Chapon Poularde

essay B

La question de 11Homme dans les genres de l’argumentation du XVIe siècle à nos jours. Dialogue du Chapon et de la Poularde Dialogue philosophique to nev:ÇEge photocopie LA2 Oeuvres complètes, vol. XXV, « Mélanges » XVIIIe siècle INTRODUCTION 1763 Voltaire, fidèle aux principes et aux valeurs des Lumières, s’est toujours battu pour recourt à une grande rie or fi dictionnaire, conte p se ses convictions de ph Dans « Le Dialogue d la dignité humaine.

II ires (lettres, er auprès du public de » écrit en 1763, il choisit la forme du dialogue burlesque. Dans ce dialogue, eux volailles sur le point d’être mangées s’interrogent sur la cruauté qui conduit les hommes à les traiter ainsi. Cette critique de la violence faite aux animaux est le point de départ d’une dénonciation de la cruauté des hommes.

LECTURE A HAUTE VOIX PLAN (thématique) Une parodie de dialogue philosophique L’intérêt des personnages dont on se sert (animaux de la basse- cour) Dénonciation/critique de la barbarie humaine (ce qui est démontré précisément) des répliques caractéristique : P ne sait pas courtes ; C sait longues 1 ere partie : ce que les H font subir aux animaux eme partie philosophique aux autres H = forme du dialogue Parodie = imitation comique (animaux qui parlent + choix des animaux : leur intelligence est remis en question) La poularde : disciple qui questionne/s’indigne + émotif Ses citations sont des ? u ! ce qui montre son émotion. Très subjectif + phrases courtes. Champ lexical de l’émotion « m’évanouir » (l. 12,13-15) 4 exclamations, reformule ce qul a été dit pas par le C à la lere personne du singulier. Elle porte un jugement z/ C. « monstres » ; « abominables coquins » ; « ces scélérats » (cf : ) Le chapon : enseigne/explique + neutre/objectif Phrases déclaratives/affirmations. Enonce un fait sans le remettre en cause ; maitrise ses pensées. Ton posé, structuré, logique.

Faits juxtaposés ( ; et ,) sans lien logique. Lien chronologique « pendant quelques jours » ; « enfin » présent d’habitude = banalise ses propos. Donne un ton neutre, oratoire. Rythme ternaire « nous mettent ; nous font avaler ; nous crève » + « nous arrachent ; nous coupent ; nous font rôtir » + « nous apporte ; chacun dit ; on fait » + « l’un dit ; l’autre vente ; on loue » Atténuation, euphémisme qui montre le soucis de bien parler (l. idée générale + exemples (historiques) ; il cite ses sources.

Il – Les personnages Le choix d’animaux grotes e-cour) personnages Le choix d’animaux grotesques (de basse-cour) On les a castré, châtré, cela les rend grotesque. Hormonales + à priori stupides. graisses – muscles Regard déprécié mais du coup sa pertinence est plus étonnante et prend encore plus de valeur. Les A dénoncent un fait coutumier/culinaire pour les lecteurs • rôtir des animaux. Ne choque pas. rovoque une remise en cause des habitudes encore + surprenante et nous force à nous interroger sur la relativité des coutumes technique du regard éloigné.

Choix des A = éviter la censure + remettre en cause de manière surprenante ce qui était admis + divertir. Les animaux, personnifiés, sont plus humains que les hommes Le vocabulaire humain ; normalement appliqué aux hommes qui est employé : « en prison » 1. 4; « on leur coupe la gorge » 1. 7 ; ils ont des cuisses et des bras 1. 10 ce qui assimile l’abatage des animaux à un crime « on fait notre oraison funèbre » 1. asslmile les A à des défunts qu’on regrette/honore/pleure « notre histoire » 1. 1 en fait aussi des êtres à part entière. On leur applique le vocabulaire usé par les H. Ils sont personnifiés, aussi doués de paroles, de raison et d’émotions : il s’exprime avec de la politesse = ils se vouvoient ; C appelle P « m’amie » 1. 15 + langage soutenu : « oraison funèbre » ; « en ont usé alnsl fort souvent » 1. 21 (cf : ils sont doués de raison : discours du C organise de façon très logique/ordonne ; volonté de la p de comprendre + son esprit critiq