrippe à lui. Cette dernière à une position centrale mais est plus basse que’?Dieppe ce qui oblige se dernier baisser sa tête pour la regarder. Elle a donc une position inférieure. Comme dans la représentation d’ingérés elle est une créature hybride. Elle tient d’une femme, par sa chevelure retenue par un bandeau, ressemblant aussi à un diadème, et par un sein fortement apparent.
Elle possède des pattes avec des griffes, telle une lionne, et un dos très arrondi. Sa position féline la montre en situation d’attaque. Comme un animal elle a aussi une longue et épaisse queue. Nous pouvons ajouter qu’elle a des ailes ressemblant à celles de grands rapaces, d’aigles. En bas de l’image on distingue un pied, et une main agrippée à un rocher qui ajoute du mystère et de as de l’image on distingue un pied, et une main agrippée un rocher qui ajoute du mystère et de la terreur à ce Tout d’abord nous pouvons observer l’importance de l’axe vertical dans ce tableau.
Les corps, la lance et même les montagnes du fond forment un ensemble où tout n’est que verticalité. Seul l’arrondi que forment la courbe du dos, créé un contraste avec le reste du tableau. Le corps d’?Dieppe, tout en longueur, ainsi que la longue lance rouge et la colonne accentue cet effet de verticalité. Même le Sphinx, possédant un corps d’animal est représenté verticalement. Seul le sol laisse apparaître une horizontalement. Nous observons un tableau assez inquiétant par son côté sombre. Seule la lance rouge vif et le corps blanc d’?Dieppe ressortent par leur couleur.
Toutes les formes sont verticales ou exprimée dans le sens de la hauteur et plutôt sombres. Le ciel, la végétation, les montagnes ont aussi des teintes grises. En effet, à l’exception de la lance, aucune couleur vive n’est utilisée. Le peu de luminosité de cette scène laisse penser que l’auteur situe sa peinture à un moment particulièrement tôt de la journée. Comme ingérés, morceau met en avant dans son tableau le moment où dépit affrontera le monstre ailé dans un passage de pierres à l’extérieur de la ville de tabes.
Mais contrairement au personnage d’dépit calme et posé mis en avant par ingérés, morceau don tabes. Mais contrairement au personnage d’dépit calme et posé mis en avant par ingérés, morceau donne un sens plus combatif à ?Dieppe et donc au mythe. En effet, A l’agression brutale du Sphinx qui s’agrippe à lui, ?Dieppe répond dans ce tableau par un geste de défi et de certitude, s’appuyant sur une lance dans une posture d’affrontement que l’on peut peut être rapprocher de la datation du peintre lors de la première confrontation majeure de son ?ouvre avec le public.
morceau rencontrera cependant un grand succès au Salon de 1864. FIGÉ chanson fermant-démon-Jean-Marie chanson, Peintre, dessinateur et graveur symboliste belge né à germèrent (terminée) (1858 – 1921) Le Sphinx, 1896 (Huile, Musées Royaux des Beaux-Arts, bretelles) Avec les deux mêmes personnages principe peaux, que les ??uvres des peintres étudiées précédemment, l’?ouvre de chanson, réalisée à la fin du Emme siècle, amène cependant couleur, horizontale et sensualité. En ce qui concerne les personnages, ont retrouve dans la représentation de chanson le héros ?Dieppe et le sphinx mais ce dernier n’ plus d’ailes.
AI reste hybride mais avec un simple corps de félin. dépit est torse nu, menton volontaire, regard absent, lèvres fines et cheveux roux. Il se penche tendrement vers le sphinx qui occupe le centre du tableau. Son visage est sphinx. AI tient dans sa main droite un sceptre ailé qui symbolise l’être qui s’est élevé au dessus de sa condition terrestre. Une étoffe terne cache le bas de son corps qui n’est pas entièrement dessiné sur ce tableau. Seul son buste est mis en valeur par la posture et la couleur.
Le sphinx, ici une sphinx à tête de femme aux boucles rousses et au corps de félin tacheté, occupe le centre du tableau. Elle a également une attitude tendre et câline. Son visage est appuyé sur celui d’?Dieppe. Même sa patte avant gauche de félin ne représente pas le danger et se dirige vers ?Dieppe en douceur. La queue tachetée est souple et amicale. Dans ce tableau l’horizontale prédomine. Les deux corps s’inclinent l’un vers l’autre et cherche à se fondre. On distingue même une position triangulaire des deux corps ui s’effleurent, se caressent, se rejoignent.