Commentaire texte de Platon, Gorgias

essay B

Texte (debut): Socrate : celui qui garde son injustice au lieu d’en être délivre est le plus malheureux de tous. (Fin du texte) : Socrate : De la tous leurs efforts pour échapper à la punition, pour éviter qu’on débarrasse du plus grands des maux. Introduction : Quelque indignation morale qu’elle nous inspire, la vie des hommes qui peuvent satisfaire tous leurs penchants sans souci de justice ni crainte d’aucun châtiment nous semble la plus heureuse qui soit. Quel homme ne s’est jamais pris a rêver du bonheur que lui procurerait une existence délivrée de l’interdit es lois ?

L’appétit du bonheur augmente ? comptes à la justice I. L’injustice procure la vertu Swip page s la preuve que le s tenu de rendre des r que la pratique de La vertu ne vise pas le bonheur mais l’accomplissement de notre devoir. La justice n’est pas le moyen d’être heureux mais une fin en soi qui nous prémunit pas du malheur. En revanche l’injustice parce qu’elle ne recule devant rien fait usage sans état d’âme de tous les moyens susceptible de lui procurer le bonheur. De sorte que les mille ruses du vice sont plus à même de nous procurer les plaisirs de la vie.

Que l’injustice impunie procure le bonheur c’est enfin ce que montre la fable de Gygès rapportée par Platon : le bonheur paraît enfin accessible lorsque le risque du châtiment est le Sv. ‘ipe to levé par l’enchantement d’un anneau magique qui garantit à son détenteur une impunité absolue. Cependant en donnant libre cours aux désirs, l’homme injuste n’en est-il pas la première victime ? Le tort qu’il cause aux autres n’est il pas la conséquence dun malheur qui le frappe en premier lieu ? Le déréglementé de l’âme injuste ne l’abîme t elle pas dans le déchirements et les souffrances ? Il. ‘injustice est un mal qui corrompt le bonheur L’injustice empoisonne le bonheur de celui qui le recherche sans égard pour la vertu. Cinjustice est en effet un état misérable semblable à une maladie qui corrompt l’âme humaine : enflée par des désirs insatiables qui ne connaissent pas les limites de justice l’âme se trouve ainsi tyrannisée au plus profond d’elle même. A l’inverse le respect de la justice procure a l’individu une juste estime de soi qui est le vrai contentement de l’âme saine. En refrénant l’illimitation de ses désirs l’âme maintient un juste ?quilibre entre ce qui est permis et ce qui ne l’est pas .

Elle vit alors en accord avec elle même conserve la maitrise de soi et accède ainsi au bonheur. Toutefois n’arrive t il pas que l’homme juste connaisse’ les plus grands malheurs ? N’est ce pas le sort que connut Socrate lui même condamne a subir le châtiment d’injustices qu’il n’avait commises ? Si le bonheur est inaccessible a l’homme injuste il n’est jamais garanti par la pratique de la justice. Si la justice est l’injustice ne nous permettent pas d’éviter le malheur que choisir ? Ill. La vertu de jus 2