Commentaire de texte merleau ponty.
Dans ce texte marteau-pont répond à la question de savoir ce qui, chez l’homme, relève de la nature et ce qui relève de la culture. Ces deux ordres semblent bien déterminés lorsque l’on définit la nature comme hérédité biologique : c’est tout ce qui nous vient de nos parents, de nos ancêtre par une transmission génétique.
On définit l’inverse la culture comme tout ce que l’on tient de la tradition externe, c’est l’héritage des coutumes, des habitudes, des manières de faire et même de penser propres à un groupe humain. Cependant ce couple d’opposé nature/culture est remis en question par l’auteur de ce texte. En effet, ce qui fait problème c’est qu’il affirme l’impossibilité de « démêler » ce qui, chez l’homme fait partie de la nature et ce qui fait partie de la culture.
Dans un premier temps il montre que l’opposition est une opinion, puis le sens de ce noud indéniable entre les deux notions. I/ L’opposition naturel / fabriqué : une opinion 1/ L’illusion de conduites naturelles Cette complexe swaps toi vie nixe page Commentaire de texte marteau pont. Premier bu jaune empâta 23, 2011 | 3 pages complexité, ce noud entre nature et culture s’oppose l’opinion qui affirme qu’il est naturel de piquer une colère comme d’embrasser son amoureux.
Pour l’opinion il sexiste deux catégories distinctes pour expliquer les comportements de l’homme, le naturel semble être inné, tout le reste serait fabriqué par l’homme. 2/ Les sentiments ne sont pas innés Comme les mots et leurs usages, les sentiments sont ce que l’homme en a fait, ils sont construits, fabriqués par un milieu culturel, formés par des habitudes sociales, comme Ar exemple le sentiment de paternité (il peut y avoir un substitut du père biologique qui éprouve ce sentiment).
Il/ L’impossibilité de démêler l’écheveau nature / culture I/ On ne doit pas superposer les deux notions La culture ne vient pas s’ajouter à la nature, il faudrait qu’elle soit identifiable et séparée des comportements naturels. 2/ La nature ne s’efface pas chez l’homme : une sorte « d’échappement » « Rien qui ne se dérobe » dit l’auteur, c’est-à-dire qui ne se soustrait à la pure détermination biologique (pensez par exemple à la différence entre besoin.