Stendhal La Chartreuse de Parme Waterloo

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a Chartreuse de Parme est un roman écrit en 1839 par Stendhal, l’extrait choisi est le chapitre 3 relatant la bataille de Waterloo à laquelle assiste Fabien del Dongo . Cet extrait est donc est donc le récit d’un passage historique. Le héros sur le champ de bataille est un thème des épopées et des romans historiques. Cest enprincipe le moment où se révèle la grandeur du héros. Or, Fabrice, sans être un personnage repoussant, ne fait pas preuve des vertus qu’on attendrait de lui.

Dans quelle mesure Stendhal bouleverse-t-il l’héroïsme traditionnel ? Ce commentaire sera en eux axes, le premie or7 bataille de Waterloo, n Sni* to deuxième axe sera f Fabrice et que l’aute l’auteur sur la nisme utilisé. Le héro qu’incarne Ce passage offre une représentation très réaliste de la guerre, et donc de l’épisode historique qu’est la bataille de Waterloo. Dune part la description est crue, mais aussi na-lve car la scène est vécu par Fabrice dont Pinexpérience est presque palpable.

La scène prend par dans un cadre spatio-temporelle défini, nous somme le 18 juin 1815 et le champ de bataille est décrit par Fabrice comme : « une grande pièce de terre labourée, située au elà du canal, et ce champ était jonché de cadavres. » SWipe page cadavres. » . Les verbes a l’imparfait, qui est le temps utilisé pou la description, comme « venait », « faisait » ou encore « criaient » permettent description de la scène vu par les yeux du héros.

De plus le réseau lexical de la guerre avec « général « escorte « maréchal » par exemple, souligne une volonté de décrire le plus fidèlement la réalité. Liutilisation de mot appuyant la realité du texte dans son cadre historique comme « hussard français » ou le « maréchal Ney n, permettent de souligner le contexte patio-temporel a la description réaliste dans le cadre historique de cette bataille. La répétition du mot «cadavres», ainsi que le mélange entre le sang et la couleur de l’uniforme, devenus indissociables l’un de l’autre, insistent sur l’aspect bien réel, très concret, de la scène.

D’ailleurs ce n’est pas sur une vision, mais par du«bruit» que s’ouvre l’extrait, comme si le tumulte empêchait de voir. Le vacarme, «le ronflement égal et continu produit par les coups de canon»,les «décharges» qui choquent Fabrice et lui font«mal aux oreilles»: l’abondance de précisions sur e volume sonore de la bataille souligne le caractère assourdissant de la scène. Mais cette scène est vue et décrite par les yeux de Fabrice, qui est militairement inexpérimenté. De ce fait la description paraît limité .

Le choix du point de vue interne permet au lecteur de voir la bataille de la même façon PAG » rif 7 point de vue interne permet au lecteur de voir la bataille de la même façon que le héros, mais cette bataille perd quelque peu de son sens compte tenu de la naiVeté de Fabrice, qui l’on remarquera par exemple lorsqu’il demande a la Geôlière qui est e maréchal, personnage que tout le monde connait sur le champ de bataille (a l’image de la geôlière le caractère inexpérimenté de Fabrice est aussi exprimé par le fait qu’il ne remarque que au dernier paragraphe de l’extrait que les boulets de canon pleuvent autour de lui, et que c’est ceci remue la terre de façon « singulière On remarque aussi que le héros ne comprend pas ce qui se passe autour de lui, «II n’y comprenait rien du tout», mais aussi qu’il est choqué par ce qu’il voit, «scandalisé» par les bruits qu’il entend ou l’on s’aperçoit aussi qu’il n’est jamais ien positionné par rapport aux autres, ce qui augmente son le caractère quelque peu naf et inexpérimenté de ce personnage au milieu de cette bataille. Mais on s’aperçoit aussi au cours de la lecture de cette extrait que l’auteur donne un ton ironique a certaine des description ou passages de cette bataille comme pour appuyer le coté candide de son personnage, comme par exemple lorsque celui ci utilise le réprimande » lexique de l’enfance avec les mots « « gourmander » ou bien encore quand l’auteur décrit Fabrice « perdu dans une admiration enfantine b. Les rares intrusions de l’au PAGF3C,F7