baudelaire tableaux parisiens

essay A+

On peut dire que Baudelaire s’inspire aussi de sa vie parisienne car il nous dresse clairement le portrait des différents personnages qu’il a pu rencontrer.

Les différents personnages qu’il rencontre que ce soit des animaux ( Le cygne) ou des humains (La mendiante rousse , la négresse , les sept veillards , les petites veilles une simple pasante , les courtlsanes aux jeu les aveugles ,un paysan réduit à l’état de squelette , une femme maigre aisé )ont tous l’air rejetés par la société . Ils traine leurs désespoir dans les rues de Paris et Baudelaire tient à mettre en lumière ces personnages que l’on ne voit pas d’habitude « un cygne (.. sur le sol raboteux trainait son blanc plumage »(Le cygne) le verbe trainer souligne cette attitude d’errance et en marchant Swp to page sur « le sol raboteux pas a son aise dans c cc or 2 représentés comme s e:• avait jadis ou encore cygne comme les e le cygne n’est sonnages sont quelque chose qu’il pense à mon grand e, et rongés d’un ésir sans trêve » (Le cygne) on n’a ici la preuve que Baudelaire cherche à montrer ces personnages rongés par les souvenirs de leurs vie passé, par les regrets, ces personnages n’ont pour motivation que ce « désir sans t trêve » et il trouve cela « sublime de mettre ces personnages en avant . Ces personnages semble vivre dans un autre monde , ils ont tellement souffert dans le monde qu’il les entoure qu’il s’enferme dans leurs songes « Hostile à l’univers plutôt qu’indifférent es sept vieillards) . La plupart de ces personnages sembles misérables leurs corps transformés par les épreuves de la vie « Ces montres disloqués furent jadis des femmes « (Les petites veilles) il dresse ici une métaphore en comparant ces femmes usés par le temps à des monstres .

Les personnages décris sont tous des êtres froids , mélancoliques mais Baudelaire s’éprend d’un certains plaisirs à observer et analyser ces personnages qui devraient pourtant être repoussant « L’élégance sans nom de l’humaine armature . Tu réponds rand squelette, à mon gout le plus cher ! » l’auteur aime l’aspect miteux de ce personnage tellement qu’il en vient à utiliser des hyperboles pour souligner cela . Ces personnages sont tous mélancoliques de leurs vie « Leurs yeux , d’où la divine étincelle est partie , comme s’ils regardaient au loin »(Les Aveugles) on retrouve ici le desespoir , la mélancolie d’un désir intouchable . Ces personnages sont donc tous des exilés de la sociétés, les êtres erants de Paris . Baudelaire donnes plusieurs Images