commentaire le rouge et le noir stendhal

essay A+

I un personnage tourmenté 1) La culpabilité de Julien 2) un ton grave Il Des belles paroles 1) La reconnaissance de son acte 2) une assemblée en émoi Ill Les morales présentes dans ce récit 1) Le message apporté par Julien 2) La critique des classes sociales ors Le Rouge et le Noi relatant l’histoire de] en So de basse classe socia [Présentez-Ies]Mada ho faits divers e pauvre et deux dames e de par la suite celui-ci, après avoir commis l’irréparable sur une de ces deux dames [Précisez], va être amené à répondre de ses torts evant un jury.

Ce roman écrit par Stendhal, écrivain réaliste et romantique du XIXème siècle, nous emmène dans un discours palpitant. Nous allons montrer en quoi ce récit est surprenant, en parlant tout d’abord de Julien, un personnage tourmenté, fait de culpabilité, puis, par la suite le menant à de belles paroles avec la reconnaissance de son acte qui mène l’assemblée en émoi et pour finir nous vous présenterons les critiques sociales apparaissant dans le récit.

Nous pouvons clairement voir que Julien, après avoir commis ce rime atroce et prémedité est un homme tourmenté, comme on peut I le voir ligne 13 « Mon crime est atroce, et il fut prémédité ». Après quelques minutes, il fut part de sa culpabilité vis à vis de sa victime qui n’est autre que Mme Rénal, femme qu’il considérait comme sa mère « femme la plus digne de tous les respects » [Commentez] (ligne 12-13) ce qui accentue l’incompréhension du jury par rapport à son acte et a ces liens qu’il entretenait avec sa victime.

On peut aussi voir qu’au début du texte (ligne 2-3) Julien ne veut pas prendre la parole mais par a suite il va se sentir obligé de répondre de ses actes car comme on peut le voir ligne 7-8, celui-ci pense qu’en prenant la parole il se sentira moins coupable. Dans son discours Julien utilise un ton grave, en affermissant sa voix et en utilisant le champ lexical de la mort, avec par exemple ligne 7 : »Horreur », « mort » ou bien ligne 13: « atroce », et cela pendant toute la durée de son discours en nous précisant bien qu’il garda ce ton tout au long de ce récit, ligne 22 « Pendant 20 minutes Julien parla sur ce ton. . L’utilisation de ce ton par Julien se justifie par le fait que celui-ci est à la fois tourmenté et déstabilisé, bien que ce discours donne l’impression d’être naturel, ne l’ai pas , comme on peut le voir de la ligne 1 à 3, on peut rajouter que son air paré d’autant plus grave, car Julien sait qu’il va mou ligne 1 à 3, on peut rajouter que son air paré d’autant plus grave, car Julien sait qu’il va mourir comme on peut le voir avec cette phrase, « J’ai donc mérité la mort ». Nous pouvons donc constater que Julien se croit déjà mort.

Bien que Julien soit à son procès et face à un jury qui peut l’amener à une mort certaine celui-ci reconnaît ses actes et c’est ainsi que à la ligne 10, il répond clairement qu’il n’a besoin d’aucune aide, d’aucune grâce. Même si Julien dans une grande partie de son discours reconnaît son acte, on peut voir que petit ? petit il va vite changer d’état d’esprit et va même commencer par s’en prendre verbalement au jury ce qu’on verra ultérieurement. Nous pouvons rajouter que Julien est d’autant plus sincère qu’il nous a fait part de ce qu’il avait sur le 22). aragraphe sans aucune citation analysée ! I Nous allons nous arrêter brièvement sur la façon dont de par ces belles paroles Julien arrive à émouvoir la salle (ligne 24-25). Comme on peut le voir tout au long de son discours Julien a employé premièrement un langage soutenu (càd? ) puis secondement un vocabulaire qui touche au plus profond de soi, avec comme nous l’avons déjà dit le lexique de la mort mais encore celui de la pitié et du châtiment. « À ce que ma jeunesse peut mériter de pitié » et « voudrons p