Chapitre 6 L EPI
Test : L’EPI Le mot personnalité vient du latin « persona » qui signifie « le masque de théâtre A partir de cette définition là est né le principe de personnalité. Comme tout concept en psychologie, on a pas une seule et unique définition, mais la conception scientifique va concevoir la personnalité comme étant d’abord une différence de comportement entre les individus. Mais cette définition ne suffisait pas car il fallait prendre en compte les différents ressentis du sujet.
Pour définir les théories, certains définissent des traits tandis que ‘autres définissent Les traits sont des ca PACE 1 Les types sont des e Sv. ivx to C’est à partir de noti u’il a proposé une typologie des humeurs presentent dans le corps humain. A partir du 20ème siècle, Wundt a été parmi les premier a avoir étudié scientifiquement le comportement. Dans la même époque il y avait Galton qui a mis au point une méthode d’évaluation de la personnalité avec le test d’association des mots.
Après vint la théorie psychanalytique dont les précurseurs étaient Janet et Charcot, ce sont ceux qui ont produit des observations ui ont influencés des générations du courant psychanalytique. Les tests de la personnalité sont considéré en 2 types • tests objectifs épreuves dont la finalité n’est pas toujours évidente pour celui qui les passe (le sujet ne sais pas sur quai il est évalué) tests projectifs D le sujet est mis en présence d’une situation ambiguë qu’il doit interpréter.
On va dintéresser à Pévaluation de la personnalité au niveau des tralts, donc de certalnes dimensions de la personnalité, et qui dit dimension dit qu’on va essayer de quantifier la personnalité. our pouvoir déterminer les différentes dimensions à partir des tests, les auteurs se sont demandés quelles sont les différentes dimensions majeurs de la personnalité. A partir de là ils ont regroupés dans le langage commun des mots qui décrivent des conduites.
Ca a commencé autour de 1936 avec Allport et Oolbert qui ont relevés 18000 mots qui décrivaient des conduites. Au fur et à mesure des expériences, ils ont essayés de catégoriser et on conserver 4500 mots qui désignent des traits relativement stables. Cattell (1903-1998) a repris cette liste, a procédé à des ?liminations des termes semblables et synonymes et a réussi ? créer son test composé de 171 questions. Son test se nomme le 1 6PF (personality factors).
Le travail qu’ils ont fait s’appelle une approche factorielle, à partir des statistiques. L’Eysenck Personality Inventory Eysenck a suivi le chemin de ses prédécesseurs. pour pouvoir construire son test il a commencé par une étude sur des soldats névrosés, il a essayé de cerner un peu leur personnalité avec une description faites par les psychiatres auparavant, et il en est ressorti 2 dimensions/traits de personnalité : Dysthymie (irritabilité, rigidité, anxiété, dépression,… Névrosisme 10 ans après en 1957, il a étendu son étude à la population générale et donc son approche factorielle a donn après en 1957, il a étendu son étude à la population générale et donc son approche factorielle a donnée qu’il a gardé le « névrosisme vs stabilité » et a remplacer la dysthymie par « l’extraversion vs introversion Ce sont 2 dimensions indépendantes [‘une de l’autre, à partir desquels on va essayer de cerner la personnalité du sujet.
Il existe 2 formes de l’EPI (A et B), les 2 sont composés de 57 tems, avec une élaboration des questions différentes en fonction de A ou B. Chaque dimension est mesurée/évaluée au moyen de 24 questions (24 + 24 = 48), les 9 questions restantes sont là pour évaluer la sincérité du sujet (échelle de mensonge, qui permet de mesurer ou de déceler si le sujet à répondu honnêtement ou non).
Au niveau de la passation, ça peut être fait en individuel ou en collectif. La consigne ne doit être ni amplifiée, ni modifiée, et donc en tant qu’examinateur on ne doit pas interpréter ou diriger de anière quelconque les réponses du sujet. Pour la correction l’examinateur aura une grille transparente composé de cercle a poser sur les cercles des réponses. Quand par exemple un E(xtraversion) coincide avec une réponse, il s’agit d’une réponse d’extraversion.
A partir de là on aura des scores à chaque échelle (une grille de correction pour les 2 dimensions + échelle de mensonge) qui seront répartis sur des continuum : Introversion typique D quelqu’un d’effacé, d’introspectif, qui aime la lecture, réserver, distant, n’a pas beaucoup d’amis, a toujours endance à prévoir, ne s’engage pas à la légère, se méfie des impulsions du m d’amis, a toujours tendance à prévoir, ne s’engage pas à la légère, se méfie des impulsions du moment, a une vie bien réglé, n’aime pas les états de surexcitation car il contrôle très bien ses sentiments, est très rarement agressif / Extraverti typique C] quelqu’un de très sociable, à besoin d’amis, à besoin de parler, n’aime pas les livres, le travail solitaire, recherche des sensations fortes, agit sur l’impulsion et le moment, aime les plaisanteries, a oujours les répliques faciles, insouciant et optimiste, à tendance à être agressif, contrôle mal ses sentiments et sur qui on ne peut pas toujours compter Névrosisme quelqu’un avec un fort taux témoigne d’une hypersensibilité sur le plan émotionnel, près un état de chaque elle a du mal à retrouver un état normal, elles souffrent de dérèglement somatiques diffus (maux de tête, insomnie, troubles digestifs,… , elles manifestent de l’anxiété / Stabilité Au niveau de l’étalonnage, on a 2 types différents : celui américain D il a été fît à partir de groupes d’étudiants, de roupes professionnels et des groupes cliniques. Ce sont des étalonnages qui ont été fait à partir de la méthode des centiles. Il doit être utilisé avec des précautions, car il a été établis à partir d’un échantillon pas très représentatif de la population générale. On peut l’utillser quand la populatlon étudiée correspond à celle de l’échantillon du test. celui français on dispose de 2 : le premier fait en 1969 où l’échantillon était composé d’étudiant français de la fac de Nanterre, pas très représentatif d’où le fait q PAGF